Jeudi 25 septembre 4 25 /09 /Sep 07:41

Fin

Ce matin encore une fois
Je me connecte sur le seul lien qui me reste de toi
Mais tu as décidé de mettre un trait final ?
Je ne peux plus rentré dans cette adresse mail

Même pas un aurevoir
Pas une explication
Pas un regard
Rien en ton nom

J'ai si mal
De ne pas avoir de tes nouvelles
J'ai si mal
De ton silence, de ton absence

Mais peut-être que ta décision
A du bon
Peut-être l'as tu trouvé
Celle qui va ravivé ton coeur et t'aimé

Elle ne t'aimera jamais autant que je t'aime
Mais peut-être que toi, ton amour pour elle
Sera aussi fort que la grandeur de mon amour pour toi
Je le souhaite de tout mon coeur, même si j'ai très mal
de ne plus avoir de nouvelles de toi.

Je voudrais que tu m'envoie encore une fois
Un message, me parlant de toi
Que tu me dises si tu es fâché encore ou vexé
Ou alors que tu me donne une chance de te prouver mon amitié





 

Par tiwi - Publié dans : poême
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Vendredi 19 septembre 5 19 /09 /Sep 07:39

Ne pouvant plus connaître d'amour et de tendresse au réel, je vais recombler mon manque par mes histoires fantasmagorique, qui me font du bien et recharge mon énergie, mes batteries.


Le réveil sonne une nouvelle fois ce matin, le dernier de la semaine, enfin presque.

 

Je profite de garder encore un peu les yeux fermés, je me projette dans une gare où tu m’y attendais. Coquin comme tu es, tu  t’étais caché et je te cherchais. Je pensais même que tu étais en retard où que tu m’attendais peut-être à la sortie. La gare est si grande avec tout ce fourmillement à droite, à gauche.

 

Ce matin, encore une fois, mes bras sont collés autour de mon corps, afin de prendre la liberté de croire que je me blottis encore dans tes bras. Je ne t’ai pas demandé la permission, ma tête est allée se poser directement sur ce torse que j’aime tant. Soyeux, doux, je passe ma main sur toute la surface ; mes doigts continuent leurs ballades sur tes épaules où il y a ces quelques petits poils perdu. Quand ils redescendent, ils suivent le contour de ce duvet qui mène en direction de ton nombril. Il me fait rêvasser tendrement. L’index pointe sur cette petite cavité.

Je continue ma descente pour attendre cette partie plus laineuse.

 

Mais déjà elle pointe dans ma direction. Déjà elle se durcie sous mes doigts et monte à la rencontre de la paume de ma main.

Je la caresse doucement, puis tout le pourtour avant d’atteindre ses jumelles qui m’appelle afin d’avoir elles aussi leur compte de tendresse.

 

Je sens ton excitation à son comble, ma tête dépasse ton bas ventre, et je commence à lécher ce gland qui a fière allure et dont j’ai pris soin de le décalotter juste avant.

Sa tête humide et rosée perle en douceur une vapeur qui en dit long. Mes lèvres s’entre ouvrent pour laisser le passage de ce membre; ce dernier se faufile entre ma langue et mon palais. Ma main qui tient ce corps allongé, épais fait des mouvements de va et vient en même temps que la tige entre et sort de ce puits.

Plus vite, plus loin, je t’entends gémir au fond de mes pensées, c’est si bon.

 

Le réveil sonne pour la seconde fois et me rappelle que je suis seule dans ce grand lit. Ma chatte est humide. Mes lèvres gonflées de désirs. Je me dirige vers le tiroir de ma table de nuit et prend l’ustensile adéquat à mon excitation grandissante.

 

Je caresse ma vulve, son contour en gardant une main sur mes seins. Mes tétons sont pointés, agressifs. Je pince la fine tige, caresse l’alvéole.

 

Mon bouton s’entre ouvre de désir. Je fais glisser ce membre de substitution à l’intérieur, doucement, encore… encore. Mon abricot ruissèle fur à mesure de cette pénétration douce et excitante.

