Jeudi 7 août 4 07 /08 /Août 21:14



Tu me manques

Quand un événement heureux se passe dans ma vie, c'est avec toi que j'ai envie de le partager.

Tu me manques
Quand un événement triste touche mon cœur,  tu es le seul qui puisse me comprendre si bien.

Tu me manques
Quand je ris,  tu es celui avec qui j’ai envie de partagé mon sourire

 Tu me manques
Quand je pleure, tu es celui qui  fait disparaitre mes larmes

Tu me manques
Quand je suis seule devant mon pc et que je pense à nos soirées que nous passions jadis

Tu me manques
Quand je pense à tous les merveilleux moments ensemble, nos rencontres tendre qui ne se r
épétera plus

Tu me manques
Tu ne seras pas là pour lire ce message qui t’es destiné

Tu me manques
Tu es si loin à présent et suis sûre que je ne suis déjà plus dans tes pensées.

Finalement tu va me manquer à longueur de temps............... et je ne peux pas soigner cette douleur en moi, qui me pèse. Je ne peux pas combler ce manque……………

Par tiwi - Publié dans : poême
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Dimanche 6 juillet 7 06 /07 /Juil 19:35
Les valises sont bouclées, les enfants dans la voiture, le mari à côté du conducteur…. En route pour le sud et vive les vacances.

Tout le monde est joyeux. On s’arrête régulièrement sur les aires d’autoroutes, on fait connaissances avec d’autres vacanciers, la nuit est agréable, douce et pleine d’humour et de joie.
Je fais partie d’un groupe, sur un forum et je suis ravie de faire une pause sur ce site afin d’avoir le plaisir de retrouver certains à la rentrée et oublier d’autres.

L'homme que j'aime en secret a décidé de ne plus me revoir, la mer, le soleil, me fera du bien de tous ces déboires des derniers mois, même si je ne vais jamais l'oublier.

Au petit matin, après 8 heures de route, nous arrivons enfin devant la location. Un joli petit
Mas, bordé d’un jardinet. Devant cette jolie maisonnette, la route principale et un large ban de sable, la mer… Quel délice !
Mes enfants ne tiennent plus en place. Vite, on va chercher les clés chez le propriétaire, les enfants ouvrent la valise, prennent leurs maillots et départ avec le mari direction la plage.
Super. Je profite de faire le tour de la maison, défait les valises, nettoyer par ci par là, les alentours, fait les lits et enfin, je m’assoie un peu.
Le retour de la famille arrive en trombe. J’observe mon fils ; qu’il est devenu grand depuis la dernière fois que l’on s’est retrouvé sur cette plage… quant à ma fille; elle est devenue une belle et jolie jeune demoiselle. Ils parlaient en même temps de la plage, des vaques déferlantes d’aujourd’hui. Sur la plage, il y a encore peu de vacanciers et donc le plaisir de pouvoir profiter davantage de ses habitants, de sa culture.
Les enfants se prélassent sur la terrasse avec mon mari et je commence le repas. Durant leur sieste, je profiterai de faire les courses, il y a certainement un centre commercial dans les parages.


L’après midi défile rapidement et le soir, on part tous ensemble, marcher quelques heures dans la vieille ville et découvrir les boutiques pour le plaisir de ma fille.
Une fois rentré à notre habitation de vacances, mon mari dit être fatigué et se loge devant la télé. Mon fils, dans son lit révise un devoir comme d’habitude et ma fille chatte avec son appareil mobile.

Je suis seule, je n’ai pas envie de regarder la télé, donc, je mets un string, un top et un pant court, mes espadrilles. Une seconde devant le miroir pour arranger mes cheveux et départ à l’aventure sur la plage.

J’adore marcher quelques kilomètres, les pieds dans l’eau et si personne est sur la plage, je me risquerais une petite trempette. Il n’est pas encore si tard dans la nuit et la plage est animée par de la musique, par un groupe jouant au volley. Plus je m’éloigne des locations et moins il y a de monde se pavanant sur la plage. Enfin, seule. Seule pour faire le point, pour réfléchir à cette demi-année qui vient de se défiler, à l’avenir, à ma famille.
Je me couche sur le sable et passe ma main dans le sable pour faire défiler entre mes doigts une rivière fine de sablons.
Un couple me dépasse, ils sont heureux et c’est admirable de les voir. Leur regard coquin, avec tellement de promesses dans leurs pensées. Ils se tournent vers moi et me sourient en me souhaitant le bonsoir.
Le silence revient. Ma tête posée sur le ban de sable, mes yeux dirigés vers le ciel, je peux apercevoir les étoiles qui brillent. J’essaie de m’imaginer qu’ils essaient de me dire un message, me sourient. Je me sens bien. Mes pensées sont loin de la maison, de me préoccupations.

Et puis j’entends tousser derrière moi. Je me relève presque brutalement. Je retourne ma tête dans la direction de cette agitation. Il est d'apprence jeune et s’est assied sur la coque d’un bateau. Pensif. Soudain, son visage est éclairé par un véhicule qui passe sur la route proche. Je me sens prise au dépourvu, mon imagination continue à me jouer des tours….. Mon fantasme de le revoir ici, il y a pas de raison, il lui ressemble. Il ne peut être lui,… je suis loin de chez moi, loin de mes activités, sur le site ou je passe une partie de mes soirées, je n’ai pas précisé l’endroit de mes vacances….Mon regard se retourne une nouvelle fois en sa direction, il lui ressemble tellement.

Je me remets dans la direction inverse afin de rejoindre mon bungalow, je presse le pas. J’ai hâte de rejoindre mon lit. L’heure suivante, après être passée sous la douche, le restant de la famille dormait paisiblement, je rejoignis mon lit.
Je revois ce visage, sur la plage qui me sourit innocemment. Ce n’était pas lui…. Dans cette ville et les alentours, je ne pouvais pas tomber sur cette personne qui me faisait vibrer encore et encore depuis des mois, alors que le nombre d’habitants est tout simplement renversant, sans pour autant s’être consulté avant. Le sommeil ne venait pas et le matin fut long à venir.

