Vendredi 8 mai 5 08 /05 /Mai 22:20

Au  soleil couchant, sur le sable

Les  pieds dans  l’eau caressés  par  les  vagues

Tu  arrivais  la  veste  dans  le  dos

Chemise  à  fleurs  ou  à carreaux

 

Ton  sourire  baratineur

Disait  long  sur  les prochaines  heures

On  a  refait  le  monde

Devant  une table  ronde.

 

Il  est  l’heure  de  faire  le  repas

Départ,  direction  chacun chez  soit

Petit  bisous d’au  revoir

Rendez-vous  un peu  plus  tard.

Par tiwi - Publié dans : poême
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Vendredi 8 mai 5 08 /05 /Mai 21:49

Homme du sud, je t’ai cherché

Homme du sud, je t’ai trouvé

Homme du sud, je t’ai fantasmé

Homme du sud, tu m’as blessé.

 

J’ai  joué  à  ton  jeu, sans  connaître  les  règles

J’ai  finalement  réussi  à  me  brûler  les  ailes

Je  t’ai aimé  comme  plusieurs  d’entres  elles

Sans  savoir  s’il y  avait  bien  un  départ  réel.

 
Est-il  nécessaire  de  mentir  autant

Pour  aimer  aussi peu  de temps

Ou   la  comédie  n’a duré  qu’un  instant

Penses-tu  être  encore un  adolescent ?

 

Tu dis  enfin  avoir  trouvé  le  bonheur

Mais apparemment ce n’est qu’un  leurre

Tes projets  sont encore passés pour du beurre

Nouveau  mensonge  arrivé  dans  l’heure.

 

Tu  as tourné  la  page  sur  d’autres  horizons

Je  ne saurai   pas  faire   le  même diapason

J’ai décidé  que  plus jamais  il n’y aurait de saison

Dans  mon  cœur, tout est  fermé pour de bon.

 

L’homme  du  sud  à  été  un  rêve  de quelques mois

Naïve, la grand-mère du  temps moderne, j’ai voulu croire,  moi

Que  l’amour  était donné, parfois,  sans règle  ni loi

C’était  sans compter  de la  part  d’un  homme comme celui-là.


Parfois, il dit blanc, parfois il dit noir. Un peu caliméro, je ne sais toujours pas si blanc est blanc et si noir est noir.
Ce sera la bonne, non, ça ne l'est plus. Je t'aime, mais en fait, je suis allé voir beaucoup de femmes alors que je te disais - je t'aime -
Ce n'est plus la bonne, mais je te fais entrer dans mes pages personnelles.
Je dis blanc, je dis noir.

Parfois l'être humain est bien incompréhensible.

Une femme, quand elle dit BLANC, c'est blanc. Si elle dit NOIR, c'est noir.
Noir, c'est devenu et plus d'espoir.
Jamais. On ne dit jamais fontaine, je ne boirai de ton eau ! Pourtant, moi je le dis haut et fort, parce que plus personne ne m'y reprendra à boire de cette eau.
Eau salée, âpre, triste et solitude; que de mots qui ont pour moi tant de signification.

Par tiwi - Publié dans : poême
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Samedi 11 avril 6 11 /04 /Avr 12:52

Je serai votre amant

Je ne sais pas comment
Vous dire que j'attends
De vos envies l'instant
Qui me rendra tentant
Qui me fera subir
Vos envies de désir
Rendant mon avenir
Coupable de mourir

Si je pouvais choisir
D'être votre avenir
J'aimerais m'endormir
Et à vous obéir
Je serais votre amant
Celui qui tout le temps
Fera de son serment
Le complice des ans

Si j'avais pu,vous,être
Je vivrais de mon être
Je laisserais paraître
Mes charmes sans en être
Mais vous feriez de moi
Votre esclave d'émois
Pour votre bel aura
Je serais toujours là

Osez prendre de moi
Ce qui vous unira
Je serais demain là
Si vous suivez mes pas
Je donnerais ma vie
À toutes vos envies
En secret et sans bruit
Jusqu'au bout de nos nuits
Par tiwi - Publié dans : poême
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Mercredi 7 janvier 3 07 /01 /Jan 08:10

 

Bonjour mon fantôme.

Une autre lettre qui ne viendra pas à tes oreilles mais dont j’ai plaisir à écrire. Ecrire des mots, une suite de phrases d’un bout à l’autre, une signification qui veut dire amour. Amour, toujours et encore. Encore de toi mon fantôme qui disait ne pas vouloir rompre le silence et garder une amitié tendre entre nos deux liens. Un mois, aujourd’hui que je n’ai pas de tes nouvelles.

Tu es mon fantôme, le fantôme de mes nuits, de mes débuts de journées, de mes fins de soirées.