 

Je le veux en entier en moi, fort, puissant. Les *  va et vient * sont rapide, expérimenté. Mes jambes surélevées, j’ai quitté ma main de ma poitrine afin de me caresser les fesses en même temps que ma pénétration manuelle.

 

Mon sexe explose de jouissance, je ne peux retenir un cri, ma respiration est au maximum… Mes cuisses sont humides et collantes, quelques caresses pour retrouver une sérénité et je file me doucher.

Ma journée a bien commencé. Merci mes pensées de me permettre cette douce tendresse, ce tendre câlin en solo.


 

Par tiwi - Publié dans : histoire érotique
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Dimanche 14 septembre 7 14 /09 /Sep 18:24

Elle vient de poster une nouvelle histoire sur un site Internet.  Elle se sent bien. Souvent seule le soir, son mari est avec ses copains en boite. Elle parle sur MSN avec ses amies, échanges des recettes culinaires. Sa passion est son travail accessoire : des cours de cuisines avec des produits ménagers dont elle vente le mérite et la qualité.

 

Ses enfants, sont au lit et elle fantasme des scènes bien agréables sous sa couette.

 

Ce soir,  alors qu’elle se connecte comme à son habitude sur MSN pour papoter avec les copines, elle reçoit pleins d’adresses d’internautes. Elle en accepte certains, juste pour savoir ce qu’ils ont à lui dire, qui sont ils (pour la plus part, des hommes).

Ils viennent  lui parler de son histoire, lui faire une remarque sur un passage ou faire sa connaissance.  Elle n’en a pas trop envie, quoique certains soient agréables. Dans les jours qui suivront, elle prendra plaisir à dialoguer avec quelques uns d’entres eux. Et plus les jours passent, plus le silence revient et elle continue à reprendre ses habitudes, papotées avec ses amies.

 

Elle reçoit d’autres demandes, mais ne les acceptent pas, sachant comment ça va finir.

 

Et puis, il y a un qui fait une demande de dialogue. Elle l’ignore. Mais il recommence le lendemain, le surlendemain. Ca dure bien quelques jours. Son pseudo est prometteur, donc elle finit par  accepter, juste pour voir, ensuite elle bloquera comme tous les autres.

Les autres qui ne pensent bien sûr qu’à une chose bien précise. Pour d’autres, elle voudrait bien dialoguer davantage car ils sont sympas et le dialogue est riche en sujet différents, mais le temps lui manque en ce moment. Elle n’est pas souvent devant son PC.

 

Quand il lui envoie sa photo en avatar, elle regrette presque de l’avoir accepté. Ses yeux sont si attirants, son sourire irrésistible. Chaque fois qu’elle le voit connecté, elle craque. Une approche qui va causer des ennuis d’ordre moral dans sa tête.

Leur dialogue un peu moins soft que les autres, des échanges d’images très coquines, elle se rend compte qu’en plus, ils peuvent se rencontrer et se toucher en réel, n’habitant pas très loin de sa ville, juste à côté de la frontière.

Il adore les femmes, elle est très complexée de son corps,… elle en profite pour lui donner l’adresse e-mail de son amie très coquine. Sa copine étant  infidèle à son mari et fait régulièrement  de la Cam à Cam avec beaucoup de personnes.

 

Mais Seb revient vers elle.  Elle se promet de rester soft, mais bien vite elle dérape et elle enclenche la Cam. Elle ne montre que sa grosse poitrine. Très complexée de son corps, elle ne passera pas la vision du bas. Lise  est une femme de taille moyenne, qui s’est laissée allée durant des mois. Son mari ne l’a touchant plus depuis très longtemps, elle n’a plus refait de sports ni aucun autre maintien jusqu’au jour ou une de ses amies proche, lui a fait la moral, l’a secoué. Elle a repris les bois pour commencer, puis avec l’hiver qui s’est approchée, elle est allée s’inscrire dans une salle de gym.

