Une histoire chaude........ mais pas écrite par moi. Je ne fais qu'un copier / coller .
Un coquin qui a eu envie d'écrire spécialement pour mon blog. Merci beaucoup pour toutes ces heures passé devant ton clavier. Et bravo pour l'imagination
Certains choisissent des vacances au soleil, d'autres à
la mer... J'ai choisi des vacances sexe; tout est organisé en direction de ça.
J'ai choisi
cet année la Suisse, la forte densité de clubs libertins des deux coté de la frontière étant assez intéressante de plus je me suis acoquiné avec une jeunette qui fait les saisons d'hiver dans les
alpes, aussi lesb que ça puisse être possible, à qui je sert de chauffeur et à qui, il faut bien le dire je paye ses
entrées en boite.
Elle et moi
formons un couple genre Laurel et Hardy, elle le mètre soixante une quarantaine de kilo tout
mouillés, bien « pti mec » moi avec mon mètre quatre vingt et ma carrure de pilier de rugby. Elle
me sert de caution couple et à nous deux nous écumons les clubs libertins du coin; une fois dans le
club, chacun pour soi...
Il y a bien
des tauliers qui ont essayé de nous brancher pour savoir si notre union a quelque
chose de réel, mais notre comportement assez « chaleureux »elle n'hésitant pas à me mettre la main à la braguette même tôt dans la soirée passait pour assez vraisemblable.
La veille
nous avions décidé de ne pas sortir, ça faisait dix jours où nous ne sortions que la nuit, et la fatigue se faisait
sentir, et d'après ce que j'avais compris, elle venait de mettre la main
sur une femme du coté d’Annemasse.
Du coup
j'étais debout de bonne heure et je contemplais le
départ du voisin, surtout son
inefficacité noire...
Les voisins
enfin de ceux qui m'avaient prête la maison, de lointains cousins de ma famille
belge... Lui, je pense même ne pas le reconnaitre si je devais un jour le
rencontrer dans la rue, elle par contre plutôt petite, de bonnes fesses auxquelles il doit
être bon de se cramponner et surtout un visage qui te dis
« j'en veux ».
J'avais bien
essayé de voir si il y avait moyen de moyenner de ce
coté mais nounours s'était pointé et j'avais lâché le miel... C'était bien dommage car alors que la voisine extrayait du
coffre de sa voiture une montagne de trucs, un coup de vent fort à
propos avait soulevé sa jupe, et j'avais eu le spectacle charmant de ses
jambes ainsi que la certitude qu'elle portait soit un string, soit rien.
Rentrant dans
la maison je m'étais masturbé en pensant à ce que je pourrais lui faire; elle m'avait
tapé dans l'œil avec son bon cul, pointure quarante quatre, et je
m'imaginais bien le faire claquer contre le haut de mes cuisses...
Pour le
moment je me bâfrais avec un petit dej' costaud et je contemplais le
départ du monsieur depuis le balcon ou
j'étais installé et qui surplombais leur jardin tout en pensant aux
fesses de la voisine. Le voisin n’était pas un spécialiste des départs et faisait un nombre incroyable d'aller et retours
entre sa voiture et leur maison... C'en était comique... Enfin il réussit à partir et je notais machinalement qu'il ne partait pas
bien longtemps avec sa petite valise.
Pour faire
passer le petit déj' je marchais quelques pas sur la pelouse lorsque je
fus pris d'une envie de pisser monumentale, j'étais em caleçon et en tee-shirt noir et je m'étais approché de la haie car le soleil même encore bas sur l'horizon tapait dur et j'avais chaud
avec mon tee-shirt. Je me tournais vers la haie et fis ce que j'aime beaucoup : Pisser droit devant moi, j'apprécie beaucoup de ne pas avoir à viser la cuvette et, les mains aux hanches, je pissais
droit devant moi... Cela me prit du temps car l'évocation des fesses de la voisine m'avait mis dans un
début d'érection. Quelque chose me troubla...
