Lundi 16 août 1 16 /08 /Août 00:40

Enfin arrivé à la maison de vacances, valises défaites, enfants devant leur ordi, mari devant la télé, je décide de faire le tour des environs et faire une tête dans la piscine avoisinante.

Quel régal, après quelques heures de route, détente dans l’eau. Quelques chaises logues arpentent le long du bassin. Certaines femmes en petite tenue deux pièces, des messieurs allongé sur  leur linge avec le journal, des enfants qui sautillent dans cette eau presque tiède.  De longues traversées, tantôt façon la brasse, ou le crosne, sur le dos…. Un plaisir attendu depuis longtemps.  A chaque traversée, des pensées furtives, des pensées imaginaires et regard sur le paysage magnifique qui m’entoure.

Le lac Majeur en contrebas de la piscine, les montagnes vert immense…. Paradis sur terre.

L’heure tourne, je sors de l’eau, passe le linge autour de mon corps, savate aux pieds ; départ direction de l’appartement en location pour une semaine.

Après une bonne douche, petite robe légère, j’étend mon linge sur la terrasse et prépare la table afin de convier ma famille au repas du soir.

Les casseroles bouillonnent, la salade est prête, une bonne odeur commence à se faire sentir dans toute la pièce.

De l’autre côté de la cloison, il y a aussi du bruit. Il semblerait qu’il y a du monde qui se prépare également à faire un bon repas sur la table de la terrasse. Une paroi fine en verre coloré et opaque nous sépare. Je ne vois pas les deux personnes, mais c’est sûr, deux personnes sont sur la terrasse et profite également de ce restant de soleil.

Une petite lucarne à 70-80 centimètre du sol est sur toute la longueur de cette paroi et permet d’entrevoir les jambes nues de mes inconnus. Avec ce petit bruit succinct, curieuse, je tourne la tête et fixe cette petite ouverture.

Heureusement que personne n’est avec moi sur la terrasse,  j’ai senti mon visage chauffé immédiatement. Mes joues devaient êtres écarlates. De l’autre côté, je voyais 4 jambes. Deux laissaient entrevoir une culotte blanche au dessus des ses cuisses. L’autre paire, jambe entre-ouverte laissait entrevoir un magnifique serpentin, tête en bas, mais …. Joli spécimen. Il étendait son linge sur l’étendage, tranquille, sans se soucier qu’il pourrait avoir du monde de l’autre côté de la paroi.

J’ai senti une chaleur chaude parcourir tout mon corps.  Envie de faire un câlin, envie de voir cette tige se durcir. Dans le salon, mon mari dort encore en attendant l’appel  pour se mettre à table. Ma fille sort de la douche et mon fils lit un livre tranquille. Je ferme les yeux un instant et je m’imagine être tout seul avec mon mari dans cette pièce qui nous sert de salon. J’aurai adoré le sucer là, tout de suite.

On passe à table et à deux reprises, mon regard fixe l’encadrement du voisin. Il n’y a plus personne mais quel plaisir d’avoir joué à la voyeuse quelques instants.

Le jour suivant, balade et excursion toute la journée, courses alimentaire afin de remplir le frigidaire et avoir les divers nécessités pour une cuisine camping, genre sel, pâtes, légumes et viandes.

Au retour à la location, rebelote, je vais me détendre un moment à la piscine.

Repas familial, puis dispersion de chacun. Pour mon fils, ce sera balade nocturne. Ma fille, télé, elle est fatiguée. Après avoir rouspété toute la journée quant à la longueur de la marche, elle a décidé de ne plus bouger de la soirée.

Je n’ai pas pu résister à penser à la belle trompette de hier et tenté de lancé un petit regard de l’autre côté de la cloison. Mais pas âme qui bouge et bien vite, je l’oublie et m’habille pour passer une soirée Jazz avec mon mari sur la terrasse de l’hôtel.

A notre retour, mon mari va se coucher, fatigué, il reste devant la télé et ma fille dort. Mon fils n’est pas encore rentré, mais il est majeur et les balades nocturnes, il adore.  Je lui fais confiance.

Je prends un livre et je vais lire sur la terrasse, tranquille, afin de profiter de cette douce chaleur de fin de soirée.

Les bruits de part et d’autres s’estompent petits à petits. On entend encore le grillon, au fond du jardin, des chuchotements dans les alentours de temps en temps, ou une porte fenêtre claquer en guise de – bonne nuit –

Entre temps, mon fils est rentré, douché, et départ pour un long sommeil paisible. Dans la maison, tous le monde s’est endormi. Je profite de mon livre, n’ayant jamais trop de temps hors vacances.