 

Les mots qui s’inscrivent sur son pc lui donne chaud. Ses mains s’approche de ses seins, caressent les tétons ; oublie que Seb, de l’autre côté la regarde. Elle malaxe cette poitrine, caresse le bas de son ventre tout en continuant à lire les mots doux de son nouveau internaute. Puis sa main, passe sous son boxer en dentelle et caresse son clito. Elle est mouillée. Sa chatte humide est brûlante de désir. Elle enlève le bas et se doigte, un puis deux touts en caressant ses seins de l’autre main.

Il  lui montre sa queue, enflée, raide. Ca fait longtemps qu’elle n’a pas eu le bonheur de sucer une bite,  en réel.

Elle se lève, nue, et va chercher son gode. En revenant, elle vérifie que son visage ne sera pas sur l’écran, ni son bas ventre où  se dessine un ventre disgracieux. Puis, commence à lécher son gode, l’enfile dans sa bouche. La texture de l’engin en silicone n’est pas pour lui plaire entièrement, mais sentir  un genre de sexe dans sa bouche l’excite terriblement.

 

Elle entend dans les hauts parleurs, sortir doucement le plaisir de Seb monté et elle a encore plus envie de se sentir pénétrer. Elle attrape un top sur le coin du bureau, qu’elle enfile pour éviter  qu’on aperçoit son ventre ;  se met debout, une jambe appuyée sur sa chaise de bureau et se caresse la chatte, soigneusement épilée. Elle sait a présent qu’il l’a regarde, son gémissement se fait entendre de plus belle.

Enfilant son gode lentement dans sa chatte, maintenant très humide, elle fait un va et vient doucement. Se caressant les fesses par la même occasion, elle enfile un doigt dans son anus.

Puis, avec des gestes plus rapides, elle accélère le mouvement.

 

Seb est à son  comble, sa respiration est très rapide. Sa main tenant fortement son sexe, debout, se masturbe vivement.

 

Alors que tous les deux, derrières leur pc, se caressent fortement ;  elle peut voir son jais blanchâtre asperger un linge qu’il tient de l’autre main.

 

Elle sent une chaleur chaude lui couler entre les cuisses. Sa première Cam, jouir en direct avec une autre personne en face. Elle a un peu triché en enfilant un top afin de ne pas montrer son corps tout en entier, mais elle se sent bien et même si cette expérience sera la seule, elle a adoré.

 

Silence quelques minutes entre les deux lignes.  Elle s’éloigne et baisse la Cam. Elle ne veut pas qu’il voit trop le contour de ses fesses, Elle n’est pas prête.

 

Seb profite également de son absence pour aller faire un rapide nettoyage sur son sexe collant.

 

Quand ils se retrouvent face à face, elle se sent gênée de sa frivolité, mais fait comme si elle en avait l’habitude.

 

Seb l’a trouve encore plus merveilleuse, il l’a trouve si rayonnante. D’un seul coup, il ne peut pas résister, il doit lui proposer de lui faire l’amour en vrai ; pouvoir la serrer dans ses bras quand il aura fait jouir sa belle internaute.

Il connaissait la réponse de Lise, il savait qu’elle lui répondrait négativement. Il n’est pas question de leurrer son mari physiquement.

 

Les semaines défilent, elle n’a pas remis cette expérience avec lui ;  juste des mots qu’ils ont tapés sur leur clavier.

 

Elle a très envie de son sexe qu’il lui fait parvenir en avatar lors de moments très chaud. Elle adore son franc parler au moment où ils s’échauffent ensembles, elle jouit par ses paroles et ses mains baladeuses.

Un soir pourtant, alors qu’il lui propose pour la millième fois de faire une rencontre, il n’y croit pas ses yeux. Elle lui répond …. OK pour un café.

 

Un café……. C’est un bon début. Il saura la détendre quand ils rencontreront. Il connaît son charme. Il sait lui faire plaisir. Il sait qu’elle adore son physique, il doute que leur contact en visuel s’arrêtera  au babillage devant un bon café.

 

Le chrono est parti. Les jours sont comptés. La période de Noël passe. Elle sent qu’elle est de moins en moins sûre d’avoir accepté son invitation à faire….. Juste….. Connaissance.