En bas les
arbres qui composaient la haie étaient dégarnis une vingtaine de centimètre avant le sol et laissaient passer la
lumière crue du matin, celle-ci était interrompue par les troncs des arbres
à distance égale des un des autres, sauf qu'il y en avait deux
complètement rapprochées... Je compris vite ce qu'elles étaient... C'était l'ombre des jambes de la voisine ! La
voisine était en train de me regarder pisser ! Je terminais et,
dans la foulée, je me mis à me masturber en regardant bien si les deux ombres
disparaissaient... Que non ! Elles s'étaient fondues pour ne former qu'une masse sombre, de
toute évidence la voisine s'était accroupie et sans doute, devait se masturber elle
aussi; trop près de la haie, je ne voyais rien...
Je fis un peu
durer le spectacle, autant que je puisse mais le fait de me savoir vu durant une masturbation est quelque chose qui me titille au plus haut point.
Je finis par
une belle giclée de sperme dont j'ai le secret, suivie des plusieurs
autres, l'ombre de la voisine se fondit avec la lumière entre les arbres. A ce moment de mon
récit, je dois expliquer quelques choses...
Certains
hommes ont une longue verge, moi pas; d'autres en ont une grosse, moi pas. J'ai eu la confirmation par des avis avisés et par ce que j'ai pu voir soit en club soit en soirées, que je suis totalement dans la moyenne. Me distingue
seulement un gland quelque peu disproportionné par rapport au reste de la verge, cela plait bien
à celles qui adorent sucer, et surtout une production de
sperme très importante et puissante, cela est quelque peu
handicapant car dans le cas où j'éjacule dans une bouche peu expérimentée, sa propriétaire se trouve bien embarrassée par se qu'elle vient de recevoir... J'ai vu certaine
fois ma partenaire tousser, et pour que tout se passe bien, il faut que j'éjacule au font de la bouche la première giclée, les suivantes étant peu importantes. Je ne peux pas me retirer non plus
car ma partenaire a la figure aspergée, ce qui en rebute plus d'une, cela aura une importance
dans la suite de mon récit.
J'en
étais à me demander ce que je pourrais faire avec la voisine
lorsque j'entendis le moteur de sa voiture démarrer.
J'avais
repéré un portail entre nos deux jardins, il y avait des portes
de communication entre tous les jardins c'est souvent le cas avec les pavillons chauffés ou ayant été au fuel, ça évite de faire passer les tuyaux de livraison pas le
devant des jardins; je me mis en quête de la clef dans l'entré j'en avais vu accrochées à un petit tableau, une seule pouvait convenir et quelques
minutes plus tard je me retrouvais dans le jardin d'à coté. Du linge séchait sur le fil, dont quelques
sous-vêtements femme, noir pour la plupart et qui ne me
laissaient plus aucun doute sur le goût de ma voisine en ce qui concerne les strings. J'avais
là mon plan ! Je pris deux strings et un torchon en
laissais un à terre et retournais de mon coté sans fermer la porte à clef.
Je
contemplais ma prise, cela me mis en érection et je me masturbais un peu avec le plus fin des
deux strings.
Une heure ou
deux après la voisine revint et je lui dis depuis le balcon
: « Madame il y a du linge à vous qui s'est envolé et qui est tombé ici. » J'agitais le torchon, elle me répondit : « Merci... Vous pourriez me le lancer par dessus la haie
? » Je descendis donc dans le jardin...
Arrivé à la haie, je jetais le torchon qui passa
après deux essais malgré le vent, il avait un vent de sur fort ce
jour-là mais ne lançais bien évidement pas les deux culottes, faisant semblant de
râler après le vent... « Ça ne passe pas, trop léger ! … Attendez, il y a une autre solution » Je me dirigeais vers le portail et mettais un pas dans
son jardin... « Je ne me souvenais plus de la porte
dis-je ».