Le matin fut très occupé par le programme de la semaine, que je consultais avec toute la famille, concernant les divers musées, parc aquatiques ou diverses animations pour touristes à visiter.
Durant les deux jours qui suivirent, je ne suis pas retournée à la plage, le soir. Je ne voulais pas savoir. D’abord, il n’y avait aucune raison.

Mais voilà, il n’y avait aucune raison, donc le soir, je suis repartie en cette direction, seule.
Il n’y avait personne et tard dans la soirée, je me suis déshabillée, suis restée en string et suis allée piquer une tête dans l’eau. Le soir, ainsi, à l’aveuglette….. Quelle était bonne !
Je ne sais pas combien de temps, je suis restée dans l’eau mais à ma sortie, il était là. Dans la même position que l'autre soir.

Je voulais avoir le cœur net, donc je suis restée et me suis assise sur mon linge. Après tout, c’est moi qui suis venue squatter ce bout de ban de sable en premier.

Au bout d’un quart d’heure, j’ai entendu ces pas fouler le sol et il est venu me rejoindre.
Je ne le regardais pas, je l’ai laissé s’installer auprès de moi et on a commencé à bavarder. J’adore toujours autant son  accent. Avec * lui *, c’est la première chose qui me faisait craquer.
Puis, je me risquais de regarder en sa direction. On avait parlé de ses amis, de ses activités sportives. C’est lui ! Je ne peux pas expliquer…. Mon corps vibre de partout. Il ne voit pas mon visage mais me voit trembler et me demande si j’ai froid.
Non, mais je vais m’habiller quand même. Je lui réponds encore assez calmement.
Pour moi, vous pouvez restez ainsi me répondit il.

Tu m’étonnes ! Coquin comme il est…… Mais au bout d’une bonne demi heure, il insiste pour découvrir mon visage qui est resté dans la nuit. Il va me reconnaître au premier coup d'oeil. On ne s'est pas vu durant quelques mois, mais je n'ai pas changé autant.Je me souviens alors qu’il est tard, et je me lève, prête à partir. Mais il me retient par le bras, son visage est tout près du miens. Je peux ressentir son souffle.

Mais…. c'est toi ! 

Je bredouille un… Désolée, tu es déçu ?

Il me tient toujours par le bras, s’est rapproché de moi, me regarde fixement. Le silence se fait lourd. Bon, tu me lâches à présent ? 

Il me tient toujours par le bras. Le haut de son corps me touche. Je baisse les yeux. Comme quelqu’un qui s’est fait prendre. J’ai plus envie de partir. J’ai envie qu’il me prenne dans ses bras.

Soudain, je sens ces lèvres me plaquer contre les miennes. Mes bras l’entourent derrière la nuque. Je suis toujours en string et en top. Son corps collé contre moi, il me serre et me caresse le bas du dos.

Enfin, je me dégage de son étreinte. On se regarde longuement. Il me complimente sur mon physique, qui a beaucoup changé. C'est nulle, je bois ces paroles; je savais que je l'aimais encore et ceci pour toujours. Je ne peux pas l'oublier.   De caresses en caresses, je me retrouve sur le sol, son corps appuyé contre moi, les heures défilent sans que je m’en aperçoive.
Il est tôt le matin, ou très tard dans la nuit, quand je décide de lui dire au revoir.
Encore un baiser tendre et nos mains se séparent, chacun dans la direction opposée.

Le lendemain et le surlendemain, nouveau rendez vous où l’on s’arrête aux caresses. Mais le jour suivant, fin des hostilités, on passe à plus sérieux.

Lors de notre rencontre, une nouvelle fois, après ses baisers tendres, je sens une bosse se former et très vite, on se déshabille pour se retrouver nus et sauter dans l’eau.
L’eau est toujours aussi tiède en fin de soirée, pas de difficulté à y rentrer. Il me serre dans ses bras, frotte son sexe contre mon pubis et là, je devine qu’il n’en restera pas là.
J’écarte un peu mes cuisses, afin de le laisser le libre passage. Son sexe, gonflant pénètre en moi. Ma tête, en arrière, mon buste avancé devant lui, je me cambre et me laisse aller dans ses va et vient réguliers.

Le bruit des vagues autour de nos corps, la ville illuminée face à nous, l’étreinte de nos deux corps. Il gémit de plus en plus fort et suis hyper excitée de l’entendre, là ; au milieu de la méditerranée. C’était plus que ce que je ne pouvais espérer.

La dernière semaine passait très vite. Les visites en familles durant son absence en journée, les divers repas pris en communs, les tâches ménagères et le soir ballade nocturne sans le mari qui dormait paisiblement devant la télé comme à sa coutume.

Les étreintes dans l’eau, en levrette sur le sable ; ses caresses et ses baisers répétés. Les vacances étaient merveilleusement bien organisées cette année.

Lorsque le dernier jour arriva, c’est avec la gorge nouée qu’on se dit au revoir. Encore une fois !

De * lui *, je n’en parlerai pas. Il restera dans mon jardin secret. Mon fantasme depuis des mois, réalisé…. Je tourne la page pour ne garder qu’un merveilleux souvenir de là-bas, dans le sud.

Par tiwi - Publié dans : histoire érotique
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Dimanche 6 juillet 7 06 /07 /Juil 19:10

Enfin arrivé dans notre appartement de vacances.

Valises défaites, Mathieu décidait d’aller faire un tour dans ce qui serait notre royaume ensoleillé durant 2 semaines. Mathieu, un ami et collègue de longue date avec lequel je décidai de partir faire une pause aux îles canaries ce mois de juillet. C’est un homme merveilleux, plein de délicatesses, charmant et dont je ne m’inquièterai nullement de ses mains baladeuses, n’ayant une attirance sexuelle que pour les hommes. Mais comme ami, il était le meilleur.


