histoire érotique

Samedi 19 mai 6 19 /05 /Mai 22:56

 

Elle était encore sur ses genoux avec la grosse brosse, entrain de laver le carrelage.

Le soleil était radieux, dehors.

Elle se regarde au travers d’un carrelage, son visage ruisselant de sueur. Sa longue chevelure rousse, épaisse, collée sur le front, faisait ressortir ses tâches de rousseur.

Ses demi-sœurs  étant parties faire du shopping avec leur mère pour l’anniversaire d’un richissime bourgeois les ayant invités ce prochain weekend, qui se situait dans un hameau, proche des sœurs.

 

Elle aurait eu envie, elle, aussi de se balader en ville ; connaître des gens, visiter quelques boutiques. Ils habitaient dans un village, non loin de la ville. Une grande maison et un immense jardin l’entourait.

Son père ayant toujours vécu dans cette propriété ; Alexandra est née et a grandit sous ce toit. Sa mère décédée alors à son plus jeune âge, elle a connu très vite cette belle mère, mesquine dans toute sa splendeur ainsi que ses deux filles qui accompagnaient qui lui servait de belle-mère. Les années qui ont succédé le mariage avec son père ont bien été différentes par la suite.

 

Elle n’a jamais eu la chance d’aller à l’école, ne sait pas bien lire, juste quelques mots qu’elle a appris en cachette, lorsque la maison était vide. Quand il y a du monde, elle doit servir les invités, sa famille. Son père qui dit l’aimer très fort, n’intervient pas dans l’éducation donné par cette seconde épouse.

Il part le matin tôt, pour rejoindre son laboratoire de chimie et ne rentre que tard, le soir.

Alexandra est seule, responsable du ménage de cette grande maison ;  de la lessive, du repassage, de toutes les tâches quotidienne, pendant que sa mère balade ses sœurs opulentes, à la recherche de l’homme idéal, riche pour marier ses filles, devenues adultes.

Elle n’a pas beaucoup de temps pour s’occuper d’elle ou apprendre à lire, ou même écrire dans son grenier, bien mal éclairé.

Dés que la voiture arrive sur le perron, elle a intérêt à avoir terminé les tâches courantes et le programme que belle maman a donné pour la journée, auquel cas, sa punition est sévère.

Elle a déjà été punie et n’aime pas trop la sentence que donne la belle mère.  C’est en général, toujours le même rituel.

Attaché à une poutre, nue ; sa belle-mère la fouette à grands coups de cravache sur tout son corps. Elle est vêtue, en général pour l’occasion d’une guêpière en cuir de couleur noire, munie de longues cuissardes, de larges traits noirs sous les yeux et un rouge à lèvre très étincelante.

Une fois son corps mutilé par de grands coups de fouet, elle dégage ses poignets de la poutre et Alexandra doit lécher son corps humide, pour se faire pardonner de lui avoir désobéi.

Elle commence toujours par le front, pour descendre sur sa large poitrine, qu’elle contourne autour de ses mamelons. Puis, défait doucement sa tenue afin de passer sa langue autour de son nombril, sur son large ventre, descend ensuite et rejoint sa chatte touffue et humide par l’excitation de la grosse marâtre.

Alexandra titille ensuite son clito, en fermant les yeux, fait tourner sa langue en appuyant légèrement à cet endroit. Lorsqu’elle entend sa belle-mère gémir, elle descend sa langue plus bas et l’a fait pénétrer dans sa fente ruisselante. Sa langue rentre dans son puits. Les fesses de la belle-mère se rapprochent de sa bouche, le dos cambré. Alexandra titille de sa langue, profondément  à l’intérieur et avec sa paume de la main, lui caresse le clito de façon circulaire.

Il lui arrive de lui faire pénétrer un ustensile de nettoyage afin qu’elle arrive à son plus haut point rapidement.

Alexandra n’aime pas se faire cravacher par cette femme, néanmoins le passage de la réconciliation avec sa langue ou l’ustensile lui donne tant de frissons dans son corps, dont elle ne peut expliquer que c’est toujours un moment très agréable pour elle.

Lorsque sa belle-mère a atteint son orgasme, Alexandra se retire au fond de son grenier, remets ses aillons sans mettre de culotte et se caresse le pubis tendrement.

Elle finit toujours par s’endormir, détrempée.

A son réveil, elle se lève tôt, en même temps que le chant du coq ; et elle prépare le petit déjeuner pour le restant de la famille, recevoir le programme de la journée également.

 

Un jour, pourtant, alors très occupée comme à son habitude, elle se trouvait à la buanderie quand on sonna à la porte.

Elle n’a pas l’habitude d’avoir un visiteur à son domicile, quel qui soit. Espérons qu’il ne l’a retiendra pas trop longtemps, sinon elle sera encore punie le soir.

A l’ouverture de la porte, sur le palier, une simple corbeille en osier était posée sur le paillasson de la demeure. A l’intérieur il y avait quelques fruits exotiques et un mot.

Une énigme est inscrite : Quels sont les fruits qui sont riche en fer, calciums et phosphore, en carotènes et en fibre.  Lequel est dépurative et digestive.

Déjà qu’elle avait bien de la peine à  assembler ces lettres pour construire le mot, des mots, comprendre le sens…. Elle prend la corbeille, scrute l’intérieur et détails les fruits. Regarde à droite, à gauche de la porte d’entrée et ne voyant personne à l’horizon, referme la porte. Personne, donc la corbeille sera pour elle.

Elle commence par prendre un fruit tout en relisant encore une syllabe afin de réunir le message dans son entier et comprendre.

Puis ayant trainé un peu plus que d’habitude, elle dut se résigner  à accepter l’idée que le soir, une nouvelle fois, elle recevrait une punition, n’ayant pas terminé sa corbeille de repassage.

Le jour suivant et encore le jour après, la même sonnette à une certaine heure retentit à la porte pour laissé une autre corbeille avec la même question.

Alexandra savait finalement maîtriser son temps afin de prendre quelques minutes pour recevoir ce panier, c’était devenu un amusement et puis elle avait également maîtrisé la question.

A la fin de la semaine, elle mit les paniers vide sur le paillasson, une petite demi heure avant le passage de son inconnu et griffonnait sur un papier ligné ces mots : kiwis – litchis – ananas

Elle adore ce jeu, ça lui permettait de penser à autre chose que sa triste vie et de penser que quelqu’un s’amusait avec elle. Elle essayait même parfois d’imaginer l’inconnu. Jeune ? Vieux ? Dame ? Un prince ?

Après avoir terminé sa journée, très rapidement, elle alla surveiller la porte d’entrée. Elle constata avec plaisir que les corbeilles avaient disparues. Donc, son spectre était passé. Mais il ne lui a laissé aucune nouvelle corbeille, ni un autre message, aucune nouvelle énigme. Il était fini le jeu ? Dommage, elle aimait bien ce divertissement qui lui obligeait de lire et même pondre des mots.

 

La semaine suivante, il ne se passait rien à son grand regret. Plus de corbeilles, pas de message, pas de sonnette à la porte… Finalement, quand elle était punie, elle pouvait ressentir ce frisson, on s’occupait d’elle. Là, elle se dépêchait de finir son travail afin de prévoir du temps pour le fantôme à la corbeille, mais il l’avait oublié apparemment.

 

Il lui arrivait de se surprendre, lors de son réveil, au moment de passer sous la douche, de se caresser la poitrine, son pubis soyeux et même parfois de s’amuser avec certains gourdins naturels. Elle le mettait entre ses seins, en suçant le bout orangé ou de couleur verte. Puis, se caressant ensuite le bas ventre, se faisait pénétrer le manche tiède en elle. Le va et vient devenait très rapide ainsi que son souffle. Son corps tout chaud sous sa maigre couette, son dos cambré, souvent les jambes relevées. Le pieu qu’elle faisait rentrer de plus en plus profond en elle, lui faisait ressortir souvent un râle des plus aigus, signe de plaisir.

 

Enfin un nouveau weekend arrive et une nouvelle fois pour le bonheur d’Alexandra qui allait se retrouver seule durant 2 jours. En effet, sa belle-mère et ses sœurs étaient conviées à une fête les deux prochains jours dans un pays lointain.

 

Alors que la voiture emmenant les trois perruches féminines quitte le perron, une autre arrive. Elle est encore sur le pas de porte dans ses pensées quand celle-ci s’arrête devant elle. Intriguée, elle reste devant le perron et inspecte l’inconnu charmant qui en sort. Très gentleman avec un sac à la main, il se dirige vers elle.

Arrivant à sa hauteur, lui tend un autre bout de papier, brillant, genre carton d’invitation. Il a un sac solide en papier qu’il lui tend également. Sans aucun mot. Il reste là, devant elle. Zut ! Apparemment il attend une réponse….. Elle qui fait longtemps pour déchiffrer des syllabes, comprendre un mot….

Elle prend le papier, le sac en papier, fait un pas en arrière et fait mine d’aller chercher quelque chose dans la maison.

Elle ouvre le sac afin de regarder à l’intérieur. Certainement encore des fruits !

Non ! Il y avait des habits. Elle rejoignit le salon de la belle-mère et les sortit. Un joli top rouge foncé, qu’elle s’empressa de le passer à la place de sa vieille guenille. Sa poitrine était mise en valeur par les deux formes préformées afin de soutenir sa poitrine. Une jupe serrée noire et rouge ainsi que le haut d’un tailleur coupé dans le même tissu.

Le mot disait : Tu veux savoir ? Suis le chauffeur !

 

Elle finit de passer le tailler, un dernier coup de peigne sur sa longue chevelure rousse et  elle décida de le suivre afin qu’elle aussi puisse s’amuser un jour.

 

En fermant la porte, le chauffeur, toujours silencieux, lui sourit et lui prit par le bras afin de descendre les escaliers qui menait à la limousine grise qui les attendait.

Il lui ouvrit la porte afin de la faire rentrer  et prit position devant son volant. Ils partirent en silence de la propriété. Passant devant la grille, la voiture s’arrête, ouvre la porte arrière et mis un masque de carnaval sur les yeux d’Alexandra. Lui fit un bisou sur le front et redémarra.

Une demi heure de route, elle senti les virages à droites, à gauches, tous droit. Le changement de vitesses qui permettait d’accéléré ou décélérer.

Enfin, la voiture stoppait. Elle entendit le conducteur sortir de la voiture, claqué doucement la porte avant et ouvrir sa porte.

Alexandra mettait la main sur son masque pour l’enlever mais il lui confirmait que ce n’était pas encore le moment, il lui retient la main, puis lui prit le bras pour la conduire. Des escaliers, un couloir, encore des escaliers. Le sil était pavé de carrelages et l’endroit lui paraissait froid.

Enfin ! Une porte grinçante lui confirmait le bout de son voyage. Le chauffeur, lui enlevait le masque, lui refit un large sourire comme pour la rassurer puis s’en alla. Il était du genre espagnol, elle le trouvait envoûtant.

Visitant les lieux de son regard interrogateur, elle pu voir un large lit en baldaquin au fond de la pièce, une cheminée en pierre, quelques meubles anciens, de grandes fenêtres ici et là dont les rideaux étaient tirés de chaque côté et retenu par une bande de satin de la même couleur.

La porte principale ne fit pas longtemps avant de se rouvrir, laissant le passage à un homme de corpulence moyenne. Noiraud, ses yeux  étaient verts émeraude et un sourire d’une élégance très raffinée se dirigeait vers Alexandra. Il lui prit la main qu’il s’empressa de l’approcher à ses lèvres afin de déposer un tendre baiser.

Interloquée, elle avait envie de lui poser des milliers de questions. Mais visiblement il n’en avait pas envie. Il l’attira sur son lit, au fond de la pièce et commença par déposer de légers bisous. Alexandra adorait ce moment. Elle ne savait pas qu’il était, il ne lui était pas présenté, lui offrait un joli tailleur, l’invitait chez lui ; elle qui n’avait aucun intérêt pour personne et était prêt à lui faire certainement  pleins de câlins. Le rêve !

Allongé maintenant sur le dos, elle le scrutait. Un homme d’une tendresse infinie lui caressait le visage, bisous dans le cou, puis descendait doucement sur sa poitrine. Il caressait ses mamelons et pinçait légèrement les tétons. Alexandra ferma les yeux. Il continuait. Puis il extirpa un sein de don top, contournait le téton avec sa langue, le mordillait doucement, sortit le second de sa toileet le malaxait. Sa peau était douce.

Elle sentit la chaleur de son corps monté. Doucement, il lui ouvrait le bouton de sa jupe qu’il fit glisser le long de ses jambes.

Elle ne refusait rien tant elle était surprise du déroulement de sa matinée.

Lui, il fut surpris de découvrir son string. En fait, elle l’avait prit dans un placard de l’une de ses demi sœur et l’avait rétréci à sa taille. La jupe mise de côté, sa langue reprit à la hauteur de son nombril. Puis descendit vers le bas de son ventre. Il passait sa langue sous son string rouge qu’il écarta délicatement. Ses doigts caressaient son clito. Elle voulait se redresser afin de s’occuper de lui à son tour, mais il l’empêcha en la plaquant encore sur le dessus de la couverture. Puis il glissait sa langue à l’intérieur de son abricot. Elle avait un court instant l’image de la scène belle-mère et elle, mais le rapport n’était pas le même. C’était plus sensuel et elle profitait au maximum.

Elle se redressait, le regard insistant, les yeux dans les yeux et commença à l’embrasser tendrement. Leurs lèvres collés, elle lui caressait les épaules, déboutonne sa chemise en lycra bleu. Une fois sa chemise sur le lit, elle passa au pantalon qu’elle fit glisser doucement en b as de ses jambes. Le voilà qu’il se retrouvait en boxer.

Il l’attirait alors sous les draps de satin et leurs langues ne finissaient plus de s’en mêler. Il l’enlace tendrement comme si ils se connaissaient depuis tellement longtemps.

Sa tête sur l’oreiller, Alexandra descendait son visage  en direction de son boxer où elle pouvait constater une large bosse qui s’amplifiait d’ailleurs de seconde en seconde. Elle caresse cette bosse avec insistance et dégage ce membre de sa prison en coton. En passant l’index tout le long, elle arrive à son début ou elle décalotte, puis commence à lui donner des coups de langues tout autour du gland.

Son chypre gonfle de partout, elle profite de l’enfourner dans sa bouche. Tout en la maintenant entre son palais et sa langue, elle savoure son plaisir. C’est autre chose que le minou à belle maman !