Tu parles que
je m'en souvenais ! Je lui donnais ses deux culottes, elle rougit comme une pivoine ce qui, avec sa peau blanche dû se voir de loin. Je n fis aucun commentaire grivois, et les deux strings disparurent en boule avec le torchon. J'embrayais vite sur mes considérations sur la météo du jour... Blablabla... Qu'il faisait chaud... Un
bel échange de banalités... Au bout d'un moment je lui offris de prendre un
verre, et après le refus de rigueur elle finit par accepter...
J'étais aux anges ! Pour éviter qu'elle craigne d'être vue, je lui proposais la terrasse
derrière la maison... Nous avons bavardé longtemps, je proposais que nous nous appelions par nos
prénoms, le sien était Monika, puis je lui demandais à brule pourpoint : « A fait, le spectacle de ce matin vous a bien plu
? » Elle prit cela comme un seau d'eau froide et
bafouillait « Le spectacle ? » Là je lui lâchais tout, le soleil les ombres... Elle
répondit toute troublée : « Pardon, je suis désolée... Un moment d'égarement... Pardon mais je dois partir, mon mari va
arriver. » Elle se leva, je me mis devant elle et lui
dit « Oui sans nul doute, et avec sa valise
! » Pour lui faire comprendre que je savais qu'elle
mentait...
- Écoutez, je ne voudrais pas que vous pensiez
certaines choses à mon sujet...
- Mais je ne pense pas, et je me suis fait plaisir en sachant que vous me regardiez.
- Je suis une femme sérieuse
- Moi aussi je suis sérieux.
Je lui pris la taille et la nuque et je l'embrassais
longuement elle me repoussa faiblement et bientôt j'eus ses bras dans mon dos. Je dégrafais son corsage, je voyais ses tétons rose vif à travers le soutient gorge blanc, leur couleur ne me
surpris pas, la couleur est toujours la même que celle des lèvres, par contre je fus surpris par leur dureté lorsque je passais ma main sur ses seins. Je la poussais vers le divan qui se trouvais
là, et je me mis à coté assis sur mes talons, là, je commençais à lui caresser les cuisses, elle protesta mollement... « Non... Je vous en prie restez sage ». Je passais outre ses
protestations qui n'en étaient pas et je continuais à la caresser entre les jambes qu'elle avait toujours serrées. Je descendais aux pieds, elle
avait des sandales à talon et qui ne cachaient pas grand chose, j'étais entre temps entré dans une solide érection, mais je me maitrisais, malgré l'envie que j'avais de sortir ma verge. Je lui
enlevais ses chaussures et commençais un massage des pieds, surtout dans la région qui correspond au sexe, chaque zone des pieds correspond à une zone du corps précise.
Je prenais
mon temps, il ne faut pas être pressé dans ce genre de situation, je remarquais que ses jambes
tout à l'heure raides se ramollissaient au fil du massage et
quittais ses pieds pour monter un peu plus loin, mais sans monter jusqu'en haut des cuisses car je ne la sentais pas prête, pas contre, elle se laissa aller quand je la fis passer sur le ventre et je recommençais à lui masser les pieds. Je ne m'attardais pas longuement
et bientôt mes mains furent en haut de ses cuisses, mais toujours
sous sa robe...
Je la sentais
prête. A ce moment là je lui remontais la jupe jusque aux reins... Une vision
sublime... Son cul s'offrit à mon regard, un beau cul bien rond je m'arrachais
à ma contemplation et commençais à le lui caresser à deux mains, je remontais le long de son dos tout en la
massant et en profitais pour dégrafer son soutien-gorge, je revins à son cul m'attardais encore dessus un moment, cette fois
en alternant mes caresses avec la descente alternée de mes deux index entre ses fesses en
réprimant l'envie que j'avais de sortir ma verge et le
faire de même avec. Elle avait un string blanc qui
n'étais qu'un ruban au niveau des fesses et qui
disparaît entre elles, je le lui baissais elle se laissa faire
avec un petit soupir et se remis sur le dos sans que j'ai beaucoup à
faire. Elle avait maintenant les jambes
entre-ouvertes et je devinais sa toison à travers le string qui ne cachait pas grand-chose,
tellement léger qu'il était, je passais mon index entre ses jambes, le
saisissais et commençais à tirer dessus en la regardant droit dans les yeux, je vis
alors sa toison, une toison de brune, bien épaisse et qui cachait parfaitement son
intimité; encore une fois je reposais mes mains sur ses jambes
et m'attaquais cette fois-ci à l'intérieur des cuisses... J'attendais qu'elle s'ouvre, ce
qu'elle ne tarda pas à
faire et je commençais à voir l'entré de sa grotte...
