Dimanche 31 mai
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16:50
J'ai toujours aimé écrire, depuis mon plus jeune âge. Ados, je dépensais mon argent de poche à écrire à des correspondants, tes, de divers pays. la Belgique, l'Allemagne, la France évidemment, le
Canada, l'Espagne, l'Italie. C'était le bon temps. Je suis tombée sur un petit livret où s'est trouvé pleins d'images de pleins de correspondants, tes.
J'avais perdue une amie dont l'échangé était régulière et longtemps. Où l'a repêché ? Je suis allée par hasard tapé son adresse sur Facebook, sans illusion, le monde est grand.
Aujourd'hui, vers les 14 heures, je voyais sa réponse sur mon PC. Oh que je suis contente, je suis toute émue.
Je me réjouis de notre prochain échange, nous aurons bien des choses à nous dire, c'est super génial.
Du coup, j'ai fait le même chemin avec deux amis dont on échangeais beaucoup de poême, d'écrit tendre et adorable.
Ma fille a pris le cahier de poême que m'a écrit Franck un jour, je ne sais pas si je remettrais la main dessus, car elle n'a aucune idée de son rangement. Qui sait, peut-être que lui aussi
me fera un coucou. J'adorais.
Merci à Facebook de cette belle idée de se retrouver les uns et les autres, juste en citant un nom... Evidemment, pour autant qu'il soit inscris et qu'en cliquant sur les détails, ça ne met
pas........ pas :
XXXX ne partage que certaines informations avec tout le monde.
Pour en savoir plus sur XXXXXXX et en fait il n'a aucune infos qu'il partage HIHI mais,
que l'on sent que c'est lui.
Bref
Je me réjouis de vous parler davantage peut être sur mes recherches, dans quelques temps.
Il y a un poême qu'il avait écrit ( un des deux et que j'ai gardé dans l'ablum des photos )
Le bonheur
Le bonheur ? Je l'ai lu
Une fois dans la rue
Timidement, je l'ai approché
Mais à peine, je l'ai frôlé
Qu'aussitôt, il s'est envolé
Dites-moi si vous l'avez rencontré
Pour qui le soleil brille
Pourquoi m'a t’il fuit
Ce bonheur si fugitif
Qui tendrement soigne les anges en peine
Et les cœurs qui saignent
Le sang qui coule dans mes veines
N'est il pas assez rouge pour un vrai bonheur
Tristement mon cœur s'éteint
Trop de haine et de chagrin.
- Merci Willy, il était magnifique ce poême - si tu te reconnais, viens me faire un coucou...