Ses yeux légèrement closes, elle poursuit une fellation digne de ce nom. Elle sent son souffle s’accélérer. Ses gestes deviennent plus précis, son va et vient devient plus rapide, elle serre son membre tout en le maintenant fermement dans sa bouche.

 

Il n’en peut plus…  décidément, elle est une experte en la matière. Il la relève afin qu’elle revienne à sa hauteur et la pénètre d’un coup presque brutal et tendre à la fois.

Oups, il se rend compte alors qu’elle était encore vierge, mais avec une telle expérience.

Il l’a prend ensuite en levrette et là Alexandra entend la porte se rouvrir. Elle est sur les genoux et il est derrière elle. Sa queue dans on sexe humide, ses mains sont agrippées à ses hanches, la tenant fermement. Chaque coup de reins lui fait jaillir un cri de plaisir.

La porte s’est ouverte pour laisser passer le conducteur.

Oh mais pas de soucis…. Plus il y a de monde, plus il y a de plaisir !

Elle ne croyait pas si bien dire !

Le chauffeur les rejoints, ouvre sa boutonnière, se place devant Alexandra et lui enfile son pieu dans la bouche.

Deux !

Elle n’y croit pas, même dans ses rêves les plus chauds, elle n’y aurait jamais osé croire qu’elle allait avoir deux hommes pour elle.

Elle mouille énormément tellement elle est excitée.

La cadence des sexes entre son minou et sa bouche s’accélèrent  dans le même rythme.

 

Très vite, un râle collectif se fait entendre dans toute la pièce.

Très fatigué par cet énorme orgasme à trois, ils tombent couché sur le lit. Alexandra au milieu. Elle ne sait pas combien de temps, ils restent là, les trois, en silence. Les hommes, chacun à son tour, lui caressent une partie de son corps, enlacés.

Enfin l’homme qui lui à offert sa chambre, ses premiers câlins, prit sa virginité lui explique qu’il est son futur mari, arrangé par leur mère respective, lors de sa naissance. Il avait tardé à la trouvé, ne sachant pas à quoi elle ressemblait. Et puis, il vivait avec un homme, son chauffeur. Richissime commerçant, il ne voulait en aucun cas se séparer de cet homme et pourtant voulait tenir la promesse de sa mère.

 

Alexandra ne retournait plus dans son grenier, le mariage fut annoncé rapidement dans le village et heureuse d’avoir deux homme pour elle.

Par tiwi - Publié dans : histoire érotique
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Lundi 16 août 1 16 /08 /Août 00:40

Enfin arrivé à la maison de vacances, valises défaites, enfants devant leur ordi, mari devant la télé, je décide de faire le tour des environs et faire une tête dans la piscine avoisinante.

Quel régal, après quelques heures de route, détente dans l’eau. Quelques chaises logues arpentent le long du bassin. Certaines femmes en petite tenue deux pièces, des messieurs allongé sur  leur linge avec le journal, des enfants qui sautillent dans cette eau presque tiède.  De longues traversées, tantôt façon la brasse, ou le crosne, sur le dos…. Un plaisir attendu depuis longtemps.  A chaque traversée, des pensées furtives, des pensées imaginaires et regard sur le paysage magnifique qui m’entoure.

Le lac Majeur en contrebas de la piscine, les montagnes vert immense…. Paradis sur terre.

L’heure tourne, je sors de l’eau, passe le linge autour de mon corps, savate aux pieds ; départ direction de l’appartement en location pour une semaine.

Après une bonne douche, petite robe légère, j’étend mon linge sur la terrasse et prépare la table afin de convier ma famille au repas du soir.

Les casseroles bouillonnent, la salade est prête, une bonne odeur commence à se faire sentir dans toute la pièce.

De l’autre côté de la cloison, il y a aussi du bruit. Il semblerait qu’il y a du monde qui se prépare également à faire un bon repas sur la table de la terrasse. Une paroi fine en verre coloré et opaque nous sépare. Je ne vois pas les deux personnes, mais c’est sûr, deux personnes sont sur la terrasse et profite également de ce restant de soleil.

Une petite lucarne à 70-80 centimètre du sol est sur toute la longueur de cette paroi et permet d’entrevoir les jambes nues de mes inconnus. Avec ce petit bruit succinct, curieuse, je tourne la tête et fixe cette petite ouverture.

Heureusement que personne n’est avec moi sur la terrasse,  j’ai senti mon visage chauffé immédiatement. Mes joues devaient êtres écarlates. De l’autre côté, je voyais 4 jambes. Deux laissaient entrevoir une culotte blanche au dessus des ses cuisses. L’autre paire, jambe entre-ouverte laissait entrevoir un magnifique serpentin, tête en bas, mais …. Joli spécimen. Il étendait son linge sur l’étendage, tranquille, sans se soucier qu’il pourrait avoir du monde de l’autre côté de la paroi.

J’ai senti une chaleur chaude parcourir tout mon corps.  Envie de faire un câlin, envie de voir cette tige se durcir. Dans le salon, mon mari dort encore en attendant l’appel  pour se mettre à table. Ma fille sort de la douche et mon fils lit un livre tranquille. Je ferme les yeux un instant et je m’imagine être tout seul avec mon mari dans cette pièce qui nous sert de salon. J’aurai adoré le sucer là, tout de suite.

On passe à table et à deux reprises, mon regard fixe l’encadrement du voisin. Il n’y a plus personne mais quel plaisir d’avoir joué à la voyeuse quelques instants.

Le jour suivant, balade et excursion toute la journée, courses alimentaire afin de remplir le frigidaire et avoir les divers nécessités pour une cuisine camping, genre sel, pâtes, légumes et viandes.

Au retour à la location, rebelote, je vais me détendre un moment à la piscine.

Repas familial, puis dispersion de chacun. Pour mon fils, ce sera balade nocturne. Ma fille, télé, elle est fatiguée. Après avoir rouspété toute la journée quant à la longueur de la marche, elle a décidé de ne plus bouger de la soirée.

Je n’ai pas pu résister à penser à la belle trompette de hier et tenté de lancé un petit regard de l’autre côté de la cloison. Mais pas âme qui bouge et bien vite, je l’oublie et m’habille pour passer une soirée Jazz avec mon mari sur la terrasse de l’hôtel.

A notre retour, mon mari va se coucher, fatigué, il reste devant la télé et ma fille dort. Mon fils n’est pas encore rentré, mais il est majeur et les balades nocturnes, il adore.  Je lui fais confiance.

Je prends un livre et je vais lire sur la terrasse, tranquille, afin de profiter de cette douce chaleur de fin de soirée.

Les bruits de part et d’autres s’estompent petits à petits. On entend encore le grillon, au fond du jardin, des chuchotements dans les alentours de temps en temps, ou une porte fenêtre claquer en guise de – bonne nuit –

Entre temps, mon fils est rentré, douché, et départ pour un long sommeil paisible. Dans la maison, tous le monde s’est endormi. Je profite de mon livre, n’ayant jamais trop de temps hors vacances.

Allongé sur un transatlantique, couverture, je profite de la vue, de ses lumières qui reflètent tout autour de ce beau lac, de mon livre et d’un bon café. De temps à autre, j’imagine une scène coquine, une image câline, envie de sentir un baiser dans le cou, mais je me remets très vite à ma lecture.  La nuit est douce, il fait bon, et le silence est paisible.

Soudain un bruit sourd me fait tourner la tête. Je n’avais pas vu que le voisin avait également pris place sur une chaise longue. Une petite lumière m’indiquait qu’il fumait une cigarette, tranquille, seule, également. Sa compagne devait aussi être dans son lit.

Ses jambes poilues repliées, je ne voyais que ses fesses nues et la pliure de ses gambettes. Pas de sous-vêtement, si  ce n’est qu’un t-shirt ou quelque chose du genre qui couvrait le haut apparemment.

Je repris mon livre ayant un peu honte de mon regard sans vraiment une grande concentration sur le sujet de ma lecture.

Son image de la veille me revient dans ma mémoire et je me concentre alors sur la vue, le calme de l’endroit. Un petit soufflement retient à nouveau mon attention et je retourne instinctivement la tête dans la direction de ce petit bruit. Je ne crois pas mes yeux, il est entrain de se caresser. Je n’ose plus bouger, ni même respirer. Il sait que je suis là, lui ? Ou alors aucune pudeur et il s’en fout que je le regarde ou non. Quel âge as t’il ? Jeune, plus âgé ? Exhibitionniste à ses heures ?

Je m’enfonce dans mon transat, remonte la couverture et ne bouge plus.

Il fait nuit et je ne distingue pas grand-chose, moi qui est une spécialiste pour ne rien voir la nuit. Mais je l’entends et par le rythme de sa respiration, je comprends qu’il passe du bon temps.

Ma main, sous la couverture effleure ma nuisette et m’aperçoit que je suis hyper excitée. Entre mes cuisses, je suis toute humide et je ressens cette même chaleur dont j’avais ressenti la veille.

Je n’ose pas trop bouger mais ne peux m’empêcher de titiller  mes lèvres doucement afin de ne pas alerter ma présence au voisin.  Je contrôle ma respiration et les mouvements de ma main s’active entre la fente de mes lèvres et mes fesses.

Une lumière jaillit après un long soupir. En fait c’est son allume cigarette, qu’il fait fonctionner en récompense de son long préliminaire en solo. J’ai pu voir en quelques secondes, qu’il avait jouit sur son ventre et qu’il avait un linge pour s’essuyer, à l’autre main. Quel délice à mes yeux, j’adore voir un homme ou l’entendre gémir.

Il finit sa cigarette et se lève. J’entends la porte fenêtre claquer, la lumière de son salon s’éteindre. Je suis seule. Je suis toujours aussi excitée et tranquille pour me laisser aller à mon tour.  Un doigt, puis deux, quelques va et vient avec ma main, je ruissèle en imaginant faire l’amour avec l’inconnu à la longue tige.

Longue ? Est ce que j’aimerai vraiment ? Je ne suis pas sûre, mais étant donné que c’est l’inconnu dans cette taille, je peux avoir toute l’imagination que je veux.  

C’est l’heure de rentrer à mon tour, tout est paisible dans l’appartement, quelques ronflements à peine audible. Je ne peux pas aller me coucher… collante, donc petit passage sous la douche et je change de nuisette, puis dodo.

Le lendemain et le surlendemain, pas de regard déplacé, pas de câlin en solo, pas d’idées coquines.  Petit déj, puis shopping l’autre côté de la frontière, en Italie. Ca nous fait rentrer tard, quelques visites de monuments, églises magnifiques ; repas du soir dans un restaurant, pizzéria, le surlendemain.  

Le cinquième jour, on passe toute la journée sur un barrage et une longue rivière, où de super rocher sort de son lit. Ca nous permet de passer d’une pierre à l’autre et scruter une eau transparente. Le pique-nique est agréable, le soleil est chaud. On mouille nos pieds, tente parfois d’aller humidifier le nombril, mais on ne reste pas longtemps, elle doit avoir 10 degrés au maximum.

Quand on reprend la voiture, il est tard, il y a beaucoup de bouchon sur l’autoroute qui mène à notre location. Je prends patience, ma famille s’est endormi dans l’habitacle. Ils me font confiance et savent que je les mènerai à bon port.

Rentré, je fais un petit repas pour tout le monde, une douche, la vaisselle et je file dormir. La route m’a épuisée.

Dernier jour de ballade, le coq du coin nous réveille tôt, on va prendre le bateau et partir dans un endroit sportif. Pleins de bassins différents où l’on s’éclate et où chacun de nous peut enfin choisir son degré de détente, d’efforts.

Le sauna m’accueille les bras ouverts. C’est un endroit spécial nudiste. J’ai de la peine à me dévêtir en entier, mais en laissant mon linge autour de la taille, je rentre dans cet endroit.

Mon mari est allé dans le bain de vapeur. C’est moins chaud et plus supportable. Je l’accompagnerai plus tard.

Le sauna est grand. Il y a des hommes, des femmes. Pas de regard espiègle ou coquin. Je me sens vite à l’aise et défait un peu mon linge afin de profiter de la chaleur. La salle est grande. Je scrute le lieu, et certains endroits sont très sombres. Je pense que c’est bien la première fois que je rentre dans une aussi grande salle. Certains hommes sont très à l’aise, jambe entre-ouvertes, il y a des moyens, des grands…. Je profite de promener mes yeux ici et là, comme ils le font aussi, sans un mot et parfois, juste un petit sourire.

Puis, l’homme perché sur la dernière banquette retient mon attention, comme le voisin de la location.  Elle doit être spéciale, la voyant de plus près…….. Elle est vraiment très longue. Je ne suis toujours pas en mesure de voir son visage et ne peut pas savoir, en aucun cas, si un et un font deux et que ce soit la même personne. Mais une femme est à ses côté.  En regardant ses mains qui sont éclairés par la lumière de la salle chaude, je ne pense pas qu’il soit très jeune.  Mais … bel engin probablement.  Super chaud, pas l’habitude, à contre cœur, un peu ; je sors et après une douche rafraichissante, je rentre quelques minutes dans la salle de bain turc.

Puis une dernière douche avant de partir….. En solo, porte fermée. Toutes ces trompettes s’offrant à ma vue, sans câlins, ça en était trop pour que je rentre sans me faire jouir. La douche bruyante, je pouvais me caresser sans alerter qui que ce soit autour de moi. Ma main qui se balade entre mes lèvres finit par entrer entres-elle. Une jambe surélevée sur le rebord, une main qui se promène sur ma poitrine.  Mes tétons se dressent et crient son envie de plaisir. J’ai le temps, je prends le temps. Appuyée sur le mur carrelé, je me caresse de plus en plus, mais pas assez de pouvoir, envie de plus. Je nettoie à fond la bouteille qui me sert de savon liquide pour la douche et le l’introduis doucement  à l’intérieur. Elle a la taille parfaite à mon abricot. Elle glisse et s’enfonce doucement à l’intérieur. Puis lentement, je la sors pour la remettre, plus loin.  Le va et vient prend un rythme régulier. Encore, encore. Je m’abandonne à cette douce caresse. Mes jambes coulent un liquide épais et presque collant. Je ne me suis pas rendue compte, moi qui suis fontaine, que mon plaisir à explosé, que je jouis, là, sous cette douche tiède.  Je nettoie ma bouteille, l’ouvre, me verse un peu au creux de la main et m’asperge le corps de cette substance parfumée, partout. Avec la pomme de la douche, dirigée sur ma chatte, je la rince. Ses jets puissants me procurent une dernière sensation avant de fermer l’eau et me sécher.