Elle adore son contact, ses mots tendres qui lui manquent envers son mari.  Elle connaît ses sentiments pour lui. Elle ne risque pas d’être amoureuse de Seb, sachant que lui aussi, il vit avec une autre personne mais il pourrait lui manquer par la suite, envie de se retrouver dans ses bras quand elle n’aurait pas le moral. Ce n’est pas une vision  facile.

 

Ils ont quelques kilomètres de distances entre eux, une frontière, une vie différente …

Il ne reste que deux jours. Avant le jour J, faut qu’elle lui explique.

Lui expliquer quoi en fait…

 

Qu’elle se sent incapable de boire un café avec lui, dans un bar  inconnu entre leurs deux villes ?

 

S’arrêteront-ils au café ?

 

La veille ; internet connecté, elle lui parle de tout et de rien. Elle ne sait pas comment lui dire et quelle décision prendre. Elle lui confirme alors, qu’il s’agira que d’une approche entre eux. Trop complexée de son corps, elle ne pourra pas caché quoique ce soit d’elle. Donc, il est nullement question qu’elle se déshabille.

Le lendemain, comme prévu, elle se prépare à la rencontre. Pour sa famille, elle part à un de ses séminaires qu’elle a l’habitude de suivre dans le cadre de son travail.

 

Elle ne va pas lui joué un tour, car lui venant de Cambrai et elle de Mons. Ils ont chacun de la route à faire.

Dernière vérification de son physique, elle a quand même eu envie de s’habiller un peu coquin, sans pour autant attirer l’attention de son mari. Un  ensemble de sous –vêtement tout en dentelle, un tailleur sur un top blanc (ensemble et couleur obligatoire lors de séminaire).

Un bisous et départ sur la route.

 

En ce mois d’hiver, la route est belle, ensoleillé. Elle a le temps pour s’imaginer sa rencontre avec Seb.

 

Pas trop de bouchon sur la route, bonne circulation. Lise arrive enfin à Liège. Ils ont rendez-vous au coin du monde.

 

Elle  coupe son moteur,  baisse son miroir afin de revoir sa coiffure, remet un peu de rouge à ses lèvres, du noir sous les yeux, un peu de parfum encore et elle sort de la voiture. Elle regarde sa montre, elle est en avance,… Parfait ! 

Elle n’avait pas envie de devoir s’avancer vers lui ; elle préfère que ce soit lui, qui le fasse.

Ferme sa voiture, respire profondément et rentre dans le café.

Ses yeux font le tour de l’établissement. Il y a des tables occupées au fond, à droite également, mais pas de Seb. Ouf.

Elle s’installe dans le coin. Il devra un peu la chercher, mais après tout…. Ça fait aussi partie du jeu. Elle prend un journal sur la table voisine, commande un cappuccino et semble s’intéresser à la page people.

 

Elle entend la porte s’ouvrir et son cœur bat la chamade. C’est une jolie dame qui fait son entrée et qui permet aux clients de l’établissement de lever la tête. Elle s’installe presque à côté de Lise. Le boulet ! Quand Seb va arriver, il  ne sera pas quelle table rejoindre.

 

Encore 5-10 minutes qui passent…. L’heure tourne. En fait, il n’est pas en retard, c’est elle qui était très en avance.

 

Puis la porte s’ouvre à nouveau et il est là. Dans l’embrassure de la porte, elle le reconnait immédiatement. Elle plonge sa  tête dans le journal afin de ne pas rougir. Elle  respire doucement et essaie de se  donner une contenance de blasée en attendant qu’il l’a rejoigne.

Aussitôt, elle entend la voix de sa voisine qui s’est approchée de Lise lui dire, en chuchotant….Le journal est à l’envers !

Lise lève son nez en sa direction, lui sourit et remet son journal dans le bon sens. En même temps Seb l’a voit et avec son sourire de don Juan et s’approche de sa table.

La voisine sourit et chuchote……. Hum, je comprends !

 

Lise se lève pour accueillir Seb et ils s’assoient en même temps.  Il commande un café.

 

De longues minutes s’écoulent avant que l’un d’eux n’ouvre la bouche.

