Dimanche 6 juillet
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19:10
Enfin arrivé dans notre appartement de vacances.
Valises défaites, Mathieu décidait d’aller faire un tour dans ce qui serait notre royaume ensoleillé durant 2 semaines. Mathieu, un ami et collègue de longue date avec lequel je décidai de partir
faire une pause aux îles canaries ce mois de juillet. C’est un homme merveilleux, plein de délicatesses, charmant et dont je ne m’inquièterai nullement de ses mains baladeuses, n’ayant une
attirance sexuelle que pour les hommes. Mais comme ami, il était le meilleur.
Après son départ, je décidais de prendre une bonne douche puis étant au beau milieu
de l’après midi, passerais quelques heures sur le balcon de cet appartement très ensoleillé.
Sortie de la salle de bain, je traversais les pièces, nue, rejoindre ma chambre à coucher pour m’habiller.
Décidément, il faisait trop chaud, j’attrapais un paréo d’une main, enveloppa mon corps humide et alla rejoindre cette terrasse accueillante.
Mathieu avait déjà installé une chemise au dos d’une chaise longue ainsi qu’un linge.
Apparemment il était passé lorsque j’étais sous ma douche et il était reparti.
Je montais sur cette chaise, et me laissais dorer quelques minutes par ces rayons de chaleur agréable, afin de faire sécher mon corps que je n’avais pas pris la précaution de le sécher tout à
l’heure. Mmm ce soleil…… Ces doux rayons qui me caressaient chaque parcelle de mon épiderme.
A moi, les vacances, le farniente durant deux semaines, la plage et les beaux mâles. …
J’abaissais le dossier, installa un linge et m’allongeais pour une douce sieste. Mon corps enduit de crème solaire, mes yeux ne mis pas longtemps avant de se fermés doucement.
Mon corps tout entier s’assoupit. Plus un bruit dans ma tête, même pas le grillon que j’entendais tout à l’heure.
Enfin, j’entendis le bruit du voisin. Notre
terrasse ayant une séparation sommaire entre nos deux appartements. Apparemment, il ou elle venait d’arriver. Une seule paire de pas, ce qui me confirmait qu’il ou elle était seul. Allant et
venant, il devait défaire sa valise également. Puis du rangement sur la terrasse, la chaise qu’il tire. Enfin, silence.
Je ne sais pas combien de temps, j’étais là, sur mon fauteuil d’été,…. mais une ombre se trouvait à la hauteur de mes yeux. Je n’avais pas envie d’ouvrir mes yeux,
car je sentais encore cette douce chaleur me traverser le paréo.
Soudain, je sentis de délicates lèvres se poser sur mon cou, mes épaules. Sa main me caressait les épaules. MM que c’était bon. L’odeur envoûtante et sensuelle de * égoïste * par Chanel me
montait dans les narines ; les rayons de soleils me caressaient la peau, à moins que ce ne soit la paume de cette personne à mes côtés. Je me laissais volontairement ensorceler de ce mystère tout
en rêvassant aux prochaines heures de mon séjour, rencontres, shopping, découvertes de l’île et de ses habitants.
Ce n’était pas Mathieu, mon ami de chambrée ; son parfum était * Paco Rabanne. *
Mon ombre était grand, musclé. Mes yeux toujours clos, je touchais ses bras. Il était à présent assis à côté de moi, sans y être invité. Je n’étais nullement effrayée car s’il me voulait du mal,
il y à bien longtemps qu’il aurait manifesté sa violence.
Avec un sourire coquin, je reconnaissais aimé ce brin de contact, cette audace en lui ; sûrement le fameux voisin que je n’entendais plus derrière la paroi et qui aurait franchi la rambarde situé
entre nos deux terrasses.
Son index fit le contour de mes lèvres, puis descendit le long de mon cou, suivit le bord de mon paréo puis sa main se glissa sous le tissu de soie.
L’autre
main me caressa doucement la nuque et de ses doigts agiles délassa mon nœud qui retenait la mise en forme de ce carré de tissu permettant de cacher ma nudité.
Mes yeux toujours hermétiques à la lumière, je pouvais sentir son souffle, son visage s’était rapproché de mon buste. Le fichu de couleur vive cachant en partie ma
poitrine volumineuse glissait doucement en direction de mon bas ventre.
Un trait humide et chaud partant de ma gorge allait dans la direction de mes seins. Sa langue contournait un téton puis l’autre en le mordillant délicatement.
Je me laissais faire par cet inconnu aux gestes si tendres et câlins. Il n’était plus question d’ouvrir les yeux. Mignon ….. Monstrueux…. Blond …. Jeune, vieux… ?
Je voulais savourer ce moment de plaisir. Mon excitation devenait à l’extrême. Je ne connaissais pas la personne qui me procurait ce délice charnel, mais ma libido était entrée en action. Entre
mes cuisses, l’humidité s’était installée et mon clito me titillait une chaleur intense.
Je pinçais mes lèvres, il venait d’atteindre ma vulve et faisait pénétrer un doigt dans mon abricot. Je n’avais plus aucun tissu couvrant mon corps. Il était là, assis à côté de mes fesses, sans
un mot et admirait ma peau encore si blanche, me caressait mon pubis et passait un doigt à l’intérieur de ma fente. Mes lèvres s’écartait à chacun de ses va et vient. Je sentis son excitation
monter par son murmure continu et sensuel.
Je me risquais d’ouvrir un œil en regardant fixement devant moi. Ses lunettes noires cachait son regard, mais avait les yeux rivés sur mon
visage apparemment car il me souriait.