En sortant de la douche, curieusement il y a des messieurs qui se douchent dans le jet collectif. Pas de femme ? Je me suis trompée de vestiaire ? Il me semble qu’il n’y avait pas de séparation.

Non, en effet, il y en avait pas, mais je ne suis pas toujours très silencieuse, j’ai certainement du me laisser aller plus que je ne le pensais. Au vu de certains sourire en me regardant sortir. Oups !

Le réveil sonne tôt ce samedi, et après le petit déj, je rassemble les affaires, les enferment  dans les différentes valises que je charge dans la voiture. Après avoir nettoyé l’appartement, un dernier coup d’œil sur la terrasse. Sur le bord de la terrasse adjacente, les mains sont posées sur le rebord. Sans doute, il est également prêt à partir et savoure une dernière fois la vue avant de partir à ses activités courantes. Ses mains paraissent à avoir un certain âge. Celle du sauna ? Je ne saurais pas, je n’ai toujours pas accès à son visage et c’est aussi bien comme ça.

En route !

Par tiwi - Publié dans : histoire érotique
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Mercredi 28 avril 3 28 /04 /Avr 00:07

Le printemps est de retour.  Balade au lac. Le soleil est rayonnant.

 

Les coquines sont sur le 31. Haut talon, mini jupe et décolleté. Les coquins ont la chemise ouverte et on peut apercevoir une toison naissante apparaître sous le premier bouton ouvert.

 

J’ai repris ma marche et j’aime regarder autour de moi tous ces gens qui m’entourent, paraissent heureux. Des mamans accompagnant leur bambins en roulettes ;  vélo, patin, trottinette ou alors c’est la petite de la famille qui pousse une jolie poussette à sa hauteur avec une poupée de chiffon.  Quand au garçon, c’est une télécommande qu’il a dans la main, pour  avancer le dernier  engin à 4 roues faisant partie de son rêve masculin.

Et puis sur le banc, là-bas, il y a une rousse accompagné sans doute de son mari beaucoup plus âgé, ils s’embrassent sans se préoccuper du monde derrière.  En face, un peu plus loin, c’est des ados qui se promettent pleins de choses douces et tellement réel.

Un groupe de jeune tape le ballon tout en marchant et se racontent  leurs dernières conquêtes.

 

Quand je lève les yeux, les arbres sont immenses, sont infinis. Un écureuil  traverse d’arbre en arbre, grimpe sur une branche, saute plus haut et continue sa lancée. Ca fait lever  les yeux de toutes les têtes  réunis  dans un cercle minime. Ceux qui n’ont pas compris le pourquoi de ces regards vers la cime, s’avancent et veulent aussi participer à cet air ahuri et joyeux.                                                                                          

On dirait que cette petite bête roussâtre fait exprès de rattraper une branche puis une autre à la dernière minute, juste pour nous faire profiter  d’un spectacle  merveilleux.  Puis il monte très haut, il veut se reposer et nous fait comprendre qu’il n’a plus envie que les spectateurs le fixent et en effet, message reçu, toute la petite troupe s’en va  avec le sourire  aux lèvres d’avoir passé un moment magique.

 

Des petits bisous par-ci, par-là, et puis tous le monde se dispersent dans plusieurs directions.

 

Les couples se recollent un peu plus, témoignent la tendresse qu’ils ressentent l’un pour l’autre.

 

J’aurai aimé que tu sois là, que ta main soit dans la mienne comme notre balade où j’avais l’impression d’avoir arrêté le temps.  On était alors dans ta région, tout autour de moi était magique et ton sourire si prometteur, si joyeux.

 Je voudrais te faire découvrir mon lieu insolite, ma balade de prédilection.  Mon chez moi.

 

Ta main qui serre la mienne  au gré de nos pas, des bancs qui nous accueilles, tes baisers qui se collent à mes lèvres. Un coin insolite, une entrée d’une grotte boisée, tu m’attire loin des regards indiscret. Tu m’enlace, m’embrasse dans le cou, me caresse le bord de mon décolleté. Nos yeux se fixent,  ta main descend au bas de ma robe et la soulève un peu.

A travers mon string, tu sens mon humidité qui te confirme ma très grande envie.  Je sens la chaleur nous monter doucement et nous parcourir tout le corps.

Ta seconde main effleure un téton dessous mon chemisier, puis ta langue l’emprisonne. J’ai envie de te faire l’amour, là, tout de suite ! Je caresse le dessus de ta tête, je frotte mon bas ventre contre ta main qui lentement s’est fait une petite place entre mon string et mes lèvres.  Un doigt plonge dans ma caverne humide, puis deux.  Je finis par dégouliner. J’oublie le bruit lointain qui me confirme que l’on est bien dehors, entre deux immenses chênes, pour ne prendre que le plaisir que tu m’offre.  Femme, je le suis et te confirme ma jouissance jusqu’en bas de mes chevilles. Un long baiser clôture ce passage charnel.  Je m’agenouille face à toi afin de te donner autant de plaisir que j’ai ressenti précédemment.

Ta bosse est énorme et juste au toucher, mon corps vibre déjà de partout. Je la caresse doucement à travers ce  tissu qui fait partie de ton pantalon. Baissant la fermeture éclair, j’atteins très vite ton boxer. Tu as mis celui que j’aime, il est seyant et tellement excitant.

Je le rabaisse et  fais sortir ce chypre dur  et si doux. Ma langue titille le long de cette tige par petits à-coup, caresse tes boules avec mes doigts, puis remonte en douceur. Je happe le gland, puis passe entre mes lèvres, centimètre par centimètres.

Mes mains emprisonnement tes fesses et  jouent du va et vient en suçant de plus belle ce bâton que j’admire… en rêve.

Adossé à cet arbre, je t’entends gémir doucement, encore, plus fort……. On va se faire repérer….. Puis j’arrose le tronc de ton jus.

 

Une goutte humide sur ma joue me fait revenir à la réalité.

 

Mais où est cet écureuil ? Il dort ? Il n’y a plus personne autour de moi, tous le monde s’est dispersé, afin de se protéger de cette fine pluie qui nous surprend.

 

Je vais finir mon chemin entre les arbres et reprendre le bus qui m’emmène à la maison. Une belle balade qui se termine avec ton image qui m’accompagne à chacune d’elle.  Comme j’aimerai ta présence dans ma région, un jour….. je te ferai découvrir.

 

 

 

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Par tiwi - Publié dans : histoire érotique
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Dimanche 22 novembre 7 22 /11 /Nov 09:39
Une histoire chaude........ mais pas écrite par moi. Je ne fais qu'un copier / coller .

Un coquin qui a eu envie d'écrire  spécialement pour mon blog. Merci beaucoup pour toutes ces heures passé devant ton clavier. Et bravo pour l'imagination


Certains choisissent des vacances au soleil, d'autres à la mer... J'ai choisi des vacances sexe; tout est organisé en direction de ça.

J'ai choisi cet année la Suisse, la forte densité de clubs libertins des deux coté de la frontière étant assez intéressante de plus je me suis acoquiné avec une jeunette qui fait les saisons d'hiver dans les alpes, aussi lesb que ça puisse être possible, à qui je sert de chauffeur et à qui, il faut bien le dire je paye ses entrées en boite.

Elle et moi formons un couple genre Laurel et Hardy, elle le mètre soixante une quarantaine de kilo tout mouillés, bien « pti mec » moi avec mon mètre quatre vingt et ma carrure de pilier de rugby. Elle me sert de caution couple et à nous deux nous écumons les clubs libertins du coin; une fois dans le club, chacun pour soi...

Il y a bien des tauliers qui ont essayé de nous brancher pour savoir si notre union a quelque chose de réel, mais notre comportement assez « chaleureux »elle n'hésitant pas à me mettre la main à la braguette même tôt dans la soirée passait pour assez vraisemblable.

 

La veille nous avions décidé de ne pas sortir, ça faisait dix jours où nous ne sortions que la nuit, et la fatigue se faisait sentir, et d'après ce que j'avais compris, elle venait de mettre la main sur une femme du coté dAnnemasse.

 

Du coup j'étais debout de bonne heure et je contemplais le départ du voisin, surtout son inefficacité noire...

Les voisins enfin de ceux qui m'avaient prête la maison, de lointains cousins de ma famille belge... Lui, je pense même ne pas le reconnaitre si je devais un jour le rencontrer dans la rue, elle par contre plutôt petite, de bonnes fesses auxquelles il doit être bon de se cramponner et surtout un visage qui te dis  « j'en veux ».

J'avais bien essayé de voir si il y avait moyen de moyenner de ce coté mais nounours s'était pointé et j'avais lâché le miel... C'était bien dommage car alors que la voisine extrayait du coffre de sa voiture une montagne de trucs, un coup de vent fort à propos avait soulevé sa jupe, et j'avais eu le spectacle charmant de ses jambes ainsi que la certitude qu'elle portait soit un string, soit rien.

 

Rentrant dans la maison je m'étais masturbé en pensant à ce que je pourrais lui faire; elle m'avait tapé dans l'œil avec son bon cul, pointure quarante quatre, et je m'imaginais bien le faire claquer contre le haut de mes cuisses...

Pour le moment je me bâfrais avec un petit dej' costaud et je contemplais le départ du monsieur depuis le balcon ou j'étais installé et qui surplombais leur jardin tout en pensant aux fesses de la voisine. Le voisin n’était pas un spécialiste des départs et faisait un nombre incroyable d'aller et retours entre sa voiture et leur maison... C'en était comique... Enfin il réussit à partir et je notais machinalement qu'il ne partait pas bien longtemps avec sa petite valise.

 

Pour faire passer le petit déj' je marchais quelques pas sur la pelouse lorsque je fus pris d'une envie de pisser monumentale, j'étais em caleçon et en tee-shirt noir et je m'étais approché de la haie car le soleil même encore bas sur l'horizon tapait dur et j'avais chaud avec mon tee-shirt. Je me tournais vers la haie et fis ce que j'aime beaucoup : Pisser droit devant moi, j'apprécie beaucoup de ne pas avoir à viser la cuvette et, les mains aux hanches, je pissais droit devant moi... Cela me prit du temps car l'évocation des fesses de la voisine m'avait mis dans un début d'érection. Quelque chose me troubla...

En bas les arbres qui composaient la haie étaient dégarnis une vingtaine de centimètre avant le sol et laissaient passer la lumière crue du matin, celle-ci était interrompue par les troncs des arbres à distance égale des un des autres, sauf qu'il y en avait deux complètement rapprochées... Je compris vite ce qu'elles étaient... C'était l'ombre des jambes de la voisine ! La voisine était en train de me regarder pisser ! Je terminais et, dans la foulée, je me mis à me masturber en regardant bien si les deux ombres disparaissaient... Que non ! Elles s'étaient fondues pour ne former qu'une masse sombre, de toute évidence la voisine s'était accroupie et sans doute, devait se masturber elle aussi; trop près de la haie, je ne voyais rien...

Je fis un peu durer le spectacle, autant que je puisse mais le fait de me savoir vu durant une masturbation est quelque chose qui me titille au plus haut point.

Je finis par une belle giclée de sperme dont j'ai le secret, suivie des plusieurs autres, l'ombre de la voisine se fondit avec la lumière entre les arbres. A ce moment de mon récit, je dois expliquer quelques choses...

Certains hommes ont une longue verge, moi pas; d'autres en ont une grosse, moi pas. J'ai eu la confirmation par des avis avisés et par ce que j'ai pu voir soit en club soit en soirées, que je suis totalement dans la moyenne. Me distingue seulement un gland quelque peu disproportionné par rapport au reste de la verge, cela plait bien à celles qui adorent sucer, et surtout une production de sperme très importante et puissante, cela est quelque peu handicapant car dans le cas où j'éjacule dans une bouche peu expérimentée, sa propriétaire se trouve bien embarrassée par se qu'elle vient de recevoir... J'ai vu certaine fois ma partenaire tousser, et pour que tout se passe bien, il faut que j'éjacule au font de la bouche la première giclée, les suivantes étant peu importantes. Je ne peux pas me retirer non plus car ma partenaire a la figure aspergée, ce qui en rebute plus d'une, cela aura une importance dans la suite de mon récit.

J'en étais à me demander ce que je pourrais faire avec la voisine lorsque j'entendis le moteur de sa voiture démarrer.

J'avais repéré un portail entre nos deux jardins, il y avait des portes de communication entre tous les jardins c'est souvent le cas avec les pavillons chauffés ou ayant été au fuel, ça évite de faire passer les tuyaux de livraison pas le devant des jardins; je me mis en quête de la clef dans l'entré j'en avais vu accrochées à un petit tableau, une seule pouvait convenir et quelques minutes plus tard je me retrouvais dans le jardin d'à coté. Du linge séchait sur le fil, dont quelques sous-vêtements femme, noir pour la plupart et qui ne me laissaient plus aucun doute sur le goût de ma voisine en ce qui concerne les strings. J'avais là mon plan ! Je pris deux strings et un torchon en laissais un à terre et retournais de mon coté sans fermer la porte à clef.

Je contemplais ma prise, cela me mis en érection et je me masturbais un peu avec le plus fin des deux strings.

Une heure ou deux après la voisine revint et je lui dis depuis le balcon : « Madame il y a du linge à vous qui s'est envolé et qui est tombé ici. » J'agitais le torchon, elle me répondit : « Merci... Vous pourriez me le lancer par dessus la haie ? » Je descendis donc dans le jardin...

Arrivé à la haie, je jetais le torchon qui passa après deux essais malgré le vent, il avait un vent de sur fort ce jour-là mais ne lançais bien évidement pas les deux culottes, faisant semblant de râler après le vent... « Ça ne passe pas, trop léger !  Attendez, il y a une autre solution » Je me dirigeais vers le portail et mettais un pas dans son jardin... « Je ne me souvenais plus de la porte dis-je ».