 

Lise, la tête baissée réfléchit à la conversation qu’elle pourrait tenir. Puis naïvement lui demande si la route était bonne. Au moins elle aura fait le premier pas, pense t’elle.

 

Il ne répond pas, il prend ses mains posées sur la table, les joints à ses lèvres et dépose un tendre baiser. Puis lui demande de le regarder dans les yeux.

 

Elle se sent un peu stupide, après toutes ces semaines de dialogues pas toujours très soft… de se sentir si mal à l’aise…, comme à son premier rendez-vous. Sauf, qu’à son âge, il n’y a pas de raison. Elle prend son courage, lève la tête et fait mine de lui parler comme lorsqu’elle se retrouve devant son PC.

Il a gardé ses mains dans les siennes, jusqu’à ce que la serveuse arrive enfin lui apporter son breuvage.

 

La demi-heure qui suit lui paraît plus facile. D’abord, quand elle se sent un peu moins courageuse, elle trouve l’excuse du café et puis il y a un jeune homme qui a rejoint sa voisine, donc de temps à autre, quand ils  parlent un peu fort, elle tourne la tête en leur direction et leur adresse un sourire.

Vint le moment où il  lui demande de sortir, de faire une ballade. Enfin. Ils payent et s’en vont. Elle le suit derrière lui. Elle hume son odeur, elle imagine la préparation, son départ de la maison.

 

Passé la porte du café, il l’attrape par les épaules, la maintient contre la façade du café et s’approche de ses lèvres.  Il colle ses lèvres aux siennes et avec sa langue fait des mouvements afin qu’elle ouvre sa bouche. Sa langue cherche la sienne et ensemble tourne autour l’une de l’autre.

 

Ca n’avait pas été prévu ainsi. Son cheminement de la scène tombe à l’eau. Elle sent son corps tout entier vibrer en elle. Il s’éloigne de son visage et lui caresse les joues, les cheveux.

Puis en reprenant sa main, il s’éloigne du bistrot et prennent sa voiture, en silence.

Elle sait très bien où il va l’emmener ils en ont parlés maintes fois devant leur PC. Un petit hôtel qui s’appelle * si, mais non *. Jeu de mots pour elle comme pour lui.

Ils s’étaient dit que s’il ne se sentait pas prêt, l’un envers l’autre, il y avait toujours la possibilité de juste se parler et s’apprécier, loin d’yeux inconnus.

 

Sur place, tout était prêt, Seb avait fait une réservation en bonne et due forme depuis son PC.

La réceptionniste leur donne la clef  tout en souhaitant  la bienvenue dans leur établissement.

 

La serrure s’ouvre facilement grâce à la carte magnétique qu’il vient d’être remis à Seb. Il pousse la porte et attend que Lise rentre. Il l’a suit, referme la porte, enlève en même temps que Lise sa veste.

 

Lise se dirige vers la grande fenêtre qui se présente devant elle. Il l’a rejoint et lui demande ce qu’elle a envie. Elle se retourne face à lui, ferme ses yeux et s’approche de son visage. Il prend son visage avec ses mains et l’embrasse tendrement. Puis l’a serre contre lui de longue minutes.

 

Elle ne sait pas trop quoi faire. S’abandonner à lui, résister, juste parler………

N’ayant pas de réponse, il l’attire vers le fauteuil de la chambre et allume la télé. Ils ne regarderont pas trop la télé, il a mis sur MCM le canal de musique. Il y aura un bruit de fond, ainsi.

 

Ils se regardent, se touchent les mains et s’embrassent encore. Il  paraissait très coquin devant son écran, mais apparemment il a aussi perdu ses moyens de grands séducteur. Il est aussi timide que Lise. C’est réussi. …

Enfin Lise prend les devant et le caresse à l’endroit où se trouve une bosse bien dure. Il ne dit rien, se laisse aller.

Alors, elle dégrafe son pantalon, s’agenouille devant lui et doucement sort son sexe de son boxer. Elle en a très envie. Cette fois, ce ne sera pas le goût du plastic qu’elle veut ressentir.