Le matin, j’aime garder mes yeux clos et venir en pensée au bord de ton lit. Tu es déjà réveillé mais tu gardes encore cette position couché quelques minutes. Tu penses à elle, tu souris dans ton demi -sommeil. Elle, je n’ai pas de nom à mettre dans ma mémoire ou que des suggestions. L’amitié, pour moi est une chose importante, l’amitié permet de confier son bonheur, sa  tristesse, ses joies à son amie. Ce n’est pas ton cas. Tu es mystérieux, encore et tu  le seras toujours.  Peut-être très libéré avec d’autres amies, mais en ce qui nous concerne, tu as déjà  tourné la page. Dommage, j’aurai aimé rester près de toi, tu le sais et ce n’était pas le dialogue de – plus rien à faire de toi – que tu tenais le 8 décembre dernier. J’y crois encore qu’un jour tu auras encore besoin de me parler et qu’alors en moi, tu retrouve une amie qui ne t’aura pas oublié.

Tu es mon fantôme et apparemment je ne suis pas toujours sûr de bien comprendre comment il fonctionne mon tendre amour fantasmagorique.

Je suis à genoux devant toi et te caresse la joue. Un dernier tendre bisou  sur ton front, tu souris, tu as senti mes lèvres. Je repars sur la pointe des pieds, tu te lève et  te dirige sous ta douche.

Je reste encore un peu et fais la voyeuriste.  J’aime ce corps, ton torse harmonieux, j’aime  tes cuisses presque encore d’ados, ton nombril. Tes épaules avec ces quelques petits poils qui en recouvrent. Tes  fesses fines et nues. Je t’aime en entier.

Retour dans mon pays, ma maison ; l’avantage des rêves, des fantasmes est que l’on quitte son corps corporelle pour aller où l’envie nous mènent ;  je sens ta présence au fond de mon cœur. En fermant les yeux, je me remémore encore ton sourire câlin.

La nuit dernière, encore, tu étais comme d’habitude dans mes songes. Je te caresse le visage, tu me fixe de ton regard… lointain. Il y tant de choses qui se cachent derrière tes yeux, tes lunettes. Tes lèvres se pincent de temps en temps, tes pensées en disent long, pourtant tu es toujours aussi tendre.

Tantôt,  je lis dans ton âme : J’ai envie de toi !  Tantôt…. Tu es vieille et pas jolie… Puis rebelote pour de tendre câlins, des mots tendres.

Je ferme les yeux et savoure cette infinie  tendresse. Mes doigts s’écartent en caressant cette toison soyeuse sur ton torse, tes petits tétons dressés puis je descends ma main au niveau de ton nombril. Tu me vois venir et tes yeux se ferment. Tu apprécie ce moment caresse, ce moment tout en silence, ces instants de bonheur qui te font frémir. Au fond de toi, tu es séparé par l’amour de cette nouvelle conquête, merveilleuse, jeune et belle mais platonique et mon amour, pur, franc, réelle. Celui qui n’a pas de frontière, pas de barrière au physique, aux obligations.

Doucement, tu  t’installe sur le dos et me caresse, la nuque. Un genre d’invitation. Invitation au plaisir, invitation à te goûter, invitation  à  ce que j’aime le plus, dont je raffole et tu le sais.

Je suis en extase devant ce membre qui appelle ma bouche.

 

Je passe ma main sur cette tige déjà dur et excitée. Ma langue traine longuement sur tes boules que je happe l’une à l’autre, je la fais rouler dans ma bouche avec ma langue avant de la refaire sortir, puis ma langue titille la base  en remontant doucement jusqu’à ton gland, humide. Je commence à l’engloutir doucement, centimètre par centimètre.

Je sens tout ton corps s’apaiser, tu es avec moi dans tes pensées et tu profite de cet instant agréable. Les soucis, les doutes, le programme du lendemain ; tout…. Tout…. S’envolent !

Ton souffle devenant plus fort, je serre davantage ton membre entre mes doigts et active le mouvement. Quelques longs jets remplissent  ma bouche. Je laisse couler des petites gouttes sur ton membre et te reprend doucement, le temps qu’elle s’apaise. Je remonte t’embrasser en continuant à masser ton chypre, délicatement avec  le peu d’enduit qui me reste. Tu retrouve peu à peu ta respiration, me caresse les cheveux, le haut de mon corps.

D’un seul coup, la main dans la main, nous nous retrouvons sur un magnifique pont. Comme il est facile dans les rêves de se déplacer en restant  enlacé ou  accroché main dans la main. Tes doigts sont super chaud, ton visage est rieur. Pour quelques heures, j’ai retrouvé un amant à la place de mon fantôme.