Tu parles que je m'en souvenais ! Je lui donnais ses deux culottes, elle rougit comme une pivoine ce qui, avec sa peau blanche dû se voir de loin. Je n fis aucun commentaire grivois, et les deux strings disparurent en boule avec le torchon. J'embrayais vite sur mes considérations sur la météo du jour... Blablabla... Qu'il faisait chaud... Un bel échange de banalités... Au bout d'un moment je lui offris de prendre un verre, et après le refus de rigueur elle finit par accepter... J'étais aux anges ! Pour éviter qu'elle craigne d'être vue, je lui proposais la terrasse derrière la maison... Nous avons bavardé longtemps, je proposais que nous nous appelions par nos prénoms, le sien était Monika, puis je lui demandais à brule pourpoint : « A fait, le spectacle de ce matin vous a bien plu ? » Elle prit cela comme un seau d'eau froide et bafouillait « Le spectacle ? » Là je lui lâchais tout, le soleil les ombres... Elle répondit toute troublée : « Pardon, je suis désolée... Un moment d'égarement... Pardon mais je dois partir, mon mari va arriver. » Elle se leva, je me mis devant elle et lui dit « Oui sans nul doute, et avec sa valise ! » Pour lui faire comprendre que je savais qu'elle mentait...

 

- Écoutez, je ne voudrais pas que vous pensiez certaines choses à mon sujet...

 

  - Mais je ne pense pas, et je me suis fait plaisir en sachant que vous me regardiez.

 - Je suis une femme sérieuse

 

 - Moi aussi je suis sérieux.

Je lui pris la taille et la nuque et je l'embrassais longuement elle me repoussa faiblement et bientôt j'eus ses bras dans mon dos. Je dégrafais son corsage, je voyais ses tétons rose vif à travers le soutient gorge blanc, leur couleur ne me surpris pas, la couleur est toujours la même que celle des lèvres, par contre je fus surpris par leur dureté lorsque je passais ma main sur ses seins. Je la poussais vers le divan qui se trouvais là, et je me mis à coté assis sur mes talons, là, je commençais à lui caresser les cuisses, elle protesta mollement... « Non... Je vous en prie restez sage ». Je passais outre ses protestations qui n'en étaient pas et je continuais à la caresser entre les jambes qu'elle avait  toujours serrées. Je descendais aux pieds, elle avait des sandales à talon et qui ne cachaient pas grand chose, j'étais entre temps entré dans une solide érection, mais je me maitrisais, malgré l'envie que j'avais de sortir ma verge. Je lui enlevais ses chaussures et commençais un massage des pieds, surtout dans la région qui correspond au sexe, chaque zone des pieds correspond à une zone du corps précise.

Je prenais mon temps, il ne faut pas être pressé dans ce genre de situation, je remarquais que ses jambes tout à l'heure raides se ramollissaient au fil du massage et quittais ses pieds pour monter un peu plus loin, mais sans monter jusqu'en haut des cuisses car je ne la sentais pas prête, pas contre, elle se laissa aller quand je la fis passer sur le ventre et je recommençais à lui masser les pieds. Je ne m'attardais pas longuement et bientôt mes mains furent en haut de ses cuisses, mais toujours sous sa robe...

Je la sentais prête. A ce moment là je lui remontais la jupe jusque aux reins... Une vision sublime... Son cul s'offrit à mon regard, un beau cul bien rond je m'arrachais à ma contemplation et commençais à le lui caresser à deux mains, je remontais le long de son dos tout en la massant et en profitais pour dégrafer son soutien-gorge, je revins à son cul m'attardais encore dessus un moment, cette fois en alternant mes caresses avec la descente alternée de mes deux index entre ses fesses en réprimant l'envie que j'avais de sortir ma verge et le faire de même avec. Elle avait un string blanc qui n'étais qu'un ruban au niveau des fesses et qui disparaît entre elles, je le lui baissais elle se laissa faire avec un petit soupir et se remis sur le dos sans que j'ai beaucoup à faire. Elle avait maintenant les jambes entre-ouvertes et je devinais sa toison à travers le string qui ne cachait pas grand-chose, tellement léger qu'il était, je passais mon index entre ses jambes, le saisissais et commençais à tirer dessus en la regardant droit dans les yeux, je vis alors sa toison, une toison de brune, bien épaisse et qui cachait parfaitement son intimité; encore une fois je reposais mes mains sur ses jambes et m'attaquais cette fois-ci à l'intérieur des cuisses... J'attendais qu'elle s'ouvre, ce qu'elle  ne tarda pas à faire et je commençais à voir l'entré de sa grotte...

Je fis descendre mon pantalon, mis ma verge sur le coté pour qu'elle puisse bien deviner sa forme, mais alors qu'elle devait s'attendre à me voir baisser mon caleçon, j'approchais ma bouche de sa fourrure et lui fis profiter de mon souffle... Je faisais comme on fait quand on veut faire  de la buée sur un verre, elle me prit la nuque avec sa main pour manifester son impatience. A ce moment là je m'installais plus confortablement et lui remontais les jambes en commençant à lui faire des baisers sur son sexe... Elle devenait impatiente, lorsque je fus sûr qu'elle mouillait je lui mis un doigt dedans, il sortit mouiller, je profitais de la lubrification pour le promener doucement entre ses lèvres et sur son clitoris.

Elle avait un très joli sexe, c'était un bonheur que de jouer avec. Elle commença à gémir ce qui fut pour moi le signe du passage à la vitesse supérieure... Je tétais littéralement son clitoris, alternant avec des pressions du pouce; de l'autre main, après un moment passé à ne lui mettre que l'index, je lui introduisais le majeur alternant les entrés-sortie avec un mouvement de rotation de la main. Je n'attendis pas longtemps avant qu'elle n'eut un orgasme... Je restais sans bouger au même endroit et attendais qu'elle fût un peu calmée... Quelques minutes passèrent et je recommençais de la même manière que je faisais lorsque je m'étais arrêté, je recevais de plus en plus de récompense sur la main et, de temps à autre enlevais mes doigts pour la recueillir, Monika de son coté n'en pouvais plus et à ce moment là je modifiais le mouvement de mes doigts : Du mouvement alterné de tout à l'heure, en repliant mes doigts sur eux-mêmes je la fouillais complètement, quand elle fut au bord de l'orgasme, je ralentissais mes mouvement puis je recommençais de plus belle, ralentissant à chaque fois qu'elle en approchait, de mon coté je récoltais sur mes mains toute le récompense qu'elle me donnait.

Monika était maintenant à bout et je lui fis une autre fantaisie, de frotter mon majeur sur l'index en essayant d'arriver à ce que l'extrémité du majeur aille le plus haut possible. Monika eu un autre orgasme mais cette fois-ci je ne la laissais pas reprendre son souffle et en même temps que je lui tétais les lèvres je les mordais à travers celles de ma bouche et commençais ce qui est terrible en matière de jeu de doigts, je frottais frénétiquement mon index contre mon majeur... Aune femme ne résiste longtemps à ce traitement et lorsqu'elle se tendit au moment de jouir, je retirais mon majeur pour, le lui enfoncé doucement mais fermement dans le cul, et serais mes deux doigts l'un contre l'autre. Elle fut prise d'un orgasme terrible, comme si elle recevait des décharges électriques en me cramponnant le poignet pour que j'arrête de bouger.

Lorsqu'elle fut calmée, je bougeais encore un peu le doigt que j'avais toujours dans son cul et le retirais en tournant elle se raidit avec un gémissement. Nous avons recommencé à nous parler, pas la peine de lui demander si elle avait trouvé cela bon, et avança sa main vers ma verge qui pointait sous le tissu elle la caressa d'une main experte et me dit simplement:

- Et toi ?

- Vous allez faire connaissance...

Je sortis ma verge, me masturbais quelque secondes et fis tomber mon caleçon à terre...





 

Par tiwi - Publié dans : histoire érotique
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Mercredi 7 janvier 3 07 /01 /Jan 08:10

 

Bonjour mon fantôme.

Une autre lettre qui ne viendra pas à tes oreilles mais dont j’ai plaisir à écrire. Ecrire des mots, une suite de phrases d’un bout à l’autre, une signification qui veut dire amour. Amour, toujours et encore. Encore de toi mon fantôme qui disait ne pas vouloir rompre le silence et garder une amitié tendre entre nos deux liens. Un mois, aujourd’hui que je n’ai pas de tes nouvelles.

Tu es mon fantôme, le fantôme de mes nuits, de mes débuts de journées, de mes fins de soirées.

Le matin, j’aime garder mes yeux clos et venir en pensée au bord de ton lit. Tu es déjà réveillé mais tu gardes encore cette position couché quelques minutes. Tu penses à elle, tu souris dans ton demi -sommeil. Elle, je n’ai pas de nom à mettre dans ma mémoire ou que des suggestions. L’amitié, pour moi est une chose importante, l’amitié permet de confier son bonheur, sa  tristesse, ses joies à son amie. Ce n’est pas ton cas. Tu es mystérieux, encore et tu  le seras toujours.  Peut-être très libéré avec d’autres amies, mais en ce qui nous concerne, tu as déjà  tourné la page. Dommage, j’aurai aimé rester près de toi, tu le sais et ce n’était pas le dialogue de – plus rien à faire de toi – que tu tenais le 8 décembre dernier. J’y crois encore qu’un jour tu auras encore besoin de me parler et qu’alors en moi, tu retrouve une amie qui ne t’aura pas oublié.

Tu es mon fantôme et apparemment je ne suis pas toujours sûr de bien comprendre comment il fonctionne mon tendre amour fantasmagorique.

Je suis à genoux devant toi et te caresse la joue. Un dernier tendre bisou  sur ton front, tu souris, tu as senti mes lèvres. Je repars sur la pointe des pieds, tu te lève et  te dirige sous ta douche.

Je reste encore un peu et fais la voyeuriste.  J’aime ce corps, ton torse harmonieux, j’aime  tes cuisses presque encore d’ados, ton nombril. Tes épaules avec ces quelques petits poils qui en recouvrent. Tes  fesses fines et nues. Je t’aime en entier.

Retour dans mon pays, ma maison ; l’avantage des rêves, des fantasmes est que l’on quitte son corps corporelle pour aller où l’envie nous mènent ;  je sens ta présence au fond de mon cœur. En fermant les yeux, je me remémore encore ton sourire câlin.

La nuit dernière, encore, tu étais comme d’habitude dans mes songes. Je te caresse le visage, tu me fixe de ton regard… lointain. Il y tant de choses qui se cachent derrière tes yeux, tes lunettes. Tes lèvres se pincent de temps en temps, tes pensées en disent long, pourtant tu es toujours aussi tendre.

Tantôt,  je lis dans ton âme : J’ai envie de toi !  Tantôt…. Tu es vieille et pas jolie… Puis rebelote pour de tendre câlins, des mots tendres.

Je ferme les yeux et savoure cette infinie  tendresse. Mes doigts s’écartent en caressant cette toison soyeuse sur ton torse, tes petits tétons dressés puis je descends ma main au niveau de ton nombril. Tu me vois venir et tes yeux se ferment. Tu apprécie ce moment caresse, ce moment tout en silence, ces instants de bonheur qui te font frémir. Au fond de toi, tu es séparé par l’amour de cette nouvelle conquête, merveilleuse, jeune et belle mais platonique et mon amour, pur, franc, réelle. Celui qui n’a pas de frontière, pas de barrière au physique, aux obligations.

Doucement, tu  t’installe sur le dos et me caresse, la nuque. Un genre d’invitation. Invitation au plaisir, invitation à te goûter, invitation  à  ce que j’aime le plus, dont je raffole et tu le sais.

Je suis en extase devant ce membre qui appelle ma bouche.

 

Je passe ma main sur cette tige déjà dur et excitée. Ma langue traine longuement sur tes boules que je happe l’une à l’autre, je la fais rouler dans ma bouche avec ma langue avant de la refaire sortir, puis ma langue titille la base  en remontant doucement jusqu’à ton gland, humide. Je commence à l’engloutir doucement, centimètre par centimètre.

Je sens tout ton corps s’apaiser, tu es avec moi dans tes pensées et tu profite de cet instant agréable. Les soucis, les doutes, le programme du lendemain ; tout…. Tout…. S’envolent !

Ton souffle devenant plus fort, je serre davantage ton membre entre mes doigts et active le mouvement. Quelques longs jets remplissent  ma bouche. Je laisse couler des petites gouttes sur ton membre et te reprend doucement, le temps qu’elle s’apaise. Je remonte t’embrasser en continuant à masser ton chypre, délicatement avec  le peu d’enduit qui me reste. Tu retrouve peu à peu ta respiration, me caresse les cheveux, le haut de mon corps.

D’un seul coup, la main dans la main, nous nous retrouvons sur un magnifique pont. Comme il est facile dans les rêves de se déplacer en restant  enlacé ou  accroché main dans la main. Tes doigts sont super chaud, ton visage est rieur. Pour quelques heures, j’ai retrouvé un amant à la place de mon fantôme.

On regarde dans la même direction. Un couple de cygne au loin, des canards qui s’amusent entre eux, des enfants au bord de l’eau lancent du pain dans l’eau. Des amoureux sur un banc s’embrassent tendrement, pour eux, ils sont seuls au monde, ils entendent juste leur cœur battre la chamade.

Ma paume appuyée contre la rambarde de sécurité, tu passe tes doigts sur le revers de ma main. Tu me regarde tendrement et m’embrasse. Ta langue n’en finit pas de me tourner autour. De temps en temps, c’est moi qui prends la tienne et la suce doucement. Nos lèvres ont la peine à se séparer. Le pont n’est pas très grand mais il nous aura fallu une bonne demi-heure pour la traversé, tant nous échangeons nos baisers.

Puis ton moment humour te revient, rieur, avec pleins de gags différents. Tu déborde de joie, à croire que c’est un jour comme un autre, que nous avons toujours été ensemble. Comme j’aime ces moments de toi.

A l’orée du bois, appuyé sur un immense rocher, je profite encore de tes lèvres. Il n’y a plus personne dans le parc et les alentours, la pluie s’est mise à tomber de plus belle. On se retrouve seul.

Tes yeux me regardent encore en silence ; j’ai envie de toi, là, tout de suite. Tu m’attire contre toi et me déboutonne mon chemisier afin de libérer un sein. Ta langue titille mon téton, je passe ma main dans le bas de ton pantalon. Puis je m’agenouille vers toi. Tu es un peu surpris mais me laisse faire.

Je ne vais pas te faire languir ; dès que ton sexe est sorti de sa prison en coton, je la prends dans ma bouche et  finis de le durcir. Tu passe ta main dans mes cheveux, me caresse la nuque.

C’est trop bon.

Au moment, où je te sens venir, je lève ma jupe et vient m’agripper à ton membre qui rentre dans ma chatte en un seul coup ;  je suis si humide, plus besoin de préliminaire ou de caresses.