Elle caresse de tout son long, il est raide et elle est très excitée. Sa langue s’approche du gland pour lécher tout autour.


Elle ne le regarde pas, trop envie de son sexe qu’elle commence par le sucer délicatement. Puis, avec des pressions tous au long de son sexe, elle augmente le va et vient de ses gestes.

Il se redresse, la lève afin qu’elle s’arrête et l’emmène sur le grand lit.

Elle se met sur le dos, ferme les yeux, il passe sa main sous le top, dégrafe son soutien gorge. Elle l’enlève.

Il lève son chemisier et suce ses tétons durcis par les événements de tout à l’heure.

Quand il l’a sent très chaude, il dégrafe son pantalon. Mais à ce moment là, ses esprits reviennent en elle. Non, elle ne peut pas. Elle met la main sur son pantalon en signe de réticence. Il lui sourit.

Laisse toi aller, lui rassure t’il. J’aime ce que tu représentes, toi. Et puis, tu as déjà fait des progrès sur ton corps, je le sais…

 

Elle hésite.

Puis ferme les yeux et enlève sa main. Alors, il l’embrasse une nouvelle fois en lui faisant glissant son pantalon. Elle l’aide de ses jambes.

Elle est là, sur un lit, dans une chambre d’hôtel avec quelqu’un qu’elle fantasme depuis des semaines en sous vêtements. Il se redresse et fais de même avec son jeans.

Leurs jambes se mêlent pendant le long baiser qui suit.

Elle a envie de reprendre son activité de tout à l’heure, Lise. Ventre caché contre la couverture du lit, elle descend à la hauteur de son sexe pour le reprendre dans sa bouche.

Quelques minutes plus tard Seb l’a rejoint pour prendre possession de sa chatte humide. Il enfouit sa tête dans ses cuisses, l’obligeant à écarter ses cuisses. Lui caresse ses fesses et lèche le clito, appuie sa langue entre les lèvres.

 

Sa queue prend de l’ampleur dans sa bouche.  Son gland est humide. Les gestes sont t rapides.

Il enlève sa bite de sa bouche, il veut absolument ralentir son excitation. L’a retourne et frotte contre ses seins. Sa poitrine moyennement volumineuse coince sa queue entre ses deux seins  et il se branle doucement.

 

Elle oublie doucement la situation de son corps, s’abandonne au plaisir de la chair. Ses douces caresses, ses baisers, elle sent le désir monter en elle. Elle ne pense plus qu’à ça. Il ne fait aucune remarque sur son ventre, la couvre de mots tendres.

Ses doigts sont enfouies dans sa chatte, elle est trempe, il lui en faut plus, elle a envie qu’il passe à l’action suivante. Elle se relève, s’agenouille devant lui  et présente ses fesses. Il s’approche d’elle, s’agrippe à ses hanches et enfonce sa queue entre ses fesses. Il rentre comme du beurre, elle est si mouillée. De temps à autre, il sort sa bitte pour la rentrer dans sa chatte. Elle sent monter en lui son excitation. Son râle devient si fort.

Enfin, il rechange de position et c’est elle qui se met au-dessus de lui. Sa queue est raide, s’enfouit dans sa chatte. Elle mouille si abondamment, que Seb a  le ventre aussi trempé qu’elle. Un dernier coup de rein de sa part suivi d’un cri mutuel. Ils jouissent ensemble.

Elle s’enlève de son corps trempé et se mets à côté de lui. Ils se caressent en silence.

 

Les demi-heures passent. Ils n’ont pas envie de se quitter. Elle ne sait pas comment lui dire qu’elle resterait bien toute la nuit dans ses bras et recommencer.

 

Seb avait réservé la nuit entière dans cet établissement, ne sachant pas comment se déroulerait leur rencontre.

 

Elle va se doucher. Puis revient dans la chambre, prend le téléphone, appelle à la maison. Décidément,  les routes ne sont pas sûres en cette période, le froid s’est installée, risque de gel. Elle annonce qu’elle va trouver un endroit pour passer la nuit et rejoindra sa famille demain dans la journée.