Après son départ, je décidais de prendre une bonne douche puis étant au beau milieu de l’après midi, passerais quelques heures sur le balcon de cet appartement très ensoleillé.

Sortie de la salle de bain, je traversais les pièces, nue, rejoindre ma chambre à coucher pour m’habiller.
Décidément, il faisait trop chaud, j’attrapais un paréo d’une main, enveloppa mon corps humide et alla rejoindre cette terrasse accueillante.

Mathieu avait déjà installé une chemise au dos d’une chaise longue ainsi qu’un linge.

Apparemment il était passé lorsque j’étais sous ma douche et il était reparti.

Je montais sur cette chaise, et me laissais dorer quelques minutes par ces rayons de chaleur agréable, afin de faire sécher mon corps que je n’avais pas pris la précaution de le sécher tout à l’heure. Mmm ce soleil…… Ces doux rayons qui me caressaient chaque parcelle de mon épiderme.




A moi, les vacances, le farniente durant deux semaines, la plage et les beaux mâles. …

J’abaissais le dossier, installa un linge et m’allongeais pour une douce sieste. Mon corps enduit de crème solaire, mes yeux ne mis pas longtemps avant de se fermés doucement.
Mon corps tout entier s’assoupit. Plus un bruit dans ma tête, même pas le grillon que j’entendais tout à l’heure.

Enfin, j’entendis le bruit du voisin. Notre terrasse ayant une séparation sommaire entre nos deux appartements. Apparemment, il ou elle venait d’arriver. Une seule paire de pas, ce qui me confirmait qu’il ou elle était seul. Allant et venant, il devait défaire sa valise également. Puis du rangement sur la terrasse, la chaise qu’il tire. Enfin, silence.

Je ne sais pas combien de temps, j’étais là, sur mon fauteuil d’été,…. mais une ombre se trouvait à la hauteur de mes yeux. Je n’avais pas envie d’ouvrir mes yeux, car je sentais encore cette douce chaleur me traverser le paréo.

Soudain, je sentis de délicates lèvres se poser sur mon cou, mes épaules. Sa main me caressait les épaules. MM que c’était bon. L’odeur envoûtante et sensuelle de * égoïste * par Chanel me montait dans les narines ; les rayons de soleils me caressaient la peau, à moins que ce ne soit la paume de cette personne à mes côtés. Je me laissais volontairement ensorceler de ce mystère tout en rêvassant aux prochaines heures de mon séjour, rencontres, shopping, découvertes de l’île et de ses habitants.

Ce n’était pas Mathieu, mon ami de chambrée ; son parfum était * Paco Rabanne. *

Mon ombre était grand, musclé. Mes yeux toujours clos, je touchais ses bras. Il était à présent assis à côté de moi, sans y être invité. Je n’étais nullement effrayée car s’il me voulait du mal, il y à bien longtemps qu’il aurait manifesté sa violence.
Avec un sourire coquin, je reconnaissais aimé ce brin de contact, cette audace en lui ; sûrement le fameux voisin que je n’entendais plus derrière la paroi et qui aurait franchi la rambarde situé entre nos deux terrasses.
Son index fit le contour de mes lèvres, puis descendit le long de mon cou, suivit le bord de mon paréo puis sa main se glissa sous le tissu de soie.


L’autre main me caressa doucement la nuque et de ses doigts agiles délassa mon nœud qui retenait la mise en forme de ce carré de tissu permettant de cacher ma nudité.

Mes yeux toujours hermétiques à la lumière, je pouvais sentir son souffle, son visage s’était rapproché de mon buste. Le fichu de couleur vive cachant en partie ma poitrine volumineuse glissait doucement en direction de mon bas ventre.

Un trait humide et chaud partant de ma gorge allait dans la direction de mes seins. Sa langue contournait un téton puis l’autre en le mordillant délicatement.

Je me laissais faire par cet inconnu aux gestes si tendres et câlins. Il n’était plus question d’ouvrir les yeux. Mignon ….. Monstrueux…. Blond …. Jeune, vieux… ?

Je voulais savourer ce moment de plaisir. Mon excitation devenait à l’extrême. Je ne connaissais pas la personne qui me procurait ce délice charnel, mais ma libido était entrée en action. Entre mes cuisses, l’humidité s’était installée et mon clito me titillait une chaleur intense.

Je pinçais mes lèvres, il venait d’atteindre ma vulve et faisait pénétrer un doigt dans mon abricot. Je n’avais plus aucun tissu couvrant mon corps. Il était là, assis à côté de mes fesses, sans un mot et admirait ma peau encore si blanche, me caressait mon pubis et passait un doigt à l’intérieur de ma fente. Mes lèvres s’écartait à chacun de ses va et vient. Je sentis son excitation monter par son murmure continu et sensuel.


Je me risquais d’ouvrir un œil en regardant fixement devant moi. Ses lunettes noires cachait son regard, mais avait les yeux rivés sur mon visage apparemment car il me souriait.
Enfin, il s’approchait de mon visage et déposait ses lèvres sur les miennes. Sa langue força doucement le passage et chercha mon dard.

Ses larges épaules descendaient à la hauteur de ma poitrine, puis il se renversa face à mon corps. Je sentais son sexe humide. Il n’avait pas de boxer ou maillot de bain mais nu, comme moi en ce moment.

Il se blottit contre moi, son sexe raide sur mon pubis humide. Mes yeux fixaient ses lunettes, je n’apercevais toujours pas le contour de ses yeux. Sa peau douce contre mon corps m’excitait, plus encore en sentant son phallus me pénétrer en un seul coup de rein. Mes jambes se relevaient de chaque côté de ses cuisses.