Enfin, il s’approchait de mon visage et déposait ses lèvres sur les miennes. Sa langue força doucement le passage et chercha mon dard.
Ses larges épaules descendaient à la hauteur de ma poitrine, puis il se renversa face à mon corps. Je sentais son sexe humide. Il n’avait pas de boxer ou maillot de bain mais nu, comme moi en ce
moment.
Il se blottit contre moi, son sexe raide sur mon pubis humide. Mes yeux fixaient ses lunettes, je n’apercevais toujours pas le contour de ses yeux. Sa peau douce contre mon corps m’excitait, plus
encore en sentant son phallus me pénétrer en un seul coup de rein. Mes jambes se relevaient de chaque côté de ses cuisses.
Il était bien trop tard pour me poser la question si son sexe avait revêtu une protection.
Ses fesses ondulaient et ses bourses tapaient contre mon clito.
Il me serra fort et ses gestes rapides, presque brutaux me faisait crier, tant mon excitation grandissait en moi.
Il prit mes fesses entres ses mains, se mit en position sur les genoux et prenant appuis sur ces rotules prit davantage de puissance. Son sexe me pénétra loin. J’avais l’impression qu’il me
touchait le nombril. Puis de plus en plus rapides, son va et vient s’accéléra encore. Nous finîmes par jouir ensemble dans un cri mélangé. Il s’affala sur mon corps, me couvrit de tendres
baisers, me caressa le visage. A aucun moment, il n’enlevait son masque à soleil. Pas un instant d’identité, pas de voix.
La porte s’entrouvrit pour laisser passer Mathieu. Je tourne la tête pour juger à quelle hauteur
de l’appartement il s’y trouve, mais déjà mon inconnu s’était levé et passait de l’autre côté de la terrasse.
Je me lève en prenant soin de reprendre mon carré de tissu au sol que je me couvrais immédiatement et me dirigeais vers la rambarde pour voir si je n’avais pas
rêvé.
Il était là, tout sourire :
- Tu n’as pas rêvé princesse, je m’appelle Jérôme, pour te servir ; quand tu veux….
Il me prit la main, déposa un doux baiser. Il enleva ses lunettes et je pus découvrir ses magnifiques yeux verts. Ses cheveux noirs courts lui allaient à croquer. Je venais de faire l’amour avec
le plus parfait don juan de mes rêves !
Il me tendit ensuite une main fermée. Interrogatrice, j’ouvris un doigt. Il avait répondu à ma question. Emprisonnée dans cette main se trouvait un préservatif plié à son extrémité. Un clin d’œil
et il disparut en direction de sa douche.
Mathieu venait de me rejoindre.
- Tu n’es pas encore prête ? On sort manger et s’amuser ma belle.
Le soleil était presque couché. Il faisait encore un peu jour, par cette belle soirée d’été et mes jours de vacances paraissaient prometteurs…
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Qu'elle femme
sublime que j'ai rencontrée hier .... Elle a redonné du pep à mon séjour qui avait bien mal commencé... Le soleil jouait avec les nuages depuis le début de mes vacances, mon ami d'enfance blessé
n'avait pas pu se joindre à moi, et le moral était au plus bas. Cet ange est arrivé au bon moment.
Son parfum avait pénétrer dans mon appartement hier alors que je faisais une sieste crapuleuse.... Je n'ai pu m'empêcher de suivre cette odeur
fruitée qui avait envahie mes narines... Arrivé sur le balcon, j'ai vu ce corps qui luisait sous les rayons de soleil ... l'envie de passer de l'autre côté du balcon n'a fait qu'un tour... et je
n'ai pas à le regretter car ces moments ont été le début d'une grande découverte... celle d'une déesse de l'amour.
Le soleil commence à l'horizon et je ne cesse de
penser à cette femme ... à son peignoir humide, à ses petits cris qu'elle soupirait aux creux de mes oreilles. L'excitation monta vite... Les formes de mon short de bain se trouvèrent très vite
changés. Afin d'être à mon aise, je l’enlève délicatement. Mon sexe était déjà bien réceptif aux pensées de ses seins si doux. J'aurais tout fait pour pouvoir retourner la revoir dans la minute
afin de reproduire la plus belle des symphonies corporelles mais cet homme était la: son homme, son amant, son frère... Je ne le savais pas encore. Je ne connaissais même pas son petit prénom.
J'avais pris la peine de lui souffler le mien lors de notre rencontre charnelle. Dans ces moments très excitants, je ne saurais vous dire si elle l'a retenu.
Midi sonne à l'horloge et je décidais de sortir nu à mon balcon. Aucune vis à vis ... Seul le fait de me faire surprendre par
cette belle inconnue me faisait fantasmer. Le soleil frappait déjà très fortement sur le balcon orienté plein sud..Les quelques rayons qui caressèrent mon pénis me donna un énorme frisson. Je me
penchais au dessus de la rambarde afin d'admirer le paysage balnéaire. Je faisais quelques exercices de fessiers: je contractais l'une après l'autres mes deux fesses. J'ai adoré comment cette
femme me les a caresser hier et j'ai vraiment envie qu'elle le recommence d'une façon encore plus intense.
Soudain en contre bas, je vois sortir cet homme, seul, qui partage l'appartement avec ma voisine, les clés de voitures à la main. L'espoir renaît
sous la canicule de l'été.
Je tourne ma tête vers le balcon de la voisine mais ne voit rien. J'espère qu'elle manifestera sa joie de me revoir au plus tôt. Je ne tiens
plus en place... que faire. je veux tellement la surprendre de nouveau. quand soudain on frappe à ma porte.
Qui est ce ? Pourvu que cela soit elle !