 

Seb, avec un grand sourire part dans la direction de la salle de bain et invite Lise à le rejoindre. La nuit est devant eux
Par tiwi - Publié dans : histoire érotique
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Dimanche 14 septembre 7 14 /09 /Sep 17:45

 

 

La neige commençait à tomber et le vent semblait devenir blizzard.

Ce froid que je déteste tant essayait de me faire reculer.

Mais la lueur de ton chalet alpin, au loin, motivait ma chaleur.

Je savais que là, je n’aurai pas froid…

 

Enfin, j’arrive. Je frappe à ta porte, quelque peu nerveux, c’est notre premier rendez-vous chez toi. Apparemment tu m’attendais, tu ne tardes pas à m’ouvrir.

 

- « Vite, rentre, il fait si froid dehors »

 

- « Bonjour, merci » te répondais-je, timidement.

 

Et tout de suite, la buée se forme sur mes lunettes. Je m’empresse de les enlever ;  je ne veux pas avoir l’air trop bête… (Ça commence mal ! me dis-je)

 

Accueillante, tu m’offres une serviette pour me sécher les cheveux.

Gentille, tu enlèves même la neige de mon long manteau.

 

Troublé avant d’arriver, maintenant, chez toi, peu à peu, je tombe amoureux…

 

- « Pourquoi tu souris ? » me demandes-tu.

 

- « Peut-être parce que je suis heureux » te répondis-je sans même avoir le temps de réfléchir   

     À ma réponse.

 

Sans un mot, tu souris à ton tour.

 

Tu m’emmènes dans ton salon boisé, tamisé, chaleureux, tout à ton image en fait. Dos à la cheminée, la lueur des flammes donnent un ton ambré à ta belle chevelure. Tu es si belle.

 

Mes yeux brillent… serait-ce à cause de la chaleur dans la pièce ou plutôt grâce à la beauté que je contemple ?  Apparemment, je laisse paraître mon bien-être car je te vois baisser la tête par moments, quelque peu gênée, les pommettes un peu roses…

 

Lorsque tu m’offres à boire, involontairement, ta main effleure la mienne ; ta main est si chaude, si douce que les battements de mon cœur s’accélèrent et l’envie de t’embrasser m’envahit. Nos visages se rapprochent, tu te mordilles les lèvres et baisses la tête lorsque nos regards se croisent. D’un doigt je la relève par le menton et te regarde fixement. Nos lèvres se rapprochent lentement et un tendre baiser les unies. Nos regards se font moins timides, nous laissons ouvrir nos cœurs et à nouveau, nos lèvres s’unissent. Ma main caresse tes cheveux et tes bras se posent sur mes épaules. Nos baisers semblent éternels, nos langues s’entremêlent et nos mains se serrent. Je t’aime, tu m’aimes et notre amour nous guide. Ma bouche devient plus avide et elle embrasse ton cou. Ta peau est si douce.

 

Mes bras t’entourent et mes mains te caressent le dos, le bas du dos même. Je te sers fort contre moi pendant que mes lèvres continuent à goûter à cette peau de pêche. Tu te mordilles à nouveau les lèvres et déboutonnes ma chemise. Tes mains se posent sur mon doux duvet et à ton tour, ta bouche devient curieuse. Tes lèvres sont si douces que personne ne pourrait y résister. Je me laisse faire, tes bras m’entourent ; je me sens bien, aimé. Moi aussi j’ai envie de sentir ton corps, je déboutonne ton chemisier et ton soutien-gorge laisse présager la beauté de tes seins. Mes mains se posent, caressent cette dentelle et ma bouche effleure cette douceur. Tes mains à travers mon pantalon cajolent mes fesses. L’envie est trop grande pour de ne pas en vouloir plus… La dentelle enfin enlevée, ma bouche se pose sur tes seins. Mais avant, je les contemple. Une fois de plus, la lueur de la cheminée embellit ma vision. Ils sont si bons, si doux. Je me régale. Tu me tiens par la tête et sans savoir comment, nous nous retrouvons à genoux, tous les deux. Nos baisers n’en finissent pas ; nos caresses s’éternisent et je sens ta poitrine, nue, contre la mienne. Que c’est agréable de t’enlacer de la sorte. Nous continuons à nous serrer, comme si on voulait se rapprocher davantage ou peut-être ne pas se séparer, restés ensemble, l’un contre l’autre.