Il était bien trop tard pour me poser la question si son sexe avait revêtu une protection.

Ses fesses ondulaient et ses bourses tapaient contre mon clito.
Il me serra fort et ses gestes rapides, presque brutaux me faisait crier, tant mon excitation grandissait en moi.
Il prit mes fesses entres ses mains, se mit en position sur les genoux et prenant appuis sur ces rotules prit davantage de puissance. Son sexe me pénétra loin. J’avais l’impression qu’il me touchait le nombril. Puis de plus en plus rapides, son va et vient s’accéléra encore. Nous finîmes par jouir ensemble dans un cri mélangé. Il s’affala sur mon corps, me couvrit de tendres baisers, me caressa le visage. A aucun moment, il n’enlevait son masque à soleil. Pas un instant d’identité, pas de voix.


La porte s’entrouvrit pour laisser passer Mathieu. Je tourne la tête pour juger à quelle hauteur de l’appartement il s’y trouve, mais déjà mon inconnu s’était levé et passait de l’autre côté de la terrasse.
Je me lève en prenant soin de reprendre mon carré de tissu au sol que je me couvrais immédiatement et me dirigeais vers la rambarde pour voir si je n’avais pas rêvé.

Il était là, tout sourire :

- Tu n’as pas rêvé princesse, je m’appelle Jérôme, pour te servir ; quand tu veux….

Il me prit la main, déposa un doux baiser. Il enleva ses lunettes et je pus découvrir ses magnifiques yeux verts. Ses cheveux noirs courts lui allaient à croquer. Je venais de faire l’amour avec le plus parfait don juan de mes rêves !

Il me tendit ensuite une main fermée. Interrogatrice, j’ouvris un doigt. Il avait répondu à ma question. Emprisonnée dans cette main se trouvait un préservatif plié à son extrémité. Un clin d’œil et il disparut en direction de sa douche.

Mathieu venait de me rejoindre.

- Tu n’es pas encore prête ? On sort manger et s’amuser ma belle.

Le soleil était presque couché. Il faisait encore un peu jour, par cette belle soirée d’été et mes jours de vacances paraissaient prometteurs…

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Qu'elle femme sublime que j'ai rencontrée hier .... Elle a redonné du pep à mon séjour qui avait bien mal commencé... Le soleil jouait avec les nuages depuis le début de mes vacances, mon ami d'enfance blessé n'avait pas pu se joindre à moi, et le moral était au plus bas. Cet ange est arrivé au bon moment.

Son parfum avait pénétrer dans mon appartement hier alors que je faisais une sieste crapuleuse.... Je n'ai pu m'empêcher de suivre cette odeur fruitée qui avait envahie mes narines... Arrivé sur le balcon, j'ai vu ce corps qui luisait sous les rayons de soleil ... l'envie de passer de l'autre côté du balcon n'a fait qu'un tour... et je n'ai pas à le regretter car ces moments ont été le début d'une grande découverte... celle d'une déesse de l'amour.


Le soleil commence à l'horizon et je ne cesse de penser à cette femme ... à son peignoir humide, à ses petits cris qu'elle soupirait aux creux de mes oreilles. L'excitation monta vite... Les formes de mon short de bain se trouvèrent très vite changés. Afin d'être à mon aise, je l’enlève délicatement. Mon sexe était déjà bien réceptif aux pensées de ses seins si doux. J'aurais tout fait pour pouvoir retourner la revoir dans la minute afin de reproduire la plus belle des symphonies corporelles mais cet homme était la: son homme, son amant, son frère... Je ne le savais pas encore. Je ne connaissais même pas son petit prénom. J'avais pris la peine de lui souffler le mien lors de notre rencontre charnelle. Dans ces moments très excitants, je ne saurais vous dire si elle l'a retenu.

Midi sonne à l'horloge et je décidais de sortir nu à mon balcon. Aucune vis à vis ... Seul le fait de me faire surprendre par cette belle inconnue me faisait fantasmer. Le soleil frappait déjà très fortement sur le balcon orienté plein sud..Les quelques rayons qui caressèrent mon pénis me donna un énorme frisson. Je me penchais au dessus de la rambarde afin d'admirer le paysage balnéaire. Je faisais quelques exercices de fessiers: je contractais l'une après l'autres mes deux fesses. J'ai adoré comment cette femme me les a caresser hier et j'ai vraiment envie qu'elle le recommence d'une façon encore plus intense.

Soudain en contre bas, je vois sortir cet homme, seul, qui partage l'appartement avec ma voisine, les clés de voitures à la main. L'espoir renaît sous la canicule de l'été.

Je tourne ma tête vers le balcon de la voisine mais ne voit rien. J'espère qu'elle manifestera sa joie de me revoir au plus tôt. Je ne tiens plus en place... que faire. je veux tellement la surprendre de nouveau. quand soudain on frappe à ma porte.

Qui est ce ? Pourvu que cela soit elle !

Par tiwi - Publié dans : histoire érotique
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Dimanche 6 juillet 7 06 /07 /Juil 18:33


J'arrive au pied de la porte et trouve posé au sol un papier qu'on avait fait glisser sous la porte d'entrée de l'appartement. J'ouvre la porte mais personne aux alentours.


Je déplie ce morceau de papier et commence à lire le message :

" Jérôme, j'ai craquer à passer ces doux moments en ta compagnie.. D'une personnalité réservée, je ne sais comment vous dire que j'aimerais vous revoir très bientôt. Mon ami est parti pour l'après midi faire de la planche à voile.

Surprenez moi encore ... Je vous embrasse ..."

Fou d'excitation je trouvais cette lettre très mignonne. Je remets mon short et me dirige d'un pas certain sur le balcon afin de regarder au dessus du mur si la fenêtre de madame se trouva entre ouverte. Ma joie fut immense quand je vis les rideaux flotter à l'intérieur de son appartement. Je me décidais à refaire surface sur son balcon et de pénétrer chez elle tel un chat aux pattes de velours.