Je fis
descendre mon pantalon, mis ma verge sur le coté pour qu'elle puisse bien deviner sa forme, mais alors
qu'elle devait s'attendre à me voir baisser mon caleçon, j'approchais ma bouche de sa fourrure et lui fis
profiter de mon souffle... Je faisais comme on fait quand on veut faire de la buée sur un verre, elle me prit la nuque avec sa main pour
manifester son impatience. A ce moment là je m'installais plus confortablement et lui remontais
les jambes en commençant à lui faire des baisers sur son sexe... Elle devenait
impatiente, lorsque je fus sûr qu'elle mouillait je lui mis un doigt dedans, il
sortit mouiller, je profitais de la lubrification pour le promener doucement entre ses lèvres et sur son clitoris.
Elle avait un
très joli sexe, c'était un bonheur que de jouer avec. Elle
commença à gémir ce qui fut pour moi le signe du passage
à la vitesse supérieure... Je tétais littéralement son clitoris, alternant avec des pressions du
pouce; de l'autre main, après un moment passé à ne lui mettre que l'index, je lui introduisais le majeur alternant les entrés-sortie avec un mouvement de rotation de la main. Je n'attendis pas longtemps avant qu'elle n'eut un orgasme... Je restais sans bouger au même endroit et attendais qu'elle fût un peu calmée... Quelques minutes passèrent et je recommençais de la même manière que je faisais lorsque je m'étais arrêté, je recevais de plus en plus de récompense sur la main et, de temps à autre enlevais mes doigts pour la recueillir, Monika de
son coté n'en pouvais plus et à ce moment là je modifiais le mouvement de mes doigts : Du mouvement
alterné de tout à l'heure, en repliant mes doigts sur
eux-mêmes je la fouillais complètement, quand elle fut au bord de l'orgasme, je
ralentissais mes mouvement puis je recommençais de plus belle, ralentissant à chaque fois qu'elle en approchait, de mon
coté je récoltais sur mes mains toute le récompense qu'elle me donnait.
Monika
était maintenant à bout et je lui fis une autre fantaisie, de frotter mon
majeur sur l'index en essayant d'arriver à ce que l'extrémité du majeur aille le plus haut possible. Monika eu un
autre orgasme mais cette fois-ci je ne la laissais pas reprendre son souffle et en même temps que je lui tétais les lèvres je les mordais à travers celles de ma bouche et commençais ce qui est terrible en matière de jeu de doigts, je frottais frénétiquement mon index contre mon majeur... Aune femme ne
résiste longtemps à ce traitement et lorsqu'elle se tendit au moment de
jouir, je retirais mon majeur pour, le lui enfoncé doucement mais fermement dans le cul, et serais mes deux
doigts l'un contre l'autre. Elle fut prise d'un orgasme terrible, comme si elle recevait des décharges électriques en me cramponnant le poignet pour que
j'arrête de bouger.
Lorsqu'elle
fut calmée, je bougeais encore un peu le doigt que j'avais
toujours dans son cul et le retirais en tournant elle se raidit avec un gémissement. Nous avons recommencé à nous parler, pas la peine de lui demander si elle avait
trouvé cela bon, et avança sa main vers ma verge qui pointait sous le tissu elle
la caressa d'une main experte et me dit simplement:
- Et toi ?
- Vous allez
faire connaissance...
Je sortis ma verge, me masturbais quelque secondes et
fis tomber mon caleçon à terre...