 

Mes mains descendent et la rondeur de tes fesses me ravit. Je la serre fort contre moi et tu sens mon excitation se poser contre toi. Tes mains d’ailleurs, ont trouvé le chemin de mon intimité et se promenant à souhait, me masturbe tout doucement. Je m’allonge sur le dos mais je ne te lâche pas pour autant. Tu enlèves le peu de vêtement qu’il me reste et mon sexe dressé, droit, dur, rêve d’être avalé par ta bouche si douce. Tu le sais bien et tu continues à m’embrasser, partout, pour faire durer le plaisir, me donner encore plus envie de toi.

Ta bouche généreuse arrive enfin jusqu’à mon sexe ; elle entoure mon gland, le lèche tout entier de bas en haut et peu à peu, comme une dégustation, tu le fais entrer dans ta bouche, de plus en plus profondément tandis que tes mains caressent mon corps. Ta bouche me rend fou, si fou que je veux t’embrasser. Je relève ta tête et la pose contre la mienne.  Nos baisers sont fougueux, nos cheveux s’entremêlent et je sens ton corps toucher le mien.

 

Ton vagin est chaud, humide. Mon sexe le caresse, aidé par mes mouvements de reins. Il fait de plus en plus chaud sur ce tapis épais. D’une main, tu agrippes mon sexe et caresse ton clitoris avec. Tu arrêtes de m’embrasser et te relève un peu, juste assez pour que mes lèvres se collent à tes seins. Tu te penches à nouveau. On se regarde, nos yeux sont grand ouverts, imperturbables. Alors qu’on s’aime par le regard, tu fais entrer mon pénis en toi, doucement, lentement. C’est si bon. Ta main desserre mon sexe et c’est moi à présent qui orchestre notre ballet amoureux.

 

Irrémédiablement, nos mouvements s’accélèrent, nos soupirs s’accentuent et nos baisers deviennent presque violents. Désireux de te pénétrer encore plus, je te fais allonger sur le dos et sur toi, je me montre ardent. Nos ébats sont si torrides que nous ne sommes plus sur le tapis. Tu es trempée, rouge de chaleur, d’extase, nos corps sont moites et lorsque nous jouissons ensemble, bras tendus, tes mains serrent les miennes de toutes leurs forces et nos regards se figent.

 

Allongé contre toi, nous reprenons notre souffle, mes mains se posent sur toi et ma tête se colle à la tienne.

 

La bûche s’éteint mais notre amour, ne fait que s’allumer.

Par tiwi - Publié dans : histoire érotique
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Dimanche 14 septembre 7 14 /09 /Sep 13:40

L’amour est éphémère
L’amour n’existe pas
L’amour est un fantasme
L’amour est un sentiment plus fort qu’une simple amitié

L’amitié est souvent éphémère
L’amitié est souvent hypocrite
L’amitié est souvent rare
L’amitié est souvent parallèle à la haine

La haine n’est pas éphémère
La haine existe dans les pensées des plus jaloux
La haine n’apporte rien
La haine est bien plus facile à gérer que l’amour

L’amour qu’on donne sans le demander en retour est le plus beau
L’amitié qu’on offre à son meilleur ami, son frère, un ami virtuel
La haine qu’on ne voit pas toujours arriver
L’amour, l’amitié, la haine

Trois mots
Souvent liés les uns aux autres
L’amour lié à la haine
L’amitié proche à l’amour

L’amour est il le seul mot pour dire aimer ?
Ne peut-on aimer une personne, avec une sincère amitié ?
Aimer ne veut pas dire, uniquement vouloir faire l’amour !
Alors pourquoi certains êtres ne comprennent pas le sens de ce mot Amour et gâche une belle amitié ?

Par tiwi - Publié dans : poême
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