Délicatement j'écarte les rideaux afin de ne pas me faire surprendre. Aucun bruit dans les parages. Seul un bruit sourd d'eau vint à mes oreilles. Le salon était désertique... puis j'arrive devant la chambre, le lit était défait et on pouvait entrevoir les formes du corps de ma déesse sur le couvre lit comme une sensuelle emprunte...Je vis un string noir qu'elle avait déposé au sol... Je m'accroupie pour le prendre de mes deux mains et l'amena jusqu'a mon visage, je ressenti son désir de la veille .... Que du bonheur!!!


Impatient de la retrouver, j'entendis du bruit dans la salle de bain, oui une douche ... elle se lavait sans doute... hum

La porte de la salle de bain était ouverte et je vis sa silhouette dénudée ... les filets d'eau épousèrent son corps de haut en bas. elle fit déposer tout d'abord sur son cou ... la tête en arrière, puis l'eau ruissela sur ses seins, son nombril, sa sublime chatte, ses cuisses afin de terminer sur ces excitants pieds.

Voyant une caméra sur la commode, je regardais discrètement si la batterie était chargée. La batterie était pleine, j'allumais la caméra et commençais à la filmer discrètement. je la contemplais ... elle était encore plus belle que la veille ; tout en la filmant se passer les mains sur son visage, je passais une main sous mon short avec l'envie de me caresser le sexe. Ses caresses sur ses seins m'excitèrent énormément... ses doigts passaient entre ses jambes et elle se doigta doucement... peut-être qu'elle pensait à moi ? Je ne saurais le dire mais je baissais mon short et passa la camera sur ma bite qui était dure comme de la roche. J'alternais entre la vision que j'avais d'elle nue .... Ses fesses toute humides et la vision qu'elle aurait de moi en train de me masturber devant elle. Cela m'excita encore plus... j'aurais tellement voulu la rejoindre mais il fallait la surprendre .... Alors j'ose espérer que de visionner la vidéo engendrera encore plus de passion charnelle envers moi... Je continuai à regarder son petit cul ... elle se baissa légèrement et vis sa fente toute charnue... j'avais envie de la lui manger... de passer ma langue sur son fruit ... hum, je me masturbai de plus en plus vite, la caméra tremblai de plus en plus... je finis par éjaculer sur un morceau de papier trouver près de la douche... mon sperme était tout chaud... mes tétons durcis par ce magnifique spectacle.. J'éteignis la caméra et la reposa près de moi.

Puis je pris un crayon et écrivais à côté de mon sperme un message :


" Voici le résultat du plus beau des points de vues au monde..... Regarde la vidéo que j'ai faite pour toi... Maintenant surprend moi .... J'ai hâte de ...."

Puis je retrouvais mon appart afin de me caresser tout comme elle sous ma douche en espérant une belle surprise

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Comme nous sommes rentés tard avec Mathieu cette nuit, nous avons profité de faire la grasse matinée et avons pris ensemble le petit déjeuner vers les onze heures, puis Mathieu décidait d’aller rejoindre quelques copains et faire de la planche.


A son départ, encore en déshabillé dentelle, je me décidais de prendre une douche rafraîchissant mais avant, étant seule cet après-midi, j’avais trop envie de le faire savoir à mon voisin, s’il s’y trouvait encore quelques heures à ne rien faire….


Je pris une feuille de papier A5, un stylo et je couchais ces quelques mots rapide.

Puis m’entourant un linge autour de mon buste, je sortais pour aller rejoindre la porte située à côté du mien. D’abord, en tendant l’oreille, il n’y avait aucun bruit, stupidement j’avais envie de croire qu’il était là et j’ai toqué à la lourde puis sans bruit, je glissais mon petit bout de papier sous la porte et allais rejoindre mon appartement de vacances.

Arrivé à la salle de bain, je faisais couler l’eau de ma douche tout en pensant à ce qui ce serait passé si mon voisin avait ouvert la porte.


Je me faisais l’idée de sa personne si attirante, un don juan,… peut-être qu’il avait une jolie blonde sous ses draps…ou alors en ballade…..

Je me sépare de mon linge et de ma fine lingerie pour me faufiler sous cette douce averse tiède. Je verse du savon liquide au creux de ma main et en la faisant bien mousser, je profite de l’étaler doucement sur tout mon corps. Je m’imagine qu’il partage avec moi cette agréable douche et que ses mains me parcourent entièrement. En commençant par le cou, la nuque. Il descendrait ses mains pour atteindre ma poitrine puis…. Oh lala, en visualisant la scène, j’ai les tétons durs. Je profite pour les pincées un peu et les caresser. Je sens une agréable chaleur à la hauteur de mon bas ventre et cette sensation me fait encore baisser mes mains à cette hauteur. Ma paume contre mon pubis, je fais des mouvements circulaires en appuyant le pouce sur mon abricot.
L’eau s’écoule doucement sur mon visage pendant que mes doigts pénètrent dans ma fente de plaisir.


Je pense seulement à cet instant que je n’ai pas refermé la porte à clé. Tant pis, normalement Mathieu aura retrouvé ses amis dont il m’a longuement parlé hier soir au repas. Il ne va pas revenir sur ces pas de sitôt, j’ai donc du temps devant moi.

Je ne pense qu’à ces billes de couleur verte qui me fixait hier sur son balcon. Mes doigts s’activent de plus en plus et une chaleur me coule le long de mes jambes. Je rince mon corps de toute cette mousse et de ce plaisir solitaire, puis je ferme les robinets, attrape ma serviette et sort de ma douche.


