C'est un magnifique message dédié a sa femme que j'ai trouvé sur le site et dont j'avais trop envie de le publier . Je ne peux pas atteindre ce monsieur, n'ayant pas laissé d'adresse à
quelque part, j'espère qu'il ne m'en voudra pas de l'avoir publier chez moi.
Dans ce texte, il montre tout l'amour qu'il ressent pour sa belle épouse et pense déjà à sa super soirée remplie de tendresse et de câlin; vous me connaissez..... j'aime ce genre de mot. Il me
manque depuis que je n'ai plus de contact avec - lui - et de lire ce genre de texte...... comme j'adore
Je me nomme Gérard, 45 ans, brun un peu grisonnant, 1,78m 76 kg, sportif.Contrairement à ce que certains pisse-froid disent ou pensent, la masturbation n’a jamais fait de mal à personne.
Je me masturbe quasi quotidiennement depuis ma puberté et ne m’en porte pas plus mal.
Ça ne m’empêche pas d’honorer mon épouse chérie depuis vingt-deux ans plusieurs fois par semaine en temps ordinaire, tous les jours et parfois plusieurs fois en temps de vacances.
Ce matin, après avoir dégusté quelques confessions sur mon site préféré, je bandais comme un cerf, si tant est que les cerfs bandent aussi fort. Si c’est le cas, elles ont bien de la chance, les
biches.
L’envie m’est venue de me raser complètement le pubis, les bourses et jusqu’à l’anus. Vite à poil, la queue bien raide et direction la salle de bain. D’abord la tondeuse pour débroussailler une
toison qui n’avait pas été entretenue depuis plusieurs mois, en effet je me « coiffe » fréquemment mais depuis quelque temps aucun ciseau ni tondeuse ne s’était approché de cet endroit.
Vite la mousse, en abondance, une lame neuve et en route, bien partout, traquant le moindre poil, contorsions, tirant bien la peau pour éviter les coupures, songeant déjà aux douces tortures que
me vaudront ces passages répétés dans les heures et les jours qui viennent.
Aïe ! Une petite coupure, juste à la base de la verge, dans le repli en bas du ventre ! Bah ! Comme ça au moins je suis sûr de penser toute la journée à ce soir, quand ma femme
découvrira le cadeau.
Voilà, tout est lisse, un peu d’après-rasage… Aïe ! ça pique, surtout à l’endroit de la coupure, mais c’est tellement bon, la vigueur de mon érection s’en trouve accrue, ça me fait mal
tellement ma bite est dure.
Bon, ce n’est pas tout mais il va falloir calmer un peu le feu avec beaucoup de crème. C’est doux, ma main complètement enduite de crème va-et-vient de l’anus au bout de ma verge. Oui, oui, c’est
bon !
Mes doigts glissent jusqu’à mon anus, mon index bien lubrifié par la crème entre comme chez lui, mon anneau, habitué au traitement, se détend. Ce sont bientôt deux doigts, puis trois, qui vont et
viennent. Ma tête est en appui contre le mur, je vois mes doigts s’agiter dans la glace du mur opposé. De mon autre main je me caresse les testicules, je me branle de mouvements amples en
décalottant bien à fond.
Je pense à ma femme, à sa surprise ce soir quand je m’étendrai tout nu sur le lit et qu’elle découvrira ce sexe nu comme celui d’un bébé, car c’est vrai, je suis fier de mon boulot, pas un poil
n’a échappé au rasoir. Je sais, je suis sûr qu’elle va aimer, elle-même est presque entièrement rasée, seule une petite touffe très mince souligne sa douce fente que j’aime tant embrasser,
caresser, mordiller, lécher.
Mets-toi en levrette, chérie, que je puisse embrasser ton cul. Tends bien les fesses, sens-tu ma langue s’insinuer dans ton petit trou ?
Tu aimes ça, hein, ma petite salope !
Mon pouce lui caresse le clito, vient s’humecter à sa source. Tu gémis… c’est bon !