Tes mains sont passées entre ma jupe et mes fesses que tu serres tendrement.

Toujours appuyé contre ce beau rocher de trois mètres de hauteur, qui permet une infime intimité au voyeur éventuel, tu balance ton fessier d’avant en arrière. Tu me lèche le sein que tu as sorti juste avant et me chuchote timidement :

                                                    Te quiero de toda mi alma, de todo mi corazón

Mon tendre amour  que j’aime entendre ta voix. Elle est chaude est tellement sensuelle.

J’écarte davantage mes cuisses, ton membre profite de pénétrer davantage en moi. Je ruisselle de plaisir. Encore, encore. Je vais jouir. Tes yeux sont fermés et ton visage se crispent de plaisir, tes lèvres s’étirent, tu gémis si fort …. Si un visiteur s’aventurait sur l’allée sablonneuse qui mène  à cette petite forêt tranquille, il ferait très vite demi- tour, comprenant ce qui se passe.

Tu me serre contre toi, tes coups de reins sont plus forts, plus distinct, ton membre a doublé de volume en moi et cogne sur tout les recoins. Je m’agrippe à ton dos et dans un long soupir, nous jouissons ensemble. Je sens mes cuisses s’inonder par ton sperme. Des rigoles coulent en bas de mes genoux.

Je m’éclate de rire et tu comprends le pourquoi de mon sourire ;  un tendre bisou rapide et je m’éloigne de toi pour atteindre la petite plage, en contrebas, qui va me permettre de me rincer  rapidement avant de te rejoindre.

Mais déjà le réveil a fait son apparition et ton image s’éloigne. J’ai beau allonger la main pour que tu me rattrape, mais tu t’en va. Lequel à sonné en premier ? Le tien ou le mien ? Je  sens mon ventre, mes cuisses collantes. Un rapide bisou en ta direction et je vais rejoindre ma douche tout sourire; j’ai passé une excellente nuit. Je t’embrasse encore dans mes pensées. Des bisous qui ne s’arrêtent pas à la frontière.

 

Par tiwi - Publié dans : histoire érotique
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Dimanche 30 novembre 7 30 /11 /Nov 00:37

Bonjour Madame !

 

Elle s’avance vers la réception où est assise une secrétaire grande, mince, super blonde. Un peu ridée en raison de son âge, sans sourire.

 

Bonjour ! Que puis-je pour vous ? répondit cette employée en se levant pour accueillir la visiteuse à cette entreprise qui n’est autre qu’une école catholique en plein centre de Paris.  

J’aimerai que vous déposiez ce colis dans le bureau de Monsieur Sébastien Rhinadvil, s’il vous plaît. Il est bien là, aujourd’hui, n’est-ce pas ?

 

Attendez  que je regarde ….

 

Quelques instants s’écoulent, où Virginie regarde  les alentours de cette salle avec tendresse et curiosité. Il y a des images d’élèves de tous les temps, des victoires sportives, des éloges  de la bonne conduite que doit avoir un enfant envers son camarade de classe.  

 

Oui, il est là, voulez-vous que je prévienne que vous êtes là ?

 

Non ! Je voudrais juste que vous fassiez parvenir ce colis, merci.

 

Virginie s’avance vers la sortie et  s’arrête précipitamment  et  en regardant la secrétaire s’éloigner vers une porte au fond du couloir, l’interpelle :

 

Et dites lui bon anniversaire ! Ca lui fera plaisir !

 

Virginie pousse la porte avec un long soupir. Elle traverse le préau, le portail qui sépare ce bâtiment à la route principale qui l’amène au restaurant le Grenadin.

 

En ce matin calme, il y a encore peu de fidèles dans le restaurant. Tous les clients habituels pour le petit  déjeuner  sont  déjà  partis  et  les clients qui viennent régulièrement pour le repas de midi, pas encore présents. Le cuisinier s’active dans son local pour préparer les menus du jour et ses diverses spécialités.

 

Virginie s’installe à une table, elle a toute la journée maintenant devant elle. Elle était venue à Paris pour deux choses dont une qu’elle tenait à cœur ; la livraison de ce colis. Ce n’était en fait pas grand-chose à l’intérieur, quelques chocolats de son pays. Elle savait qu’il adorait et elle rajoutait  tout son amour à l’intérieur de la boîte. Ca faisait longtemps qu’elle n’avait plus de ses nouvelles, mais il était toujours dans son cœur, et pour ce jour d’anniversaire, elle avait envie de lui dire qu’elle pensait encore à lui, même s’il l’avait oublié depuis longtemps. Juste par amitié, un petit coucou tendre, sans suite, sans retour. Elle aurait aimé le croisé par hasard dans le couloir, mais elle ne voulait en aucun cas que la secrétaire l’appelle et que contre son gré, il soit forcé de sortir de son bureau, cesser son travail, peut-être important, pour faire un sourire forcé et lui dire bonjour. Mais peut-être aussi, Virginie se trompe et il aurait apprécié, mais il n’a pas donné ses nouvelles depuis si longtemps, il ne doit plus se souvenir d’elle. Au quelle cas, alors, pourquoi lui faire un coucou lors de son anniversaire ?

C’était plus fort qu’elle, elle devait lui faire comprendre qu’elle était toujours son ange gardien et qu’indirectement, il pouvait compter sur elle, en cas de coup dur.

Elle revoyait ses images qu’elle chérit au fond de sa mémoire, son regard perdu dans la rue qui surplombe la grande vitrine du restaurant, elle s’imaginait le voir passer, le matin ou le soir, traversant ce portail pour rejoindre son bureau. Le revoit dans sa mémoire passer le soir, marche à pas lent, le portable à l’oreille entrain de lui dire- te quiero -  Comme c’était bon de l’entendre lui dire qu’il allait marcher, ne pas prendre le métro pour la gare, juste pour rester encore avec elle un peu plus longtemps. C’était si bon ce moment. Quelques mois de bonheur où elle s’imaginait qu’un homme l’aimait vraiment pour ce qu’elle représentait. Maintenant, les choses ont changé et elle aurait voulu garder son amitié, le suivre quand il serait heureux, le soutenir quand il serait triste ; mais il ne l’entend pas de cette oreille, il n’a plus besoin d’elle et n’a pas trop envie de lui parler.

Elle ne peut s’y résoudre pourtant et tous les jours, il arrive dans ses pensées, dans son cœur, comme un réveil matin ou le téléphone du jour. Elle s’est habituée à cette situation et se contente de cela.

Elle ne le harcelle pas, d’ailleurs elle ne l’a pas demandé de venir la rejoindre, juste une pensée pour son passage à Paris et lui souhaiter un bon anniversaire.

 

Dans un moment, il est prévu qu’elle file et galope  à sa seconde mission, la boutique dont sa fille rêve : l’indien Boutique. Direction la Bastille, la rue Keller.  Cette boutique n’existe pas encore en Suisse et Olivia rêve de quelques vêtements de ce bric-à-brac. Que ne ferait-elle pour sa fille qui a fait tant de progrès à l’école depuis quelque temps.

 

Elle n’a pas entendu le serveur qui est devant elle et qui la regarde. Depuis combien de temps est il devant elle ?  Elle lève la tête en sa direction, il lui sourit et de son pouce, essuie une larme qui avait coulé sur sa joue.

 

Avec une larme, vous êtes encore jolie ma petite dame !

 

Elle rougit et lui demande un renversé.

 

Un quoi ?

 

Virginie se souvient alors quand elle avait pris un renversé la dernière fois à Pouilly en Auxois, que le serveur en question avait déjà un souci de compréhension. Elle lui sourit et explique :

 

C’est un long café avec du lait. S’il y a un peu de mousse….. J’adore !

Et elle finit par un clin d’œil.

 

Il lui met la main sur l’épaule, genre petite caresse :

Pour vous…. Tout ce que vous voulez. Je ferai la plus belle mousse que vous n’avez encore jamais vue.

Et il s’en va d’un pas joyeux en direction de son comptoir.

 

Virginie le regarde s’éloigner. Son visage lui rappelle un homme qu’elle ne connait pas mais qu’elle a vu en image. Il lui ressemble,  tout en sachant que ça ne peux pas être lui. Il vit en Espagne l’homme qu’elle pense. Raphaël est un ami de Sébastien et sur les images que Sébastien  lui avait confié en son temps, il paraissait aussi charmeur que le serveur de ce restaurant. Il  y a aucun doute, Virginie a toujours craqué pour les hommes du sud. Ils dégagent une sensualité que Virginie ne contrôle pas. Ils ont les mots au bon moment qui apaisent et qui font du bien.

 

Quand il revient, il ne se montre pas le moins du monde timide, il pose le café sur la table, tire la chaise en face et s’assied devant Virginie.

Alors, que faites-vous à Paris ?

 

Et comment vous savez que je ne viens pas de Paris ?

 

Vous vous êtes déjà entendu parler ? Bonjour l’accent !

 

HIHI, Virginie a déjà entendu cette remarque ; pourtant il ne lui semble pas percevoir un accent. Mais les coquins de son forum, quant ils l’appellent pour prendre de ses nouvelles,  lui disent toujours ça.

Elle à monter un forum en pensant que son tendre ami serait là pour la seconder. Elle s’est trompée. En contre partie, elle a retrouvé beaucoup d’amis virtuel. Ces amis la respectent, savent que son cœur ne sera jamais libre, puisqu’elle s’est éprise d’ un fantôme, mais aiment lui téléphoner quand ils savent qu’elle n’a pas le moral. Et Virginie apprécie beaucoup cette gentillesse de leur part, cette attention toute particulière envers elle. Elle a l’impression alors, de ne pas être seule.

 

Mais vous aussi, vous avez un super accent ! Et ce n’est pas celui de Paris !

 

Il lui sourit. Ses dents blanches et éclatantes reflètent un soin particulier à sa personne. Il doit aimer charmer la gente féminine.

 

Vous avez raison ! Je viens tout droit d’Espagne. Je ne suis à Paris que depuis 6 mois. C’est mon meilleur ami qui m’a trouvé cet emploi. Ca me permet de voir plus souvent mon filleul qui vit à Paris et mon meilleur ami. J’ai quitté l’Espagne suite à un changement radical d’emploi et raison de cœur.

Il fallait que je change d’air, d’horizon, finalement on est bien partout, si on est entouré.

 

Raphaël ! Chuchote Virginie.

 

Ben…. Vous connaissez mon nom ?

 

C’est une longue histoire….  Elle a vu ses photos avec son filleul en fait une fois.

 

Il  lui prend  la main et la regarde. Virginie se sent pas très à l’aise maintenant. Elle en a trop dit et ne voudrait pas que ça se sache et que Sa arrive aux oreilles de sa femme.

 

Pardon, je ne devais pas vous le dire. N’en parlez pas autour de vous, s’il vous plaît. Finalement, le monde est petit et je serai très mal, si la femme de cette personne apprenne mon existence, elle s’imaginerait des choses qui ne sont pas réelles. On ne s’est pas revu depuis très longtemps et il ne désire pas me retrouver, maintenant tout va bien pour lui ; fin de l’histoire !

 

Pas réelle ? Vous en êtes sûr ?

Sébastien, l’été 2007 étaient rayonnant alors qu’il n’y avait pas de raison et j’ai fini par lui demander quel était cette raison de sourire sur  la plage, parfois, alors qu’il était en compagnie de personne. Il m’a alors confié un amour impossible.

 

Virginie se sent coupable tout d’un coup d’avoir douté de son amour pour elle, quelque mois.

Elle arrive à se reprendre, se redresse. Pince ses lèvres afin de ne pas fondre en larmes. Pas question qu’il puisse apercevoir que pour virginie, cet homme représente encore l’amour au plus profond de son âme, alors qu’ils n’ont plus de contact.

 

Ouf, un client entre et donc Raphaël, le serveur, se lève pour aller prendre sa commande.

 

Virginie profite de cette occasion pour aller chercher de la monnaie et régler  son café, engloutit son renversé d’un trait, il est froid, et se lève pour prendre la porte de sortie.

 

Sa robe saillante, lui colle un peu sur les fesses. Elle rabat le bat et presse le pas vers la sortie.

 

Une main la rattrape à la sortie, elle se retourne. Raphaël  lui prend par l’épaule.

 

Je serai muet comme une carpe. Lui… il sait que vous êtes-là ?

Que faites-vous ce soir, je peux vous inviter en tout bien, tout honneur ?

 

C’est dans vos habitudes, chez vous de dire, en tout bien, tout honneur et ensuite faire en sorte que la femme ne puisse vous oublier ?

 

Pour  toute réponse, il sourit. Sébastien lui avait dit qu’il collectionnait les femmes une par une et qu’il était un grand charmeur. C’était bien vrai. Mais pour Virginie, il en était bien terminé avec une histoire de cœur, elle s’était promise qu’on  ne la reprendrait pas. Elle ne regrette pas la belle histoire entre lui et elle. Mais elle ne sait toujours pas le fond des choses, ce qu’elle représente pour lui. Elle sait juste qu’il l’a oublié, ou du moins, qu’il n’a plus besoin d’elle, en tous cas.

 

Je suis à l’hôtel  Best Western Atlantic, venez prendre un café quand vous en avez envie, enfin de soirée, mais…. En bas au restaurant, je précise.

 

Et elle lui sourit.

 

Il l’a lâche.

Promis !

 

Elle sort de cet établissement, un peu tremblant. Elle qui voulait passer inaperçu… Bravo. Elle s’est fait voir par son meilleur ami, qui ne va pas se gêner de lui en parler.

Bientôt  elle traverse Paris, moyennant d’une carte, de métro et arrive au magasin où sa fille lui a adressé une jolie liste de ses vœux. Ensuite, virginie trancherait selon ce qui est mettable en mettant de côté les habits qui ne sont pas de son âge et les chiffons.

 

La journée passe très vite. Quelques visites, un mac Do à l’avenue des Champs Elysées puis retour à l’hôtel. Là, elle ne bougera plus, ses pieds crient au secours.

Elle arrive au comptoir de l’hôtel, prend sa clé, le numéro 36, un numéro qui la suit partout et se dirige vers l’ascenseur.

Arrivé au troisième étage, elle se dirige vers la direction indiquée quand une personne lui prend par les épaules.

 

Ah non ! Pas Raphaël, pense-t-elle.

Elle se retourne avec un sourire inquisiteur.

Il est là, lui. Elle rêve. Comment sait-il dans quel hôtel elle se trouve ?