On regarde dans la même direction. Un couple de cygne au loin, des canards qui s’amusent entre eux, des enfants au bord de l’eau lancent du pain dans l’eau. Des amoureux sur un banc s’embrassent tendrement, pour eux, ils sont seuls au monde, ils entendent juste leur cœur battre la chamade.

Ma paume appuyée contre la rambarde de sécurité, tu passe tes doigts sur le revers de ma main. Tu me regarde tendrement et m’embrasse. Ta langue n’en finit pas de me tourner autour. De temps en temps, c’est moi qui prends la tienne et la suce doucement. Nos lèvres ont la peine à se séparer. Le pont n’est pas très grand mais il nous aura fallu une bonne demi-heure pour la traversé, tant nous échangeons nos baisers.

Puis ton moment humour te revient, rieur, avec pleins de gags différents. Tu déborde de joie, à croire que c’est un jour comme un autre, que nous avons toujours été ensemble. Comme j’aime ces moments de toi.

A l’orée du bois, appuyé sur un immense rocher, je profite encore de tes lèvres. Il n’y a plus personne dans le parc et les alentours, la pluie s’est mise à tomber de plus belle. On se retrouve seul.

Tes yeux me regardent encore en silence ; j’ai envie de toi, là, tout de suite. Tu m’attire contre toi et me déboutonne mon chemisier afin de libérer un sein. Ta langue titille mon téton, je passe ma main dans le bas de ton pantalon. Puis je m’agenouille vers toi. Tu es un peu surpris mais me laisse faire.

Je ne vais pas te faire languir ; dès que ton sexe est sorti de sa prison en coton, je la prends dans ma bouche et  finis de le durcir. Tu passe ta main dans mes cheveux, me caresse la nuque.

C’est trop bon.

Au moment, où je te sens venir, je lève ma jupe et vient m’agripper à ton membre qui rentre dans ma chatte en un seul coup ;  je suis si humide, plus besoin de préliminaire ou de caresses.

Tes mains sont passées entre ma jupe et mes fesses que tu serres tendrement.

Toujours appuyé contre ce beau rocher de trois mètres de hauteur, qui permet une infime intimité au voyeur éventuel, tu balance ton fessier d’avant en arrière. Tu me lèche le sein que tu as sorti juste avant et me chuchote timidement :

                                                    Te quiero de toda mi alma, de todo mi corazón

Mon tendre amour  que j’aime entendre ta voix. Elle est chaude est tellement sensuelle.

J’écarte davantage mes cuisses, ton membre profite de pénétrer davantage en moi. Je ruisselle de plaisir. Encore, encore. Je vais jouir. Tes yeux sont fermés et ton visage se crispent de plaisir, tes lèvres s’étirent, tu gémis si fort …. Si un visiteur s’aventurait sur l’allée sablonneuse qui mène  à cette petite forêt tranquille, il ferait très vite demi- tour, comprenant ce qui se passe.

Tu me serre contre toi, tes coups de reins sont plus forts, plus distinct, ton membre a doublé de volume en moi et cogne sur tout les recoins. Je m’agrippe à ton dos et dans un long soupir, nous jouissons ensemble. Je sens mes cuisses s’inonder par ton sperme. Des rigoles coulent en bas de mes genoux.

Je m’éclate de rire et tu comprends le pourquoi de mon sourire ;  un tendre bisou rapide et je m’éloigne de toi pour atteindre la petite plage, en contrebas, qui va me permettre de me rincer  rapidement avant de te rejoindre.

Mais déjà le réveil a fait son apparition et ton image s’éloigne. J’ai beau allonger la main pour que tu me rattrape, mais tu t’en va. Lequel à sonné en premier ? Le tien ou le mien ? Je  sens mon ventre, mes cuisses collantes. Un rapide bisou en ta direction et je vais rejoindre ma douche tout sourire; j’ai passé une excellente nuit. Je t’embrasse encore dans mes pensées. Des bisous qui ne s’arrêtent pas à la frontière.

 

Par tiwi - Publié dans : histoire érotique
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Jeudi 18 décembre 4 18 /12 /Déc 17:39

Avec tout mon amour et ma sincérité
Je te souhaite un très joyeux Noël !
Tu es l’homme que j’ai toujours rêvé
C’est pour cela que je ne pourrais jamais t’oublier

Tu es sans cesse dans mes pensées
Parfois même aux endroits les plus intimes
M’imaginant alors dans tes bras enlacés
Tu ferais de moi ton amour, ta victime

En toi, j’ai déposé toute ma tendresse
J’aimerais  que tu puisses rester dans ma vie
Echangé pleins de baisers  et nuits d’ivresses
Etre prêt de toi pour m’entendre te dire :  je t’aime à la folie

Par tiwi - Publié dans : poême
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