Arrivée à l’entrée de la salle qui servait de salon de télévision et salle à manger, je sentais encore son odeur me humer les narines. Je continuais à me sécher le corps quand mes yeux s’attardèrent sur ma petite caméra posée sur la table basse près d’un papier à l’apparence humide.
Je m’approchais, pris ce papier crémeux. L’encre noire se dispersait dû à l’humidité du traitement qu’on lui a fait subir…..


Je pus déchiffrer : " Vo résultat du plus ps beau des oints de vues au monde.....
Re…de .. vi.éo que j'ai faite pour toi... Mainten…..urprend moi .... J'ai hate de ...."


Je pris la caméra d’une main, en poussant le bouton * lecture * et avec le pouce de ma main gauche, je tâtais le bout de papier afin de me confirmer mon doute quant à la texture de cette humidité. Je souris, je ne l’avais pas entendue. Il excelle dans ses pas feutrés.
Une idée me traversa la tête. Il n’y aurait pas que lui qui allait se permettre de s’inviter ainsi comme un fantôme.


Je traversais la pièce encore nue, ouvris ma penderie, pris un tissu, m’enroula une nouvelle fois de mon linge, cette fois humide et quitta ma location pour aller rejoindre la porte du voisin. Doucement, à pas de féline, je m’approchais de l’entrée, appuya sur la poignée.

J’en étais sûre !

La porte s’ouvrit.
Me glissa à l’intérieur et commença à repérer les lieux.
Je n’ai pas eu besoin de visiter les pièces, les unes après les autres, j’entendais la douche couler….


Je poussais la porte du bout de mes doigts ; il était là, sous mes yeux. Le rideau transparent m’indiquait le contour de son corps. Doucement, je m’approchais avec mon foulard dans la main, le fit passer sous la protection de douche et colla mon fichu sur les yeux. Je le vis sourire en se dressant, mais il n’ouvrit pas la bouche.

J’écartais cette tenture plastifiée afin de me faire un passage ; je repartais pour une seconde douche……

Mes mains collées sur ses épaules, je commençais à le caresser tendrement en le scrutant le visage. Il restait là devant moi, sage mais quand mes yeux descendirent vers son bas ventre, j’ai remarqué aussitôt son membre qui me saluait des plus solennellement.
Ca me permettait de continuer dans ma lancée sans me poser trop de questions sur la bonne conduite que devrait avoir une personne comme moi.
Mes mains continuaient la traversée de son corps. Son thorax très peu poilu mais excitant, son nombril, son sexe dur et raide, ses bourses. Je m’attardais sur ce membre qui m’avait déjà donné tant de plaisir la veille et caressais ces fesses.

épaules. Je m’approchais de ce bâton, passais ma langue autour du gland puis l’humidifiait de tous son long. De temps en temps, je levais la tête et le vis pincer ses lèvres. Comme la veille, pas de mot, pas de bruit. Ses fesses se contractèrent au moment où je pris d’assaut ce phallus tant désiré.

Doucement, je le pris dans ma bouche et commençait à le sucer d’avant en arrière. En même temps, je continuais à lui caresser son petit cul rebondi. Un petit brin de massage entre deux, le sucer et le masturber des deux mains.
Ses mains descendaient vers mes épaules, me caressaient tendrement puis allai rejoindre la racine des cheveux qu’il m’empoigna doucement.
Le va et vient de ses belles fesses fermes s’activaient dans un rythme régulier, puis de plus en plus rapide.


- Arrête, je vais jouir, j’ai de la peine à me retenir….

Je sortis son sexe de ma bouche en continuant de le masturber, me releva à sa hauteur. Il avait toujours les yeux bandés. Je m’approchais de ses lèvres, l’embrassa tendrement.

- Laisse-moi te goûter jusqu’au bout, tu veux ?

Je redescendais au niveau de sa verge que j’engouffrais une nouvelle fois dans ma bouche.


Le râle avait remplacé son gémissement de tout à l’heure, il me pressait les épaules, son sexe était énorme dans ma bouche, prêt à toucher le fond de ma gorge.
L’abondance et la chaleur de son sperme me surprirent.

Je me relève, avala une gorgée d’eau sous la pomme d’eau que je recrachais au fond de la baignoire, histoire de rincé ma bouche, puis nos lèvres se joignaient pour un long baiser tendre. Dans le même temps, je détachais ce carré de soie qui obstruait sa vue.

- Bonjour, toi ! Dis, j’en lui souriant.


Il m’embrassa tendrement et on sortit tous les deux de la salle d’eau.

Enveloppé tous les deux de notre drap de bain, on s’installe sur la terrasse, puis du bout de nos doigts caressent le contour de nos visage.

Enfin quelques minutes plus tard, on décide de sortir et profiter de la plage.

- J’ai découverts hier en allant me balader, une magnifique crique, un peu isolé sur la plage, tu veux que je te la montre ? Lui dis-je coquinement.

- Oui, je n’ai pas eu le temps de faire le tour, dû au caprice du temps et seul, mon ami m’a lâché au dernier moment.

Aussitôt dit, aussitôt fait, je disparus dans ma chambre prendre un autre linge, un maillot deux pièce, ma crème solaire, des fruits, une eau non gazeuse et au moment d’ouvrir la porte, Jérôme était déjà sur le palier, à m’attendre.


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Je l'attendais avec impatience, ma serviette de bain sur moi et mon maillot de bain dans les mains.

Je l'a vis sortir de son appartement avec sur elle un merveilleux bikini qui mettait en valeur toutes les parties de son corps.

Sur la route de la plage, je lui demandais si le naturisme ne la dérangeait pas. Elle me répondit que, bien au contraire, elle désirait faire disparaître ses multiples traces de t-shirts, maillots, string...
Direction donc ma plage de sable fin préféré avec beaucoup d'enthousiasme. Après un petit quart d'heure de marche à pied, nous sommes arrivés sur le cric. Aucun voisin dans les parages. Elle fit tomber son bikini en moins de deux secondes. Waouh, quel corps!!!