 

Bonjour toi, chuchote Virginie.

 

Bonjour mon cœur !

 

Ils se regardent longuement, l’un face de l’autre. Puis il l’a prend dans ses bras et l’embrasse tendrement.

Virginie se reprend au bout d’un moment.

 

Tu as ton train à 18 heures 36 toujours ?

 

Non, j’ai téléphoné à la maison, je rentrerais plus tard, si tu le veux bien.

 

C’est Raphaël qui t’a donné le tuyau ?

 

Je suis venu au restaurant avec mes collègues un quart d’heure après ton départ. Il était tout ému et avait trop envie de me parler d’une belle femme qui était venu dans son établissement.

Pourquoi tu n’as pas voulu qu’Esther, la téléphoniste, me demande de descendre te voir ?

Tu pense que je n’avais pas envie de te serrer dans mes bras ?

J’espérais que tu ailles au restaurant d’en face, j’espérais que tu reconnaisses Raphaël, j’espérais qu’il te retienne.

Il  lui caresse la joue et la fixe avec une telle tendresse que Virginie oublie tous ses mois de silence.

 

Je peux te sortir dans Paris ce soir ? Tu n’a rien de prévu ?

 

Non, rien de prévu. Mais laisse-moi le temps de me doucher et me changer.

 

Elle ouvre la porte de sa chambre, un peu tremblante et l’installe sur un fauteuil qui est dans le coin de la pièce.

 

Ensuite, elle prend quelques vêtements dans une petite valise à roulette et disparaît dans la salle de bain.

 

Devant le large miroir, elle se contemple, se déshabille. Comment il l’a trouvé ? Elle a changée depuis sa dernière rencontre et les hommes qu’elles côtoient ne manquent jamais de lui dire qu’elle est attirante.

Mais elle à 12 ans de plus que lui, peut-être ne fait elle pas le même effet sur lui que sur un homme de son âge.

L’eau ruisselle sur son corps. Elle prend le flacon de douche, le même qu’elle avait à Chambly, lors de leur dernier rendez vous, celui-là même, qu’il avait utilisé lors de leur douche en commun. Elle n’a jamais jeté la bouteille et n’a fait que le  remplir.

Elle pince ses tétons, les caresses. Il est là, de l’autre côté de la cloison, il l’attend. Elle aimerait sortir comme ça, nue devant lui et lui faire l’amour, encore une fois, juste une fois.

Mais le raisonnable la retiendra cette fois-ci.

 

Elle arrête l’eau, se sèche avec un linge moelleux. Elle a choisi un ensemble de lingerie noir et rose. Elle adore ce boxer, qui lui va à ravir sur les hanches. Elle passe sa main sur sa chatte restée toute douce. Elle venait de s’épiler la veille. Elle glisse un doit entre les lèvres et se caresse quelque secondes avant de remonter ce boxer de satin et fermer son soutien gorge de la même gamme.

Une petite robe dans les tons orangés-brun, quelque peu décolleté et plus ample autour de la taille.

Elle refait un petit tour sur elle-même dans le miroir qui reflète une image qu’elle aime voir. Elle a perdu un peu plus de 20 kilos en moins de 6 mois, pas peu fière d’elle, elle sourit et file de la salle d’eau.

Il est là, devant elle, la regarde et la reprend dans ses bras.

 

Pourquoi je t’ai attendu si longtemps ? Tu m’as manqué !

Tu es belle, te quiero !

 

Elle l’attire contre elle, l’embrasse, suce sa langue comme au passé, recule en gardant sa bouche contre la sienne.

 

Elle sent le lit à ses pieds, le tient fort contre elle et se renverse sur le lit, de façon à ce qu’il soit sur elle. Doucement, elle lui enlève la ceinture et passe sa main sous son boxer, histoire de vérifier l’état de son excitation.

Son chypre est dur, comme il a été à chacune de ses visites. Elle a envie de faire l’amour, encore une fois, même si c’est la dernière. Une toute petite fois, encore.

Il se laisse aller et peu de temps après, il se retrouve nu. Sa toison soyeuse contre sa robe en lin, frotte le bout de ses seins durs.

Elle se relève un peu et il glisse la main à son dos afin de baisser la fermeture éclair qui retient le tissu qui sépare de sa peau.

Soutien gorge vite dégrafé, la voilà en boxer.

 

Son membre se colle sur sa chatte humide. Elle le renverse sur le dos, baisse son visage au niveau de la poitrine, sa langue titille cette douce toison, puis descend au niveau de son nombril.

Il ferme les yeux, gémit. Elle continue sa descente au niveau plus bas. Le gland a fière allure et se dirige tout seul entre ses lèvres.

Timidement entre ses lèvres, puis sa bouche s’entre ouvre de plus en plus pour laisser passer le phallus dans toute sa splendeur. Elle caresse en même temps les boules et de temps en temps le masturbe doucement. En passant la main de temps en temps entre ses cuisses, ses fesses.

Puis elle glisse un doigt entre ses fesses. Il se bloque un peu, serre ses fesses, mais Virginie sait comment le détendre afin que son arrière train se détende et lui accorde un doigt à l’entrée de son intimité.

Sa voix se fait rauque.

Je vais venir !

Elle arrête son mouvement et lui chuchote ; viens !

 

Elle reprend son activité, plus rapide et maintenant ses fesses entres ses mains, et glissant à nouveau un doigt au même endroit.

L’explosion arrive très vite. Il tire Virginie à sa hauteur pour l’embrasser.

 

Comment j’ai fait pour ne pas te revoir ces derniers temps ? Je pensais que nous étions trop loin et qu’il fallait que ça s’arrête. En fait, Paris n’est qu’à 4 heures de chez toi. Je peux venir et tu peux me rejoindre régulièrement. L‘amour n’a pas de frontière.

Tu es la seule qui me fait cet effet.

 

Ils s’embrassent encore et décident de partir manger dans un coin tendre de Paris. Le bateau-mouche.

 

A leur retour, il appelle sa femme pour lui dire qu’il a raté le dernier train, qu’il reprendra le travail demain matin, normal et qu’il se reverront demain soir.

 

Première nuit ensemble. Première, d’une longue série.

 

Par tiwi - Publié dans : histoire érotique
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Vendredi 19 septembre 5 19 /09 /Sep 07:39

Ne pouvant plus connaître d'amour et de tendresse au réel, je vais recombler mon manque par mes histoires fantasmagorique, qui me font du bien et recharge mon énergie, mes batteries.


Le réveil sonne une nouvelle fois ce matin, le dernier de la semaine, enfin presque.

 

Je profite de garder encore un peu les yeux fermés, je me projette dans une gare où tu m’y attendais. Coquin comme tu es, tu  t’étais caché et je te cherchais. Je pensais même que tu étais en retard où que tu m’attendais peut-être à la sortie. La gare est si grande avec tout ce fourmillement à droite, à gauche.

 

Ce matin, encore une fois, mes bras sont collés autour de mon corps, afin de prendre la liberté de croire que je me blottis encore dans tes bras. Je ne t’ai pas demandé la permission, ma tête est allée se poser directement sur ce torse que j’aime tant. Soyeux, doux, je passe ma main sur toute la surface ; mes doigts continuent leurs ballades sur tes épaules où il y a ces quelques petits poils perdu. Quand ils redescendent, ils suivent le contour de ce duvet qui mène en direction de ton nombril. Il me fait rêvasser tendrement. L’index pointe sur cette petite cavité.

Je continue ma descente pour attendre cette partie plus laineuse.

 

Mais déjà elle pointe dans ma direction. Déjà elle se durcie sous mes doigts et monte à la rencontre de la paume de ma main.

Je la caresse doucement, puis tout le pourtour avant d’atteindre ses jumelles qui m’appelle afin d’avoir elles aussi leur compte de tendresse.

 

Je sens ton excitation à son comble, ma tête dépasse ton bas ventre, et je commence à lécher ce gland qui a fière allure et dont j’ai pris soin de le décalotter juste avant.

Sa tête humide et rosée perle en douceur une vapeur qui en dit long. Mes lèvres s’entre ouvrent pour laisser le passage de ce membre; ce dernier se faufile entre ma langue et mon palais. Ma main qui tient ce corps allongé, épais fait des mouvements de va et vient en même temps que la tige entre et sort de ce puits.

Plus vite, plus loin, je t’entends gémir au fond de mes pensées, c’est si bon.

 

Le réveil sonne pour la seconde fois et me rappelle que je suis seule dans ce grand lit. Ma chatte est humide. Mes lèvres gonflées de désirs. Je me dirige vers le tiroir de ma table de nuit et prend l’ustensile adéquat à mon excitation grandissante.

 

Je caresse ma vulve, son contour en gardant une main sur mes seins. Mes tétons sont pointés, agressifs. Je pince la fine tige, caresse l’alvéole.

 

Mon bouton s’entre ouvre de désir. Je fais glisser ce membre de substitution à l’intérieur, doucement, encore… encore. Mon abricot ruissèle fur à mesure de cette pénétration douce et excitante.

 

Je le veux en entier en moi, fort, puissant. Les *  va et vient * sont rapide, expérimenté. Mes jambes surélevées, j’ai quitté ma main de ma poitrine afin de me caresser les fesses en même temps que ma pénétration manuelle.

 

Mon sexe explose de jouissance, je ne peux retenir un cri, ma respiration est au maximum… Mes cuisses sont humides et collantes, quelques caresses pour retrouver une sérénité et je file me doucher.

Ma journée a bien commencé. Merci mes pensées de me permettre cette douce tendresse, ce tendre câlin en solo.


 

Par tiwi - Publié dans : histoire érotique
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Dimanche 14 septembre 7 14 /09 /Sep 18:24

Elle vient de poster une nouvelle histoire sur un site Internet.  Elle se sent bien. Souvent seule le soir, son mari est avec ses copains en boite. Elle parle sur MSN avec ses amies, échanges des recettes culinaires. Sa passion est son travail accessoire : des cours de cuisines avec des produits ménagers dont elle vente le mérite et la qualité.

 

Ses enfants, sont au lit et elle fantasme des scènes bien agréables sous sa couette.

 

Ce soir,  alors qu’elle se connecte comme à son habitude sur MSN pour papoter avec les copines, elle reçoit pleins d’adresses d’internautes. Elle en accepte certains, juste pour savoir ce qu’ils ont à lui dire, qui sont ils (pour la plus part, des hommes).

Ils viennent  lui parler de son histoire, lui faire une remarque sur un passage ou faire sa connaissance.  Elle n’en a pas trop envie, quoique certains soient agréables. Dans les jours qui suivront, elle prendra plaisir à dialoguer avec quelques uns d’entres eux. Et plus les jours passent, plus le silence revient et elle continue à reprendre ses habitudes, papotées avec ses amies.

 

Elle reçoit d’autres demandes, mais ne les acceptent pas, sachant comment ça va finir.

 

Et puis, il y a un qui fait une demande de dialogue. Elle l’ignore. Mais il recommence le lendemain, le surlendemain. Ca dure bien quelques jours. Son pseudo est prometteur, donc elle finit par  accepter, juste pour voir, ensuite elle bloquera comme tous les autres.

Les autres qui ne pensent bien sûr qu’à une chose bien précise. Pour d’autres, elle voudrait bien dialoguer davantage car ils sont sympas et le dialogue est riche en sujet différents, mais le temps lui manque en ce moment. Elle n’est pas souvent devant son PC.

 

Quand il lui envoie sa photo en avatar, elle regrette presque de l’avoir accepté. Ses yeux sont si attirants, son sourire irrésistible. Chaque fois qu’elle le voit connecté, elle craque. Une approche qui va causer des ennuis d’ordre moral dans sa tête.

Leur dialogue un peu moins soft que les autres, des échanges d’images très coquines, elle se rend compte qu’en plus, ils peuvent se rencontrer et se toucher en réel, n’habitant pas très loin de sa ville, juste à côté de la frontière.

Il adore les femmes, elle est très complexée de son corps,… elle en profite pour lui donner l’adresse e-mail de son amie très coquine. Sa copine étant  infidèle à son mari et fait régulièrement  de la Cam à Cam avec beaucoup de personnes.

 

Mais Seb revient vers elle.  Elle se promet de rester soft, mais bien vite elle dérape et elle enclenche la Cam. Elle ne montre que sa grosse poitrine. Très complexée de son corps, elle ne passera pas la vision du bas. Lise  est une femme de taille moyenne, qui s’est laissée allée durant des mois. Son mari ne l’a touchant plus depuis très longtemps, elle n’a plus refait de sports ni aucun autre maintien jusqu’au jour ou une de ses amies proche, lui a fait la moral, l’a secoué. Elle a repris les bois pour commencer, puis avec l’hiver qui s’est approchée, elle est allée s’inscrire dans une salle de gym.

 

Les mots qui s’inscrivent sur son pc lui donne chaud. Ses mains s’approche de ses seins, caressent les tétons ; oublie que Seb, de l’autre côté la regarde. Elle malaxe cette poitrine, caresse le bas de son ventre tout en continuant à lire les mots doux de son nouveau internaute. Puis sa main, passe sous son boxer en dentelle et caresse son clito. Elle est mouillée. Sa chatte humide est brûlante de désir. Elle enlève le bas et se doigte, un puis deux touts en caressant ses seins de l’autre main.

Il  lui montre sa queue, enflée, raide. Ca fait longtemps qu’elle n’a pas eu le bonheur de sucer une bite,  en réel.

Elle se lève, nue, et va chercher son gode. En revenant, elle vérifie que son visage ne sera pas sur l’écran, ni son bas ventre où  se dessine un ventre disgracieux. Puis, commence à lécher son gode, l’enfile dans sa bouche. La texture de l’engin en silicone n’est pas pour lui plaire entièrement, mais sentir  un genre de sexe dans sa bouche l’excite terriblement.

 

Elle entend dans les hauts parleurs, sortir doucement le plaisir de Seb monté et elle a encore plus envie de se sentir pénétrer. Elle attrape un top sur le coin du bureau, qu’elle enfile pour éviter  qu’on aperçoit son ventre ;  se met debout, une jambe appuyée sur sa chaise de bureau et se caresse la chatte, soigneusement épilée. Elle sait a présent qu’il l’a regarde, son gémissement se fait entendre de plus belle.

Enfilant son gode lentement dans sa chatte, maintenant très humide, elle fait un va et vient doucement. Se caressant les fesses par la même occasion, elle enfile un doigt dans son anus.

