Le blog de tiwi

Ne pouvant plus connaître d'amour et de tendresse au réel, je vais recombler mon manque par mes histoires fantasmagorique, qui me font du bien et recharge mon énergie, mes batteries.


Le réveil sonne une nouvelle fois ce matin, le dernier de la semaine, enfin presque.

 

Je profite de garder encore un peu les yeux fermés, je me projette dans une gare où tu m’y attendais. Coquin comme tu es, tu  t’étais caché et je te cherchais. Je pensais même que tu étais en retard où que tu m’attendais peut-être à la sortie. La gare est si grande avec tout ce fourmillement à droite, à gauche.

 

Ce matin, encore une fois, mes bras sont collés autour de mon corps, afin de prendre la liberté de croire que je me blottis encore dans tes bras. Je ne t’ai pas demandé la permission, ma tête est allée se poser directement sur ce torse que j’aime tant. Soyeux, doux, je passe ma main sur toute la surface ; mes doigts continuent leurs ballades sur tes épaules où il y a ces quelques petits poils perdu. Quand ils redescendent, ils suivent le contour de ce duvet qui mène en direction de ton nombril. Il me fait rêvasser tendrement. L’index pointe sur cette petite cavité.

Je continue ma descente pour attendre cette partie plus laineuse.

 

Mais déjà elle pointe dans ma direction. Déjà elle se durcie sous mes doigts et monte à la rencontre de la paume de ma main.

Je la caresse doucement, puis tout le pourtour avant d’atteindre ses jumelles qui m’appelle afin d’avoir elles aussi leur compte de tendresse.

 

Je sens ton excitation à son comble, ma tête dépasse ton bas ventre, et je commence à lécher ce gland qui a fière allure et dont j’ai pris soin de le décalotter juste avant.

Sa tête humide et rosée perle en douceur une vapeur qui en dit long. Mes lèvres s’entre ouvrent pour laisser le passage de ce membre; ce dernier se faufile entre ma langue et mon palais. Ma main qui tient ce corps allongé, épais fait des mouvements de va et vient en même temps que la tige entre et sort de ce puits.

Plus vite, plus loin, je t’entends gémir au fond de mes pensées, c’est si bon.

 

Le réveil sonne pour la seconde fois et me rappelle que je suis seule dans ce grand lit. Ma chatte est humide. Mes lèvres gonflées de désirs. Je me dirige vers le tiroir de ma table de nuit et prend l’ustensile adéquat à mon excitation grandissante.

 

Je caresse ma vulve, son contour en gardant une main sur mes seins. Mes tétons sont pointés, agressifs. Je pince la fine tige, caresse l’alvéole.

 

Mon bouton s’entre ouvre de désir. Je fais glisser ce membre de substitution à l’intérieur, doucement, encore… encore. Mon abricot ruissèle fur à mesure de cette pénétration douce et excitante.

 

Je le veux en entier en moi, fort, puissant. Les *  va et vient * sont rapide, expérimenté. Mes jambes surélevées, j’ai quitté ma main de ma poitrine afin de me caresser les fesses en même temps que ma pénétration manuelle.

 

Mon sexe explose de jouissance, je ne peux retenir un cri, ma respiration est au maximum… Mes cuisses sont humides et collantes, quelques caresses pour retrouver une sérénité et je file me doucher.

Ma journée a bien commencé. Merci mes pensées de me permettre cette douce tendresse, ce tendre câlin en solo.


 

Ven 19 sep 2008 Aucun commentaire