Je suis allongé sur le dos, la bouche sur ton sexe, je vois tes petits seins qui se balancent au rythme de mes baisers, tu me cries que tu montes, tu montes, encore, encore, enco, enco, enc…
Ouiiiii ! Tu jouis, je suis heureux, je suis fier de t’avoir amenée à jouir si fort et je reste blotti contre toi, la tête serrée entre tes douces cuisses à l’unisson de tes derniers
soubresauts.
C’est toi qui bouges la première, tu écartes les cuisses pour me libérer et tu m’attires vers toi. Je rampe. Au passage je goûte ton nombril et la longue cicatrice que t’a value la naissance par
césarienne de notre fils. Elle est restée sensible et je sais que tu apprécies que je l’embrasse longuement.
C’est maintenant ton nombril qui est l’objet de tous mes soins, puis tes petits seins : je les mordille, ils sont doux, la petite fraise durcit. Je puise à ta source un peu de cyprine et
enduis tes seins de ton jus. Je les lèche, tu gémis, tu te presses contre moi et les mouvements de ton bassin m’invitent à remonter encore.
Voilà, je suis contre ta bouche, nos langues se mêlent, s’aspirent. Notre baiser n’en finit plus. Ton bassin s’agite de plus en plus vite, tu veux que je vienne en toi mais je ne suis pas pressé,
j’ai envie d’autre chose.
Tu me devines, tu me connais bien. C’est à ton tour de ramper, tu descends en suivant le même chemin que j’ai suivi quelques minutes plus tôt, mais à l’envers. Tu sais que moi aussi j’apprécie
les bisous sur les seins.
Enfin tu arrives au but de ta reptation à rebrousse-poil, tes mains sont des hélices de bateau, ton doigt effleure ma rondelle, tu masses doucement mes bourses, c’est trop bon ! Ta langue
entre à son tour en action, suivant la grosse veine de haut en bas, s’enroule autour de mes bourses lisses comme celles d’un gamin. Tu aspires mon gland, j’ai du mal à me retenir, je sens que je
vais éjaculer et tu t’en aperçois, alors tu me presses la base de la bite et reprends ta reptation dans l’autre sens.
Nous revoilà bouche contre bouche, tu sens bon l’amour.
Ton bassin a repris ses invitations, ta main toujours serrée autour de mon vit m’attire vers ton entrejambe. Tu es tellement mouillée que ma queue se noie (heureusement que ce n’est pas par là
que l’on respire) ! J’entre dans l’absolue douceur, tu resserres tes jambes pour bien me sentir, je vais et viens doucement, d’abord bien à fond, je ressors et entre plusieurs fois, affolant
ton envie de jouissance.
Je te retourne sur le ventre, tes fesses se tendent, elles savent ce qui les attend. Je t’écarte les jambes, te pénètre puis resserre tes jambes. Je suis à califourchon, bien serré ton petit cul
(oui je sais tu n’aimes pas que j’en parle comme ça, tu dis toujours que tu n’as pas de fesses, mais moi je l’aime ton cul). Ton petit cul, donc, s’agite, ma bite est dans ta chatte et en même
temps elle se fait masser par tes fesses. C’est divin, je ne bouge plus, c’est toi qui m’aspires, moi je te survole, appuyé sur mes poings, les bras tendus, la bite en avant.
Je te vois t’agiter : tu cherches la jouissance. Vite ! Plus vite ! Je devine à tes soubresauts que ça ne saurait tarder ; il est temps, moi non plus je n’en peux plus, je
n’en peux plus, j’atteins le seuil de non-retour, je me déchaîne… Je jouis chérie, je jouis, je t’aime.
J’ouvre les yeux, j’ai du sperme plein la main. J’ai joui, je me lèche, jamais je n’étais allé jusque-là, comme bien des hommes qui rêvent de voir leur partenaire avaler leur semence - c’est une
autre histoire quand il s’agit d’avaler ce liquide visqueux, légèrement salé.
Vivement ce soir !