Puis, avec des gestes plus rapides, elle accélère le mouvement.

 

Seb est à son  comble, sa respiration est très rapide. Sa main tenant fortement son sexe, debout, se masturbe vivement.

 

Alors que tous les deux, derrières leur pc, se caressent fortement ;  elle peut voir son jais blanchâtre asperger un linge qu’il tient de l’autre main.

 

Elle sent une chaleur chaude lui couler entre les cuisses. Sa première Cam, jouir en direct avec une autre personne en face. Elle a un peu triché en enfilant un top afin de ne pas montrer son corps tout en entier, mais elle se sent bien et même si cette expérience sera la seule, elle a adoré.

 

Silence quelques minutes entre les deux lignes.  Elle s’éloigne et baisse la Cam. Elle ne veut pas qu’il voit trop le contour de ses fesses, Elle n’est pas prête.

 

Seb profite également de son absence pour aller faire un rapide nettoyage sur son sexe collant.

 

Quand ils se retrouvent face à face, elle se sent gênée de sa frivolité, mais fait comme si elle en avait l’habitude.

 

Seb l’a trouve encore plus merveilleuse, il l’a trouve si rayonnante. D’un seul coup, il ne peut pas résister, il doit lui proposer de lui faire l’amour en vrai ; pouvoir la serrer dans ses bras quand il aura fait jouir sa belle internaute.

Il connaissait la réponse de Lise, il savait qu’elle lui répondrait négativement. Il n’est pas question de leurrer son mari physiquement.

 

Les semaines défilent, elle n’a pas remis cette expérience avec lui ;  juste des mots qu’ils ont tapés sur leur clavier.

 

Elle a très envie de son sexe qu’il lui fait parvenir en avatar lors de moments très chaud. Elle adore son franc parler au moment où ils s’échauffent ensembles, elle jouit par ses paroles et ses mains baladeuses.

Un soir pourtant, alors qu’il lui propose pour la millième fois de faire une rencontre, il n’y croit pas ses yeux. Elle lui répond …. OK pour un café.

 

Un café……. C’est un bon début. Il saura la détendre quand ils rencontreront. Il connaît son charme. Il sait lui faire plaisir. Il sait qu’elle adore son physique, il doute que leur contact en visuel s’arrêtera  au babillage devant un bon café.

 

Le chrono est parti. Les jours sont comptés. La période de Noël passe. Elle sent qu’elle est de moins en moins sûre d’avoir accepté son invitation à faire….. Juste….. Connaissance.

Elle adore son contact, ses mots tendres qui lui manquent envers son mari.  Elle connaît ses sentiments pour lui. Elle ne risque pas d’être amoureuse de Seb, sachant que lui aussi, il vit avec une autre personne mais il pourrait lui manquer par la suite, envie de se retrouver dans ses bras quand elle n’aurait pas le moral. Ce n’est pas une vision  facile.

 

Ils ont quelques kilomètres de distances entre eux, une frontière, une vie différente …

Il ne reste que deux jours. Avant le jour J, faut qu’elle lui explique.

Lui expliquer quoi en fait…

 

Qu’elle se sent incapable de boire un café avec lui, dans un bar  inconnu entre leurs deux villes ?

 

S’arrêteront-ils au café ?

 

La veille ; internet connecté, elle lui parle de tout et de rien. Elle ne sait pas comment lui dire et quelle décision prendre. Elle lui confirme alors, qu’il s’agira que d’une approche entre eux. Trop complexée de son corps, elle ne pourra pas caché quoique ce soit d’elle. Donc, il est nullement question qu’elle se déshabille.

Le lendemain, comme prévu, elle se prépare à la rencontre. Pour sa famille, elle part à un de ses séminaires qu’elle a l’habitude de suivre dans le cadre de son travail.

 

Elle ne va pas lui joué un tour, car lui venant de Cambrai et elle de Mons. Ils ont chacun de la route à faire.

Dernière vérification de son physique, elle a quand même eu envie de s’habiller un peu coquin, sans pour autant attirer l’attention de son mari. Un  ensemble de sous –vêtement tout en dentelle, un tailleur sur un top blanc (ensemble et couleur obligatoire lors de séminaire).

Un bisous et départ sur la route.

 

En ce mois d’hiver, la route est belle, ensoleillé. Elle a le temps pour s’imaginer sa rencontre avec Seb.

 

Pas trop de bouchon sur la route, bonne circulation. Lise arrive enfin à Liège. Ils ont rendez-vous au coin du monde.

 

Elle  coupe son moteur,  baisse son miroir afin de revoir sa coiffure, remet un peu de rouge à ses lèvres, du noir sous les yeux, un peu de parfum encore et elle sort de la voiture. Elle regarde sa montre, elle est en avance,… Parfait ! 

Elle n’avait pas envie de devoir s’avancer vers lui ; elle préfère que ce soit lui, qui le fasse.

Ferme sa voiture, respire profondément et rentre dans le café.

Ses yeux font le tour de l’établissement. Il y a des tables occupées au fond, à droite également, mais pas de Seb. Ouf.

Elle s’installe dans le coin. Il devra un peu la chercher, mais après tout…. Ça fait aussi partie du jeu. Elle prend un journal sur la table voisine, commande un cappuccino et semble s’intéresser à la page people.

 

Elle entend la porte s’ouvrir et son cœur bat la chamade. C’est une jolie dame qui fait son entrée et qui permet aux clients de l’établissement de lever la tête. Elle s’installe presque à côté de Lise. Le boulet ! Quand Seb va arriver, il  ne sera pas quelle table rejoindre.

 

Encore 5-10 minutes qui passent…. L’heure tourne. En fait, il n’est pas en retard, c’est elle qui était très en avance.

 

Puis la porte s’ouvre à nouveau et il est là. Dans l’embrassure de la porte, elle le reconnait immédiatement. Elle plonge sa  tête dans le journal afin de ne pas rougir. Elle  respire doucement et essaie de se  donner une contenance de blasée en attendant qu’il l’a rejoigne.

Aussitôt, elle entend la voix de sa voisine qui s’est approchée de Lise lui dire, en chuchotant….Le journal est à l’envers !

Lise lève son nez en sa direction, lui sourit et remet son journal dans le bon sens. En même temps Seb l’a voit et avec son sourire de don Juan et s’approche de sa table.

La voisine sourit et chuchote……. Hum, je comprends !

 

Lise se lève pour accueillir Seb et ils s’assoient en même temps.  Il commande un café.

 

De longues minutes s’écoulent avant que l’un d’eux n’ouvre la bouche.

 

Lise, la tête baissée réfléchit à la conversation qu’elle pourrait tenir. Puis naïvement lui demande si la route était bonne. Au moins elle aura fait le premier pas, pense t’elle.

 

Il ne répond pas, il prend ses mains posées sur la table, les joints à ses lèvres et dépose un tendre baiser. Puis lui demande de le regarder dans les yeux.

 

Elle se sent un peu stupide, après toutes ces semaines de dialogues pas toujours très soft… de se sentir si mal à l’aise…, comme à son premier rendez-vous. Sauf, qu’à son âge, il n’y a pas de raison. Elle prend son courage, lève la tête et fait mine de lui parler comme lorsqu’elle se retrouve devant son PC.

Il a gardé ses mains dans les siennes, jusqu’à ce que la serveuse arrive enfin lui apporter son breuvage.

 

La demi-heure qui suit lui paraît plus facile. D’abord, quand elle se sent un peu moins courageuse, elle trouve l’excuse du café et puis il y a un jeune homme qui a rejoint sa voisine, donc de temps à autre, quand ils  parlent un peu fort, elle tourne la tête en leur direction et leur adresse un sourire.

Vint le moment où il  lui demande de sortir, de faire une ballade. Enfin. Ils payent et s’en vont. Elle le suit derrière lui. Elle hume son odeur, elle imagine la préparation, son départ de la maison.

 

Passé la porte du café, il l’attrape par les épaules, la maintient contre la façade du café et s’approche de ses lèvres.  Il colle ses lèvres aux siennes et avec sa langue fait des mouvements afin qu’elle ouvre sa bouche. Sa langue cherche la sienne et ensemble tourne autour l’une de l’autre.

 

Ca n’avait pas été prévu ainsi. Son cheminement de la scène tombe à l’eau. Elle sent son corps tout entier vibrer en elle. Il s’éloigne de son visage et lui caresse les joues, les cheveux.

Puis en reprenant sa main, il s’éloigne du bistrot et prennent sa voiture, en silence.

Elle sait très bien où il va l’emmener ils en ont parlés maintes fois devant leur PC. Un petit hôtel qui s’appelle * si, mais non *. Jeu de mots pour elle comme pour lui.

Ils s’étaient dit que s’il ne se sentait pas prêt, l’un envers l’autre, il y avait toujours la possibilité de juste se parler et s’apprécier, loin d’yeux inconnus.

 

Sur place, tout était prêt, Seb avait fait une réservation en bonne et due forme depuis son PC.

La réceptionniste leur donne la clef  tout en souhaitant  la bienvenue dans leur établissement.

 

La serrure s’ouvre facilement grâce à la carte magnétique qu’il vient d’être remis à Seb. Il pousse la porte et attend que Lise rentre. Il l’a suit, referme la porte, enlève en même temps que Lise sa veste.

 

Lise se dirige vers la grande fenêtre qui se présente devant elle. Il l’a rejoint et lui demande ce qu’elle a envie. Elle se retourne face à lui, ferme ses yeux et s’approche de son visage. Il prend son visage avec ses mains et l’embrasse tendrement. Puis l’a serre contre lui de longue minutes.

 

Elle ne sait pas trop quoi faire. S’abandonner à lui, résister, juste parler………

N’ayant pas de réponse, il l’attire vers le fauteuil de la chambre et allume la télé. Ils ne regarderont pas trop la télé, il a mis sur MCM le canal de musique. Il y aura un bruit de fond, ainsi.

 

Ils se regardent, se touchent les mains et s’embrassent encore. Il  paraissait très coquin devant son écran, mais apparemment il a aussi perdu ses moyens de grands séducteur. Il est aussi timide que Lise. C’est réussi. …

Enfin Lise prend les devant et le caresse à l’endroit où se trouve une bosse bien dure. Il ne dit rien, se laisse aller.

Alors, elle dégrafe son pantalon, s’agenouille devant lui et doucement sort son sexe de son boxer. Elle en a très envie. Cette fois, ce ne sera pas le goût du plastic qu’elle veut ressentir.

Elle caresse de tout son long, il est raide et elle est très excitée. Sa langue s’approche du gland pour lécher tout autour.


Elle ne le regarde pas, trop envie de son sexe qu’elle commence par le sucer délicatement. Puis, avec des pressions tous au long de son sexe, elle augmente le va et vient de ses gestes.

Il se redresse, la lève afin qu’elle s’arrête et l’emmène sur le grand lit.

Elle se met sur le dos, ferme les yeux, il passe sa main sous le top, dégrafe son soutien gorge. Elle l’enlève.

Il lève son chemisier et suce ses tétons durcis par les événements de tout à l’heure.

Quand il l’a sent très chaude, il dégrafe son pantalon. Mais à ce moment là, ses esprits reviennent en elle. Non, elle ne peut pas. Elle met la main sur son pantalon en signe de réticence. Il lui sourit.

Laisse toi aller, lui rassure t’il. J’aime ce que tu représentes, toi. Et puis, tu as déjà fait des progrès sur ton corps, je le sais…

 

Elle hésite.

Puis ferme les yeux et enlève sa main. Alors, il l’embrasse une nouvelle fois en lui faisant glissant son pantalon. Elle l’aide de ses jambes.

Elle est là, sur un lit, dans une chambre d’hôtel avec quelqu’un qu’elle fantasme depuis des semaines en sous vêtements. Il se redresse et fais de même avec son jeans.

Leurs jambes se mêlent pendant le long baiser qui suit.

Elle a envie de reprendre son activité de tout à l’heure, Lise. Ventre caché contre la couverture du lit, elle descend à la hauteur de son sexe pour le reprendre dans sa bouche.

Quelques minutes plus tard Seb l’a rejoint pour prendre possession de sa chatte humide. Il enfouit sa tête dans ses cuisses, l’obligeant à écarter ses cuisses. Lui caresse ses fesses et lèche le clito, appuie sa langue entre les lèvres.

 

Sa queue prend de l’ampleur dans sa bouche.  Son gland est humide. Les gestes sont t rapides.

Il enlève sa bite de sa bouche, il veut absolument ralentir son excitation. L’a retourne et frotte contre ses seins. Sa poitrine moyennement volumineuse coince sa queue entre ses deux seins  et il se branle doucement.

 

Elle oublie doucement la situation de son corps, s’abandonne au plaisir de la chair. Ses douces caresses, ses baisers, elle sent le désir monter en elle. Elle ne pense plus qu’à ça. Il ne fait aucune remarque sur son ventre, la couvre de mots tendres.

Ses doigts sont enfouies dans sa chatte, elle est trempe, il lui en faut plus, elle a envie qu’il passe à l’action suivante. Elle se relève, s’agenouille devant lui  et présente ses fesses. Il s’approche d’elle, s’agrippe à ses hanches et enfonce sa queue entre ses fesses. Il rentre comme du beurre, elle est si mouillée. De temps à autre, il sort sa bitte pour la rentrer dans sa chatte. Elle sent monter en lui son excitation. Son râle devient si fort.

Enfin, il rechange de position et c’est elle qui se met au-dessus de lui. Sa queue est raide, s’enfouit dans sa chatte. Elle mouille si abondamment, que Seb a  le ventre aussi trempé qu’elle. Un dernier coup de rein de sa part suivi d’un cri mutuel. Ils jouissent ensemble.

Elle s’enlève de son corps trempé et se mets à côté de lui. Ils se caressent en silence.

 

Les demi-heures passent. Ils n’ont pas envie de se quitter. Elle ne sait pas comment lui dire qu’elle resterait bien toute la nuit dans ses bras et recommencer.

 

Seb avait réservé la nuit entière dans cet établissement, ne sachant pas comment se déroulerait leur rencontre.

 

Elle va se doucher. Puis revient dans la chambre, prend le téléphone, appelle à la maison. Décidément,  les routes ne sont pas sûres en cette période, le froid s’est installée, risque de gel. Elle annonce qu’elle va trouver un endroit pour passer la nuit et rejoindra sa famille demain dans la journée.