Je rêvais de la caresser et de la lécher. Je l'ai prise en photo, son corps se mariait idéalement à la beauté du paysage.


Soudain je sentis un début d'érection, je couraisme refroidir dans l'eau. Elle me rejoint rapidement dans l'eau en faisant un plongeon digne d'une sirène.
Nous avons joué en nous collant l'un à l'autre. Les frottements de son corps ne faisait qu'augmenter ma trique à tel point qu'elle le remarqua une seconde plus tard. Elle prit soudain l'initiative de me caresser le pénis avec douceur. Le contact de mon gland avec l'eau fut agréable et sa main touchant mon gland , puis mes testicules, me rendit fou.
On recommença à jouer comme des petits fous avec cette eau si claire et pure.

De retour sur la plage, le vent nous poussa à nous réfugier dans les petites dunes. Elle me demanda de lui passer de la crème. Cette séance me permit de la peloter le plus hypocritement du monde. Mon ami ne me manquait plus d'une miette. Son dos était une invitation à la caresse et son cul était enduit de crème.
J'avais la gorge déjà nouée lorsqu’elle m'a demandé de lui faire l'autre côté. J'ai massé ses seins et pincé ses petits tétons. Mes doigts ont glissé vers son ventre, ses hanches, ses jambes pour remonter sur son fruit défendu.


Elle avait les yeux clos et restait de marbre, rien ne transparaissait.

Hésitation, j’ai posé ma main sur son pubis tout lisse et j'ai étalé de la crème.
Mes doigts ont atteints ses lèvres qui se sont décollées. Elle était trempée.
Sous l'excitation grandissante, mon index est entré dans son petit minou.
Sa bouche s'ouvra et je l'entendis doucement haleter. Un deuxième doigt a rejoins le premier. Mon autre main caressa doucement son clito .Elle ouvra grand les yeux et me dit (mot à mot): "Met moi un doigt dans le cul."

Aussitôt dit, aussitôt fait.


Allongé sur le dos, elle me caressa les fesses puis mon sexe en érection. J'avais une vue imprenable sur son sexe humide. Quelle beauté.

Elle jouissait très vite tellement son désir était grand. Son corps cambré était à croquer... A peine remis de ses émotions elle me fit une fellation et me demanda de me coucher sur la plage. On s'embrassa encore et encore, ma langue chercha la sienne. Nos baisers furent longs et merveilleux.

Elle me bouffa le sexe en jouant avec mes boules. Deux de ses doigts prirent place dans mon anus. Je lui rendis l'appareil: deux dans sa chatte et autant dans son cul.
Elle goba la globalité de ma bite dans sa bouche, gourmande elle était... Heureux je jouissais. Très vite je me vis éjaculer dans sa bouche. Surpris elle avala tout mon sperme. Mes boules me tiraillaient tellement que ma jouissance fut grande.

Après ces bons moments, nous nous échangeons de tendres baisers et repensèrent aux temps forts de cette chaude journée que nous n'aurions jamais imaginé une seconde et nous repartîmes à la maison avant l'arrivé de Mathieu, son ami.


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Le milieu de l’après-midi était particulièrement chaud. Le sable brûlait sous mes pieds, je n’avais pas remis mes nu-pieds que je portais à la main. Je n’avais pas remis non plus mon maillot de bain, juste tourné mon linge autour de ma poitrine. Jérôme ne quittait pas ce bord de linge en se posant la question à quel moment, il allait se détacher de mon corps.
A chacun de mes pas dans le sable, le linge s’ouvrait en portefeuille et on pouvait voir le contour du haut de mes cuisses.

En contournant quelques linges au sol, isolé ; je fixais les yeux de chaque homme couché en me posant la question intérieurement…. Et toi, tu devines que je suis nue ?

Mon minou s’humidifiait à chaque minute davantage. Jérôme me prit par la main pour me sentir davantage.

On arrivait sur la route qui nous séparait de notre maison de vacances, je levais la tête à la hauteur de notre terrasse et les fenêtres étaient grandes ouvertes. Mathieu n’arrive jamais si tôt, il ne devait pas être seul.
Arrivé devant la porte de mon appartement de vacances, j’entendais des bruits rieurs. Il était venu passer un moment agréable avec un de ses amis qu’il avait fait connaissance sur la plage. Enfin ! Je ne l’aimais pas le savoir seul. Il me racontera sans doute à l’heure du repas, j’en étais ravie.

Jérôme m’attira contre lui pour déposer ses lèvres, sa langue titilla la mienne. Comme il entendait le même bruit que moi, il ouvrait la porte de sa chambre et avec un sourire coquin me prit par la main :

- Viens, on va finir ce que l’on a commencé sur la plage.

Je le suivais à pas tranquille derrière lui, main dans la main. Arrivé dans sa chambre à coucher, il m’attira contre lui, me couvrait de ses baisers enflammés, écarta mon linge et me poussa doucement sur son lit.
Il me léchait mon corps tout tremblant par mon excitation quand un bruit sourd arriva à nos oreilles.

- Tu attends quelqu’un ? Lui chuchotai-je au creux de son oreille
- Non, je suis tout seul depuis une semaine, déjà……

A pas de loup, on se lève et se dirigeons ensemble vers l’endroit ou le bruit avait cessé pour des sons différents ….

En ouvrant la porte de la salle de bain, ma surprise était telle… que j’ai failli éclater de rire….

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Elle pouffait de rire. Je vis une inconnue dans la salle de bain en train de se laver ou plutôt se caresser sous la douche. J'ai jeté un regard furtif en direction de ma camarade de jeux qui s'est assise en me souriant. J'étais comme elle excitée et intriguée par la présence de cette femme dans ma salle de bain.
J'étais seul depuis 1 semaine ; que nous vaut sa présence dans mon appartement de vacances?