Allongé sur un transatlantique, couverture, je profite de la vue, de ses lumières qui reflètent tout autour de ce beau lac, de mon livre et d’un bon café. De temps à autre, j’imagine une scène coquine, une image câline, envie de sentir un baiser dans le cou, mais je me remets très vite à ma lecture.  La nuit est douce, il fait bon, et le silence est paisible.

Soudain un bruit sourd me fait tourner la tête. Je n’avais pas vu que le voisin avait également pris place sur une chaise longue. Une petite lumière m’indiquait qu’il fumait une cigarette, tranquille, seule, également. Sa compagne devait aussi être dans son lit.

Ses jambes poilues repliées, je ne voyais que ses fesses nues et la pliure de ses gambettes. Pas de sous-vêtement, si  ce n’est qu’un t-shirt ou quelque chose du genre qui couvrait le haut apparemment.

Je repris mon livre ayant un peu honte de mon regard sans vraiment une grande concentration sur le sujet de ma lecture.

Son image de la veille me revient dans ma mémoire et je me concentre alors sur la vue, le calme de l’endroit. Un petit soufflement retient à nouveau mon attention et je retourne instinctivement la tête dans la direction de ce petit bruit. Je ne crois pas mes yeux, il est entrain de se caresser. Je n’ose plus bouger, ni même respirer. Il sait que je suis là, lui ? Ou alors aucune pudeur et il s’en fout que je le regarde ou non. Quel âge as t’il ? Jeune, plus âgé ? Exhibitionniste à ses heures ?

Je m’enfonce dans mon transat, remonte la couverture et ne bouge plus.

Il fait nuit et je ne distingue pas grand-chose, moi qui est une spécialiste pour ne rien voir la nuit. Mais je l’entends et par le rythme de sa respiration, je comprends qu’il passe du bon temps.

Ma main, sous la couverture effleure ma nuisette et m’aperçoit que je suis hyper excitée. Entre mes cuisses, je suis toute humide et je ressens cette même chaleur dont j’avais ressenti la veille.

Je n’ose pas trop bouger mais ne peux m’empêcher de titiller  mes lèvres doucement afin de ne pas alerter ma présence au voisin.  Je contrôle ma respiration et les mouvements de ma main s’active entre la fente de mes lèvres et mes fesses.

Une lumière jaillit après un long soupir. En fait c’est son allume cigarette, qu’il fait fonctionner en récompense de son long préliminaire en solo. J’ai pu voir en quelques secondes, qu’il avait jouit sur son ventre et qu’il avait un linge pour s’essuyer, à l’autre main. Quel délice à mes yeux, j’adore voir un homme ou l’entendre gémir.

Il finit sa cigarette et se lève. J’entends la porte fenêtre claquer, la lumière de son salon s’éteindre. Je suis seule. Je suis toujours aussi excitée et tranquille pour me laisser aller à mon tour.  Un doigt, puis deux, quelques va et vient avec ma main, je ruissèle en imaginant faire l’amour avec l’inconnu à la longue tige.

Longue ? Est ce que j’aimerai vraiment ? Je ne suis pas sûre, mais étant donné que c’est l’inconnu dans cette taille, je peux avoir toute l’imagination que je veux.  

C’est l’heure de rentrer à mon tour, tout est paisible dans l’appartement, quelques ronflements à peine audible. Je ne peux pas aller me coucher… collante, donc petit passage sous la douche et je change de nuisette, puis dodo.

Le lendemain et le surlendemain, pas de regard déplacé, pas de câlin en solo, pas d’idées coquines.  Petit déj, puis shopping l’autre côté de la frontière, en Italie. Ca nous fait rentrer tard, quelques visites de monuments, églises magnifiques ; repas du soir dans un restaurant, pizzéria, le surlendemain.  

Le cinquième jour, on passe toute la journée sur un barrage et une longue rivière, où de super rocher sort de son lit. Ca nous permet de passer d’une pierre à l’autre et scruter une eau transparente. Le pique-nique est agréable, le soleil est chaud. On mouille nos pieds, tente parfois d’aller humidifier le nombril, mais on ne reste pas longtemps, elle doit avoir 10 degrés au maximum.

Quand on reprend la voiture, il est tard, il y a beaucoup de bouchon sur l’autoroute qui mène à notre location. Je prends patience, ma famille s’est endormi dans l’habitacle. Ils me font confiance et savent que je les mènerai à bon port.