 

Seb, avec un grand sourire part dans la direction de la salle de bain et invite Lise à le rejoindre. La nuit est devant eux
Par tiwi - Publié dans : histoire érotique
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Dimanche 14 septembre 7 14 /09 /Sep 17:45

 

 

La neige commençait à tomber et le vent semblait devenir blizzard.

Ce froid que je déteste tant essayait de me faire reculer.

Mais la lueur de ton chalet alpin, au loin, motivait ma chaleur.

Je savais que là, je n’aurai pas froid…

 

Enfin, j’arrive. Je frappe à ta porte, quelque peu nerveux, c’est notre premier rendez-vous chez toi. Apparemment tu m’attendais, tu ne tardes pas à m’ouvrir.

 

- « Vite, rentre, il fait si froid dehors »

 

- « Bonjour, merci » te répondais-je, timidement.

 

Et tout de suite, la buée se forme sur mes lunettes. Je m’empresse de les enlever ;  je ne veux pas avoir l’air trop bête… (Ça commence mal ! me dis-je)

 

Accueillante, tu m’offres une serviette pour me sécher les cheveux.

Gentille, tu enlèves même la neige de mon long manteau.

 

Troublé avant d’arriver, maintenant, chez toi, peu à peu, je tombe amoureux…

 

- « Pourquoi tu souris ? » me demandes-tu.

 

- « Peut-être parce que je suis heureux » te répondis-je sans même avoir le temps de réfléchir   

     À ma réponse.

 

Sans un mot, tu souris à ton tour.

 

Tu m’emmènes dans ton salon boisé, tamisé, chaleureux, tout à ton image en fait. Dos à la cheminée, la lueur des flammes donnent un ton ambré à ta belle chevelure. Tu es si belle.

 

Mes yeux brillent… serait-ce à cause de la chaleur dans la pièce ou plutôt grâce à la beauté que je contemple ?  Apparemment, je laisse paraître mon bien-être car je te vois baisser la tête par moments, quelque peu gênée, les pommettes un peu roses…

 

Lorsque tu m’offres à boire, involontairement, ta main effleure la mienne ; ta main est si chaude, si douce que les battements de mon cœur s’accélèrent et l’envie de t’embrasser m’envahit. Nos visages se rapprochent, tu te mordilles les lèvres et baisses la tête lorsque nos regards se croisent. D’un doigt je la relève par le menton et te regarde fixement. Nos lèvres se rapprochent lentement et un tendre baiser les unies. Nos regards se font moins timides, nous laissons ouvrir nos cœurs et à nouveau, nos lèvres s’unissent. Ma main caresse tes cheveux et tes bras se posent sur mes épaules. Nos baisers semblent éternels, nos langues s’entremêlent et nos mains se serrent. Je t’aime, tu m’aimes et notre amour nous guide. Ma bouche devient plus avide et elle embrasse ton cou. Ta peau est si douce.

 

Mes bras t’entourent et mes mains te caressent le dos, le bas du dos même. Je te sers fort contre moi pendant que mes lèvres continuent à goûter à cette peau de pêche. Tu te mordilles à nouveau les lèvres et déboutonnes ma chemise. Tes mains se posent sur mon doux duvet et à ton tour, ta bouche devient curieuse. Tes lèvres sont si douces que personne ne pourrait y résister. Je me laisse faire, tes bras m’entourent ; je me sens bien, aimé. Moi aussi j’ai envie de sentir ton corps, je déboutonne ton chemisier et ton soutien-gorge laisse présager la beauté de tes seins. Mes mains se posent, caressent cette dentelle et ma bouche effleure cette douceur. Tes mains à travers mon pantalon cajolent mes fesses. L’envie est trop grande pour de ne pas en vouloir plus… La dentelle enfin enlevée, ma bouche se pose sur tes seins. Mais avant, je les contemple. Une fois de plus, la lueur de la cheminée embellit ma vision. Ils sont si bons, si doux. Je me régale. Tu me tiens par la tête et sans savoir comment, nous nous retrouvons à genoux, tous les deux. Nos baisers n’en finissent pas ; nos caresses s’éternisent et je sens ta poitrine, nue, contre la mienne. Que c’est agréable de t’enlacer de la sorte. Nous continuons à nous serrer, comme si on voulait se rapprocher davantage ou peut-être ne pas se séparer, restés ensemble, l’un contre l’autre.

 

Mes mains descendent et la rondeur de tes fesses me ravit. Je la serre fort contre moi et tu sens mon excitation se poser contre toi. Tes mains d’ailleurs, ont trouvé le chemin de mon intimité et se promenant à souhait, me masturbe tout doucement. Je m’allonge sur le dos mais je ne te lâche pas pour autant. Tu enlèves le peu de vêtement qu’il me reste et mon sexe dressé, droit, dur, rêve d’être avalé par ta bouche si douce. Tu le sais bien et tu continues à m’embrasser, partout, pour faire durer le plaisir, me donner encore plus envie de toi.

Ta bouche généreuse arrive enfin jusqu’à mon sexe ; elle entoure mon gland, le lèche tout entier de bas en haut et peu à peu, comme une dégustation, tu le fais entrer dans ta bouche, de plus en plus profondément tandis que tes mains caressent mon corps. Ta bouche me rend fou, si fou que je veux t’embrasser. Je relève ta tête et la pose contre la mienne.  Nos baisers sont fougueux, nos cheveux s’entremêlent et je sens ton corps toucher le mien.

 

Ton vagin est chaud, humide. Mon sexe le caresse, aidé par mes mouvements de reins. Il fait de plus en plus chaud sur ce tapis épais. D’une main, tu agrippes mon sexe et caresse ton clitoris avec. Tu arrêtes de m’embrasser et te relève un peu, juste assez pour que mes lèvres se collent à tes seins. Tu te penches à nouveau. On se regarde, nos yeux sont grand ouverts, imperturbables. Alors qu’on s’aime par le regard, tu fais entrer mon pénis en toi, doucement, lentement. C’est si bon. Ta main desserre mon sexe et c’est moi à présent qui orchestre notre ballet amoureux.

 

Irrémédiablement, nos mouvements s’accélèrent, nos soupirs s’accentuent et nos baisers deviennent presque violents. Désireux de te pénétrer encore plus, je te fais allonger sur le dos et sur toi, je me montre ardent. Nos ébats sont si torrides que nous ne sommes plus sur le tapis. Tu es trempée, rouge de chaleur, d’extase, nos corps sont moites et lorsque nous jouissons ensemble, bras tendus, tes mains serrent les miennes de toutes leurs forces et nos regards se figent.

 

Allongé contre toi, nous reprenons notre souffle, mes mains se posent sur toi et ma tête se colle à la tienne.

 

La bûche s’éteint mais notre amour, ne fait que s’allumer.

Par tiwi - Publié dans : histoire érotique
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Lundi 1 septembre 1 01 /09 /Sep 08:39



C'est un magnifique message dédié a sa femme que j'ai trouvé sur le site et dont j'avais trop envie de le publier . Je ne peux pas atteindre ce monsieur, n'ayant pas laissé d'adresse à quelque part, j'espère qu'il ne m'en voudra pas de l'avoir publier chez moi.
Dans ce texte, il montre tout l'amour qu'il ressent pour sa belle épouse et pense déjà à sa super soirée remplie de tendresse et de câlin; vous me connaissez..... j'aime ce genre de mot. Il me manque depuis que je n'ai plus de contact avec - lui - et de lire ce genre de texte...... comme j'adore 
 





Je me nomme Gérard, 45 ans, brun un peu grisonnant, 1,78m 76 kg, sportif.Contrairement à ce que certains pisse-froid disent ou pensent, la masturbation n’a jamais fait de mal à personne.


Je me masturbe quasi quotidiennement depuis ma puberté et ne m’en porte pas plus mal.

Ça ne m’empêche pas d’honorer mon épouse chérie depuis vingt-deux ans plusieurs fois par semaine en temps ordinaire, tous les jours et parfois plusieurs fois en temps de vacances.

Ce matin, après avoir dégusté quelques confessions sur mon site préféré, je bandais comme un cerf, si tant est que les cerfs bandent aussi fort. Si c’est le cas, elles ont bien de la chance, les biches.

L’envie m’est venue de me raser complètement le pubis, les bourses et jusqu’à l’anus. Vite à poil, la queue bien raide et direction la salle de bain. D’abord la tondeuse pour débroussailler une toison qui n’avait pas été entretenue depuis plusieurs mois, en effet je me « coiffe » fréquemment mais depuis quelque temps aucun ciseau ni tondeuse ne s’était approché de cet endroit.

Vite la mousse, en abondance, une lame neuve et en route, bien partout, traquant le moindre poil, contorsions, tirant bien la peau pour éviter les coupures, songeant déjà aux douces tortures que me vaudront ces passages répétés dans les heures et les jours qui viennent.

Aïe ! Une petite coupure, juste à la base de la verge, dans le repli en bas du ventre ! Bah ! Comme ça au moins je suis sûr de penser toute la journée à ce soir, quand ma femme découvrira le cadeau.

Voilà, tout est lisse, un peu d’après-rasage… Aïe ! ça pique, surtout à l’endroit de la coupure, mais c’est tellement bon, la vigueur de mon érection s’en trouve accrue, ça me fait mal tellement ma bite est dure.

Bon, ce n’est pas tout mais il va falloir calmer un peu le feu avec beaucoup de crème. C’est doux, ma main complètement enduite de crème va-et-vient de l’anus au bout de ma verge. Oui, oui, c’est bon !

Mes doigts glissent jusqu’à mon anus, mon index bien lubrifié par la crème entre comme chez lui, mon anneau, habitué au traitement, se détend. Ce sont bientôt deux doigts, puis trois, qui vont et viennent. Ma tête est en appui contre le mur, je vois mes doigts s’agiter dans la glace du mur opposé. De mon autre main je me caresse les testicules, je me branle de mouvements amples en décalottant bien à fond.

Je pense à ma femme, à sa surprise ce soir quand je m’étendrai tout nu sur le lit et qu’elle découvrira ce sexe nu comme celui d’un bébé, car c’est vrai, je suis fier de mon boulot, pas un poil n’a échappé au rasoir. Je sais, je suis sûr qu’elle va aimer, elle-même est presque entièrement rasée, seule une petite touffe très mince souligne sa douce fente que j’aime tant embrasser, caresser, mordiller, lécher.

Mets-toi en levrette, chérie, que je puisse embrasser ton cul. Tends bien les fesses, sens-tu ma langue s’insinuer dans ton petit trou ?

Tu aimes ça, hein, ma petite salope !

Mon pouce lui caresse le clito, vient s’humecter à sa source. Tu gémis… c’est bon !

Je suis allongé sur le dos, la bouche sur ton sexe, je vois tes petits seins qui se balancent au rythme de mes baisers, tu me cries que tu montes, tu montes, encore, encore, enco, enco, enc… Ouiiiii ! Tu jouis, je suis heureux, je suis fier de t’avoir amenée à jouir si fort et je reste blotti contre toi, la tête serrée entre tes douces cuisses à l’unisson de tes derniers soubresauts.

C’est toi qui bouges la première, tu écartes les cuisses pour me libérer et tu m’attires vers toi. Je rampe. Au passage je goûte ton nombril et la longue cicatrice que t’a value la naissance par césarienne de notre fils. Elle est restée sensible et je sais que tu apprécies que je l’embrasse longuement.

C’est maintenant ton nombril qui est l’objet de tous mes soins, puis tes petits seins : je les mordille, ils sont doux, la petite fraise durcit. Je puise à ta source un peu de cyprine et enduis tes seins de ton jus. Je les lèche, tu gémis, tu te presses contre moi et les mouvements de ton bassin m’invitent à remonter encore.

Voilà, je suis contre ta bouche, nos langues se mêlent, s’aspirent. Notre baiser n’en finit plus. Ton bassin s’agite de plus en plus vite, tu veux que je vienne en toi mais je ne suis pas pressé, j’ai envie d’autre chose.

Tu me devines, tu me connais bien. C’est à ton tour de ramper, tu descends en suivant le même chemin que j’ai suivi quelques minutes plus tôt, mais à l’envers. Tu sais que moi aussi j’apprécie les bisous sur les seins.

Enfin tu arrives au but de ta reptation à rebrousse-poil, tes mains sont des hélices de bateau, ton doigt effleure ma rondelle, tu masses doucement mes bourses, c’est trop bon ! Ta langue entre à son tour en action, suivant la grosse veine de haut en bas, s’enroule autour de mes bourses lisses comme celles d’un gamin. Tu aspires mon gland, j’ai du mal à me retenir, je sens que je vais éjaculer et tu t’en aperçois, alors tu me presses la base de la bite et reprends ta reptation dans l’autre sens.

Nous revoilà bouche contre bouche, tu sens bon l’amour.

Ton bassin a repris ses invitations, ta main toujours serrée autour de mon vit m’attire vers ton entrejambe. Tu es tellement mouillée que ma queue se noie (heureusement que ce n’est pas par là que l’on respire) ! J’entre dans l’absolue douceur, tu resserres tes jambes pour bien me sentir, je vais et viens doucement, d’abord bien à fond, je ressors et entre plusieurs fois, affolant ton envie de jouissance.

Je te retourne sur le ventre, tes fesses se tendent, elles savent ce qui les attend. Je t’écarte les jambes, te pénètre puis resserre tes jambes. Je suis à califourchon, bien serré ton petit cul (oui je sais tu n’aimes pas que j’en parle comme ça, tu dis toujours que tu n’as pas de fesses, mais moi je l’aime ton cul). Ton petit cul, donc, s’agite, ma bite est dans ta chatte et en même temps elle se fait masser par tes fesses. C’est divin, je ne bouge plus, c’est toi qui m’aspires, moi je te survole, appuyé sur mes poings, les bras tendus, la bite en avant.

Je te vois t’agiter : tu cherches la jouissance. Vite ! Plus vite ! Je devine à tes soubresauts que ça ne saurait tarder ; il est temps, moi non plus je n’en peux plus, je n’en peux plus, j’atteins le seuil de non-retour, je me déchaîne… Je jouis chérie, je jouis, je t’aime.

J’ouvre les yeux, j’ai du sperme plein la main. J’ai joui, je me lèche, jamais je n’étais allé jusque-là, comme bien des hommes qui rêvent de voir leur partenaire avaler leur semence - c’est une autre histoire quand il s’agit d’avaler ce liquide visqueux, légèrement salé.


Vivement ce soir !

Par tiwi - Publié dans : histoire érotique
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