Afin de ne pas l'effrayer je décidais d'attendre sa sortie de son bain. Elle poussa de petits cris très excitants. La vision de son corps me plaisait et notre situation m'émouvait plus que tout.

Enfin sortie de la salle de bain, la femme recula d'un pas effrayé. Nous lui disons qu'elle ne risquait rien ici mais que nous étions stupéfaits de sa présence ici. L'inconnue rougissait, elle était gênée et peut être angoissé de l'avoir vu nue sous la douche en train de se doigter passionnément.

Ma voisine l'a prit par la main et l'emmena dans la cuisinette.

La jeune femme inconnue était âgée de 27 ans, brune aux cheveux longs, ses formes étaient très jolies, beaux petits seins et une paire de fesses à couper le souffle. Son prénom était ELSA.

Je profittais de prendre ma douche et j'entendis nettement les voix d'Elsa et de ma coquine adorée qui parlaient très fort , je les entendais rire. Une complicité naissait entre les deux femmes. Je sorti de la salle de bain et je ne voyais personne.

Les deux femmes étaient aux éclats de rire, autour d'un café. Elles étaient très proche l'une de l'autre.
J’étais en peignoir, l'eau glissait encore sur mon corps. A présent détendu, je faisais en sorte d'exhiber mon sexe. Après tout mon sexe était de taille appréciable et, pour tout vous dire, j'en étais même assez fier.

Elsa m'observait. Je me doutais qu'elle dévorait des yeux ma queue. Quant à Claire (mon amie), j'espérais que mon anatomie ne lui déplaisait pas trop. Elsa m'a sourit tendrement

Les deux femmes étaient en face de moi et me regardèrent très excitées. Elles se regardent et Elsa s'approcha de Claire pour l'embrasser sur la bouche tout en passant ses mains sur son visage puis ses seins. Claire l'imita et la caressa sans plus aucune retenue. Quelques instants plus tard nous étions tous nues et nous laissions aller librement à nos fantasmes et à nos désirs.
Je m'approchais de la table de la cuisine et Elsa pris ma bite en main et a entamé une branlette divine. Elle ne s'est arrêtée que lorsqu'elle a pu se régalé de la vue de mon foutre sur mes poils. Claire, quant à elle observait la scène tout en se masturbant à coté. Mes mains étaient sur son corps en train de la toucher avec tendresse.


Ma queue au repos. Claire s'est fait un devoir de me la remettre en forme. Une fois ragaillardi, je l'ai prise en levrette pendant qu'Elsa était derrière moi en train de me lécher les boules.
Puis Elsa et Claire se sont mis l'une en face de l'autre et commençais à se caresser.

Pendant ce temps je me suis fait un malin plaisir de lécher les parties humides des deux femmes. Les femmes ont eu chacune le droit à un merveilleux cunnilingus. Le mélange de leur mouille était délicieux. Puis un échange de regards entre les deux femmes fut changer les rôles. Les deux demoiselles commencèrent à me sucer le gland. Je me mordais les lèvres tellement ce moment était bon et unique. La vision de leur deux langues sur mon sexe était vraiment magnifique et enivrant quand je vis leurs deux langues se toucher l'une à l'autre.
Mon excitation était si grande que j'éjaculais une seconde fois sur la poitrine de ces dames. J'étalais mon sperme sur leur corps à l'aide de mes deux mains. C'était d'une rare beauté.

Puis Elsa se remis à me masturber afin de raviver mon sexe. Je l'ai embrassé avec fougue tout en caressant le clito de Claire qu'elle avait gros et saillant. Puis les deux femmes entamaient un superbe 69 devant moi. Elles adoraient se lécher le minou et faire dresser mon sexe. Je me positionne derrière Claire qui était sur le dessus et j'ai introduit ma queue dans son sexe humide. Le va et vient était de plus en plus rapide. Elle commençait à jouir et à mouiller le visage d'Elsa. Mes boules tapaient contre son abricot et frôlèrent la bouche d'Elsa. Je sentis le corps de Claire se cambrer de plus en plus ...Des frissons l'envahissement et elle se mit à jouir d'une rare intensité. Puis encore excité je ne fis qu'un bon pour retourner Elsa et la prendre également en levrette pendant que Claire continua à lécher le minou d'Elsa qui était très bandant.
Elsa était envahie de plaisirs, et me le faisait comprendre en se déhanchant de plus en plus sur mon sexe. Je tapotais son petit cul en même temps que je la pénétrais. J'accélérais le mouvement tout en lui touchant le clito et se mis à gémir à son tour et eu un orgasme tout aussi intense que celui de Claire.
La sensation de sentir tant de frissons me fit une nouvelle fois éjaculer et cette fois je me suis fait un plaisir à lui étaler sur ses adorables petites fesses.

Que le hasard fait bien les choses.... J'ai rencontré les deux plus belles coquines de la côte. J'adore




Je suis l'auteur de toute l'histoire mais j'avais envie de me retrouver dans les deux parties du conte, dont l'idée de le séparer d'une ligne. J'espère qu'elle vous aura plus. N'hésitez pas à laisser un commentaire sympa.


 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Par tiwi - Publié dans : histoire érotique
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Dimanche 29 juin 7 29 /06 /Juin 22:40

Si les bisous étaient de l'eau , je te donnerais la mer

Si les câlins étaient des feuilles je te donnerais un arbre 

Si la vie était une planète je te donnerais une galaxie

Si l'amitié était la vie, je te donnerais la mienne




C'est la semaine des meilleurs amis( es) , à tous ceux dont je suis importante à leur coeur, je vous dédie ce message.

A lui, je  transmet tout mon amour, même si désormais, ce n'est qu'à sens unique. Il ne m'entend pas, ne me lis plus ici certainement, je peux donc aisément dire  - je t'aime - de temps en temps, il n'en saura rien.

Par tiwi - Publié dans : Jardin secret
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