Rentré, je fais un petit repas pour tout le monde, une douche, la vaisselle et je file dormir. La route m’a épuisée.

Dernier jour de ballade, le coq du coin nous réveille tôt, on va prendre le bateau et partir dans un endroit sportif. Pleins de bassins différents où l’on s’éclate et où chacun de nous peut enfin choisir son degré de détente, d’efforts.

Le sauna m’accueille les bras ouverts. C’est un endroit spécial nudiste. J’ai de la peine à me dévêtir en entier, mais en laissant mon linge autour de la taille, je rentre dans cet endroit.

Mon mari est allé dans le bain de vapeur. C’est moins chaud et plus supportable. Je l’accompagnerai plus tard.

Le sauna est grand. Il y a des hommes, des femmes. Pas de regard espiègle ou coquin. Je me sens vite à l’aise et défait un peu mon linge afin de profiter de la chaleur. La salle est grande. Je scrute le lieu, et certains endroits sont très sombres. Je pense que c’est bien la première fois que je rentre dans une aussi grande salle. Certains hommes sont très à l’aise, jambe entre-ouvertes, il y a des moyens, des grands…. Je profite de promener mes yeux ici et là, comme ils le font aussi, sans un mot et parfois, juste un petit sourire.

Puis, l’homme perché sur la dernière banquette retient mon attention, comme le voisin de la location.  Elle doit être spéciale, la voyant de plus près…….. Elle est vraiment très longue. Je ne suis toujours pas en mesure de voir son visage et ne peut pas savoir, en aucun cas, si un et un font deux et que ce soit la même personne. Mais une femme est à ses côté.  En regardant ses mains qui sont éclairés par la lumière de la salle chaude, je ne pense pas qu’il soit très jeune.  Mais … bel engin probablement.  Super chaud, pas l’habitude, à contre cœur, un peu ; je sors et après une douche rafraichissante, je rentre quelques minutes dans la salle de bain turc.

Puis une dernière douche avant de partir….. En solo, porte fermée. Toutes ces trompettes s’offrant à ma vue, sans câlins, ça en était trop pour que je rentre sans me faire jouir. La douche bruyante, je pouvais me caresser sans alerter qui que ce soit autour de moi. Ma main qui se balade entre mes lèvres finit par entrer entres-elle. Une jambe surélevée sur le rebord, une main qui se promène sur ma poitrine.  Mes tétons se dressent et crient son envie de plaisir. J’ai le temps, je prends le temps. Appuyée sur le mur carrelé, je me caresse de plus en plus, mais pas assez de pouvoir, envie de plus. Je nettoie à fond la bouteille qui me sert de savon liquide pour la douche et le l’introduis doucement  à l’intérieur. Elle a la taille parfaite à mon abricot. Elle glisse et s’enfonce doucement à l’intérieur. Puis lentement, je la sors pour la remettre, plus loin.  Le va et vient prend un rythme régulier. Encore, encore. Je m’abandonne à cette douce caresse. Mes jambes coulent un liquide épais et presque collant. Je ne me suis pas rendue compte, moi qui suis fontaine, que mon plaisir à explosé, que je jouis, là, sous cette douche tiède.  Je nettoie ma bouteille, l’ouvre, me verse un peu au creux de la main et m’asperge le corps de cette substance parfumée, partout. Avec la pomme de la douche, dirigée sur ma chatte, je la rince. Ses jets puissants me procurent une dernière sensation avant de fermer l’eau et me sécher.

En sortant de la douche, curieusement il y a des messieurs qui se douchent dans le jet collectif. Pas de femme ? Je me suis trompée de vestiaire ? Il me semble qu’il n’y avait pas de séparation.

Non, en effet, il y en avait pas, mais je ne suis pas toujours très silencieuse, j’ai certainement du me laisser aller plus que je ne le pensais. Au vu de certains sourire en me regardant sortir. Oups !

Le réveil sonne tôt ce samedi, et après le petit déj, je rassemble les affaires, les enferment  dans les différentes valises que je charge dans la voiture. Après avoir nettoyé l’appartement, un dernier coup d’œil sur la terrasse. Sur le bord de la terrasse adjacente, les mains sont posées sur le rebord. Sans doute, il est également prêt à partir et savoure une dernière fois la vue avant de partir à ses activités courantes. Ses mains paraissent à avoir un certain âge. Celle du sauna ? Je ne saurais pas, je n’ai toujours pas accès à son visage et c’est aussi bien comme ça.

En route !

Par tiwi - Publié dans : histoire érotique
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